Le ministère de l'Education nationale a arrêté des mesures strictes pour lutter contre la fraude au Bac. Le ministère de l'Education nationale a arrêté des mesures strictes pour lutter contre la fraude au Bac. Ainsi, une commission interministérielle composée de représentants des secteurs de l'Education, des Technologies de l'information et de la communication (TIC), de la Justice et des services de sécurité a été instituée pour définir les moyens de lutte contre la fraude durant les examens officiels notamment le baccalauréat. Selon la chaîne de télévision Dzaïr TV, la connexion au réseau 3G sera aussi bloquée durant les premières heures des examens. Mme Benghebrit a relevé que son département ministériel "détient aujourd'hui des services capables de détecter toute tentative de fraude et ce à travers le travail de la commission qui veillera à échanger de manière instantanée, les informations". Pour ce qui est des sanctions, elle a ajouté qu'elles seront"sévères" allant d'une exclusion de cinq années pour les scolarisés et à dix années pour les candidats libres. "Tout candidat en possession d'un téléphone portable est considéré comme une tentative de fraude", a-t-elle martelé. Pour faire face à ce phénomène, le ministère de l'Education nationale a interdit l'introduction de téléphones portables dans les classes tant pour les élèves que pour les encadreurs, en l'occurrence les enseignants, surveillants et agents administratifs) des cycles moyen et secondaire. Elle a estimé à ce propos, que la question des fuites était "une pratique immorale, voire une menace pour l'avenir des générations futures", ajoutant enfin qu'une enquête sera ouverte pour déterminer les responsables des fuites de leur publication sur la Toile. Brouilleurs et détecteurs de smartphones Le directeur de l'Education d'Alger Centre, Noureddine Khaldi, a fait état hier du recours à des équipements de brouillage et de détection d'utilisation de smartphones pour l'envoi de sujets ou la réception de réponses via Internet, affirmant que les épreuves ont débuté dans des "conditions normales" au niveau de la capitale. Dans une déclaration à l'APS à l'issue du coup d'envoi de la session 2016 du baccalauréat à partir du lycée de mathématiques Mohand-Mokhbi de Kouba, M. Khaldi a affirmé que les épreuves se déroulent dans des "conditions normales", rappelant les mesures rigoureuses prises pour contrer toute tentative de fraude à travers la mise en place d'équipements de brouillage et de détection d'utilisation de smartphones pour l'envoi de sujets ou la réception de réponses au niveau des centres d'examen. Il a ajouté qu'une cellule de coordination et de suivi est opérationnelle au niveau de la direction de l'éducation pour centraliser le signalement des éventuelles tentatives de fraude dans tous les centres d'examen d'Alger centre. Pour cette session 2016, Alger-Centre compte 21.845 candidats au baccalauréat dont 13.282 scolarisés et 8.563 libres encadrés par 5.211 enseignants et surveillants à travers 56 centres d'examen. Ainsi, une commission interministérielle composée de représentants des secteurs de l'Education, des Technologies de l'information et de la communication (TIC), de la Justice et des services de sécurité a été instituée pour définir les moyens de lutte contre la fraude durant les examens officiels notamment le baccalauréat. Selon la chaîne de télévision Dzaïr TV, la connexion au réseau 3G sera aussi bloquée durant les premières heures des examens. Mme Benghebrit a relevé que son département ministériel "détient aujourd'hui des services capables de détecter toute tentative de fraude et ce à travers le travail de la commission qui veillera à échanger de manière instantanée, les informations". Pour ce qui est des sanctions, elle a ajouté qu'elles seront"sévères" allant d'une exclusion de cinq années pour les scolarisés et à dix années pour les candidats libres. "Tout candidat en possession d'un téléphone portable est considéré comme une tentative de fraude", a-t-elle martelé. Pour faire face à ce phénomène, le ministère de l'Education nationale a interdit l'introduction de téléphones portables dans les classes tant pour les élèves que pour les encadreurs, en l'occurrence les enseignants, surveillants et agents administratifs) des cycles moyen et secondaire. Elle a estimé à ce propos, que la question des fuites était "une pratique immorale, voire une menace pour l'avenir des générations futures", ajoutant enfin qu'une enquête sera ouverte pour déterminer les responsables des fuites de leur publication sur la Toile. Brouilleurs et détecteurs de smartphones Le directeur de l'Education d'Alger Centre, Noureddine Khaldi, a fait état hier du recours à des équipements de brouillage et de détection d'utilisation de smartphones pour l'envoi de sujets ou la réception de réponses via Internet, affirmant que les épreuves ont débuté dans des "conditions normales" au niveau de la capitale. Dans une déclaration à l'APS à l'issue du coup d'envoi de la session 2016 du baccalauréat à partir du lycée de mathématiques Mohand-Mokhbi de Kouba, M. Khaldi a affirmé que les épreuves se déroulent dans des "conditions normales", rappelant les mesures rigoureuses prises pour contrer toute tentative de fraude à travers la mise en place d'équipements de brouillage et de détection d'utilisation de smartphones pour l'envoi de sujets ou la réception de réponses au niveau des centres d'examen. Il a ajouté qu'une cellule de coordination et de suivi est opérationnelle au niveau de la direction de l'éducation pour centraliser le signalement des éventuelles tentatives de fraude dans tous les centres d'examen d'Alger centre. Pour cette session 2016, Alger-Centre compte 21.845 candidats au baccalauréat dont 13.282 scolarisés et 8.563 libres encadrés par 5.211 enseignants et surveillants à travers 56 centres d'examen.