Une fois sur Internet, des photos et vidéos ont choqué les internautes. On y retrouve les violences sans bornes des militaires turcs à l'égard des Kurdes, dont des femmes, des enfants et même des chiens. Une fois sur Internet, des photos et vidéos ont choqué les internautes. On y retrouve les violences sans bornes des militaires turcs à l'égard des Kurdes, dont des femmes, des enfants et même des chiens. Un Turc prénommé Firat Munzur a fait la lumière sur la situation dans la ville de Cizre, et a publié des vidéos qui font preuve de la maltraitance des Kurdes tant en vie que décédés. Les militaires et les policiers turcs n'épargnent ni les femmes, ni les enfants. Selon lui, la Turquie a détruit plusieurs villes kurdes ces neuf derniers mois, et les forces armées de Recep Tayyip Erdogan ont éliminé des centaines de Kurdes. "Les mères de ces enfants kurdes ont été tuées par des barbares turcs à Cizre", écrit Firat Munzur. Entre-temps, les alliés des Etats-Unis et de l'Otan hurlent "Allah Akbar" à l'instar des terroristes de Daech, et des snipers otaniens tirent contre les civils. Des militaires turcs détruisentdes réseaux électriques. D'autres vidéos enregistrent des violences odieuses de la part des forces de l'ordre du président Erdogan envers des Kurdes déjà morts. Là, un représentant des forces censées assurer l'ordre et la sécurité du pays donne des coups de pied sur la tête d'un Kurde décédé, et une vidéo filmée à Cizre montre un autre Kurde mort, une corde autour de sa tête, traîné par des militaires turcs tout en prononçant des commentaires approbateurs. L'organisation nazi "Loups gris", appuyée par la police, soumet des enfants Kurdes à la torture, des représentants de l'organisation menaçant de djihad, non seulement les Kurdes, mais aussi les Moscovites. La violence des miliciens turcs n'a pas de bornes. Ils ont déshabillé et torturé une femme kurde avant de la tuer, et même un chien a été soumis à la torture pour son appartenance à une famille kurde. En décembre dernier, les autorités turques ont instauré un couvre-feu dans plusieurs régions kurdes du sud-est du pays en proie à des heurts entre forces de sécurité et militants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) notamment dans le quartier Sur de Diyarbakir, dans les villes de Cizre et Silopi dans la province de Sirnak ainsi qu'à Nusaybin et Dargecit dans la province de Mardin. Selon l'état-major de l'armée turque, plus de 1.000 combattants kurdes auraient été abattus dans les régions en question depuis la mi-décembre. La partie kurde affirme pour sa part qu'il s'agit pour la plupart de victimes civiles. Agences Un Turc prénommé Firat Munzur a fait la lumière sur la situation dans la ville de Cizre, et a publié des vidéos qui font preuve de la maltraitance des Kurdes tant en vie que décédés. Les militaires et les policiers turcs n'épargnent ni les femmes, ni les enfants. Selon lui, la Turquie a détruit plusieurs villes kurdes ces neuf derniers mois, et les forces armées de Recep Tayyip Erdogan ont éliminé des centaines de Kurdes. "Les mères de ces enfants kurdes ont été tuées par des barbares turcs à Cizre", écrit Firat Munzur. Entre-temps, les alliés des Etats-Unis et de l'Otan hurlent "Allah Akbar" à l'instar des terroristes de Daech, et des snipers otaniens tirent contre les civils. Des militaires turcs détruisentdes réseaux électriques. D'autres vidéos enregistrent des violences odieuses de la part des forces de l'ordre du président Erdogan envers des Kurdes déjà morts. Là, un représentant des forces censées assurer l'ordre et la sécurité du pays donne des coups de pied sur la tête d'un Kurde décédé, et une vidéo filmée à Cizre montre un autre Kurde mort, une corde autour de sa tête, traîné par des militaires turcs tout en prononçant des commentaires approbateurs. L'organisation nazi "Loups gris", appuyée par la police, soumet des enfants Kurdes à la torture, des représentants de l'organisation menaçant de djihad, non seulement les Kurdes, mais aussi les Moscovites. La violence des miliciens turcs n'a pas de bornes. Ils ont déshabillé et torturé une femme kurde avant de la tuer, et même un chien a été soumis à la torture pour son appartenance à une famille kurde. En décembre dernier, les autorités turques ont instauré un couvre-feu dans plusieurs régions kurdes du sud-est du pays en proie à des heurts entre forces de sécurité et militants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) notamment dans le quartier Sur de Diyarbakir, dans les villes de Cizre et Silopi dans la province de Sirnak ainsi qu'à Nusaybin et Dargecit dans la province de Mardin. Selon l'état-major de l'armée turque, plus de 1.000 combattants kurdes auraient été abattus dans les régions en question depuis la mi-décembre. La partie kurde affirme pour sa part qu'il s'agit pour la plupart de victimes civiles. Agences