C'est l'Algérie qui va désormais approvisionner en pétrole l'île de Cuba pour compenser le déficit engendré par la baisse du volume de l'approvisionnement en provenance du Venezuela, qui s'est érodé de plus de 40% depuis le début de l'année. C'est l'Algérie qui va désormais approvisionner en pétrole l'île de Cuba pour compenser le déficit engendré par la baisse du volume de l'approvisionnement en provenance du Venezuela, qui s'est érodé de plus de 40% depuis le début de l'année. En octobre prochain, Sonatrach devrait livrer au total 80.000 tonnes de brut, soit 515.000 barils de pétrole à la PDVSA, a précisé cette dernière dans un communiqué en date du mercredi dernier, révélant qu'il pourrait y a avoir une autre cargaison au mois de novembre ou de décembre prochains. Même si Cuba dépend presqu'exclusivement du Venezuela pour son approvisionnement en pétrole brut, elle importe jusqu'à 300 millions de dollars de produits pétroliers en provenance d'Afrique notamment d'Angola, parmi lesquels le naphta. Caracas a vu sa production de pétrole s'étioler en raison de la chute des prix qui ont sérieusement affecté les producteurs qui investissent très peu désormais. Les retards de paiement sur les cargaisons livrées à certains de ses clients constituent également l'une des principales raisons ayant conduit à la chute de la production vénézuélienne. Cette occasion devrait permettre à l'Algérie de gagner davantage de parts de marché et de s'imposer comme un leader sur le marché international. Enfin, le récent rapprochement de la Havane et Washington a, quelque peu, refroidi les relations entre les deux anciens alliés d'Amérique du sud. En octobre prochain, Sonatrach devrait livrer au total 80.000 tonnes de brut, soit 515.000 barils de pétrole à la PDVSA, a précisé cette dernière dans un communiqué en date du mercredi dernier, révélant qu'il pourrait y a avoir une autre cargaison au mois de novembre ou de décembre prochains. Même si Cuba dépend presqu'exclusivement du Venezuela pour son approvisionnement en pétrole brut, elle importe jusqu'à 300 millions de dollars de produits pétroliers en provenance d'Afrique notamment d'Angola, parmi lesquels le naphta. Caracas a vu sa production de pétrole s'étioler en raison de la chute des prix qui ont sérieusement affecté les producteurs qui investissent très peu désormais. Les retards de paiement sur les cargaisons livrées à certains de ses clients constituent également l'une des principales raisons ayant conduit à la chute de la production vénézuélienne. Cette occasion devrait permettre à l'Algérie de gagner davantage de parts de marché et de s'imposer comme un leader sur le marché international. Enfin, le récent rapprochement de la Havane et Washington a, quelque peu, refroidi les relations entre les deux anciens alliés d'Amérique du sud.