L'historien Madini Bachir a indiqué avant-hier à Alger qu'"il n'y a aucune clause secrète" entre l'Algérie et la France dans les accords d'Evian qui ont été sanctionnés par un cessez-le-feu le 19 mars 1962. L'historien Madini Bachir a indiqué avant-hier à Alger qu'"il n'y a aucune clause secrète" entre l'Algérie et la France dans les accords d'Evian qui ont été sanctionnés par un cessez-le-feu le 19 mars 1962. Lors d'une conférence animée au forum de la Sûreté nationale à l'occasion de la fête de Victoire, M. Madini qui enseigne l'histoire à l'Université de Blida a précisé qu'"il n'y a aucune clause secrète entre les délégations algérienne et française dans les Accord d'Evian", en voulant pour preuve l'absence de documents attestant la thèse contraire et les déclarations du porte-parole de la délégation algérienne aux négociations d'Evian, Rédha Malek, à maintes occasions. "Le maintien de certains aérodromes et installations militaires à l'instar de la base de Mers El-Kébir après l'indépendance est prévu dans les clauses des Accords d'Evian", a-t-il affirmé, soulignant que "la récupération par l'Etat algérien de ces installations militaires françaises commela base de Mers El-Kébir en mars 1968 et son renoncement à certaines clauses des accords étaient une nécessité imposée par les dépassements commis par les autorités françaises". L'écriture de l'histoire doit être objective et s'appuyer sur des documents, a soutenu l'historien, estimant que "de nombreux écrits étrangers sur l'histoire de l'Algérie sont dépourvus d'objectivité". Rappelant que les Accords d'Evian, signés le 18 mars 1962, avaient permis à l'Algérie de sortir du joug colonial et d'accéder à l'indépendance, il a appelé les jeunes à préserver la sécurité, la stabilité et l'unité nationale. Lors d'une conférence animée au forum de la Sûreté nationale à l'occasion de la fête de Victoire, M. Madini qui enseigne l'histoire à l'Université de Blida a précisé qu'"il n'y a aucune clause secrète entre les délégations algérienne et française dans les Accord d'Evian", en voulant pour preuve l'absence de documents attestant la thèse contraire et les déclarations du porte-parole de la délégation algérienne aux négociations d'Evian, Rédha Malek, à maintes occasions. "Le maintien de certains aérodromes et installations militaires à l'instar de la base de Mers El-Kébir après l'indépendance est prévu dans les clauses des Accords d'Evian", a-t-il affirmé, soulignant que "la récupération par l'Etat algérien de ces installations militaires françaises commela base de Mers El-Kébir en mars 1968 et son renoncement à certaines clauses des accords étaient une nécessité imposée par les dépassements commis par les autorités françaises". L'écriture de l'histoire doit être objective et s'appuyer sur des documents, a soutenu l'historien, estimant que "de nombreux écrits étrangers sur l'histoire de l'Algérie sont dépourvus d'objectivité". Rappelant que les Accords d'Evian, signés le 18 mars 1962, avaient permis à l'Algérie de sortir du joug colonial et d'accéder à l'indépendance, il a appelé les jeunes à préserver la sécurité, la stabilité et l'unité nationale.