Le ministère de l'Education a décidé de porter plainte contre une association de parents d'élèves qui incite les enfants à boycotter l'école. Le ministère de l'Education a décidé de porter plainte contre une association de parents d'élèves qui incite les enfants à boycotter l'école. Dans une conférence de presse animée hier à Alger, Nedjadi Messeguem, inspecteur général au ministère de l'Education, a déclaré que le département de Nouria Benghebrit va saisir la justice sur les agissements de cette association contraire à sa mission qui est de veiller sur les conditions de prise en charge des écoliers. L'association visée par cette plainte semble être celle dirigée par Ali Benzina, qui aurait exprimé son opposition au contenu non "sain" de certains programmes scolaires à travers une campagne pour le boycott des classes. Cette "affaire" intervient dans un contexte marqué par des attaques de toute nature contre la ministre de l'Education accusée par les islamistes d'oeuvrer à "la destruction de l'identité nationale". Les auteurs de ces attaques ont redoublé de férocité après la décision prise par le ministère de l'Education de retirer un manuel scolaire pour corriger une erreur constatée sur une carte géographique dans laquelle figure Israël. L'inspecteur général du ministère est revenu sur cet épisode et sur ce qui circule sur les réseaux sociaux et ce qui est présenté comme d'autres erreurs dans des manuels scolaires. Selon lui, "il y a eu trop de manipulation et d'exagération sur le sujet", assurant que tout ce qui est diffusé sur Internet n'est pas vrai. "Nous avons vu sur les réseaux sociaux des copies de livres égyptiens présentés comme algériens", a souligné Messeguem selon lequel le livre qui fait polémique par le fait qu'il présente l'Algérie comme un pays arabe à 80 % est "un livre parascolaire" vendu dans les librairies et qui n'a rien à voir avec le ministère de l'Education. Appelant ainsi les médias à vérifier l'information avant sa diffusion pour ne pas servir les "intérêts" des propagandistes, l'inspecteur de l'Education nationale accuse des "parties" qu'il ne nomme pas de "manoeuvrer" par tous les moyens pour "maintenir l'école dans la médiocrité". Messeguem a défendu la nouvelle politique appliquée dans le secteur qui vise à assurer une école de qualité et à former les générations de demain. Dans une conférence de presse animée hier à Alger, Nedjadi Messeguem, inspecteur général au ministère de l'Education, a déclaré que le département de Nouria Benghebrit va saisir la justice sur les agissements de cette association contraire à sa mission qui est de veiller sur les conditions de prise en charge des écoliers. L'association visée par cette plainte semble être celle dirigée par Ali Benzina, qui aurait exprimé son opposition au contenu non "sain" de certains programmes scolaires à travers une campagne pour le boycott des classes. Cette "affaire" intervient dans un contexte marqué par des attaques de toute nature contre la ministre de l'Education accusée par les islamistes d'oeuvrer à "la destruction de l'identité nationale". Les auteurs de ces attaques ont redoublé de férocité après la décision prise par le ministère de l'Education de retirer un manuel scolaire pour corriger une erreur constatée sur une carte géographique dans laquelle figure Israël. L'inspecteur général du ministère est revenu sur cet épisode et sur ce qui circule sur les réseaux sociaux et ce qui est présenté comme d'autres erreurs dans des manuels scolaires. Selon lui, "il y a eu trop de manipulation et d'exagération sur le sujet", assurant que tout ce qui est diffusé sur Internet n'est pas vrai. "Nous avons vu sur les réseaux sociaux des copies de livres égyptiens présentés comme algériens", a souligné Messeguem selon lequel le livre qui fait polémique par le fait qu'il présente l'Algérie comme un pays arabe à 80 % est "un livre parascolaire" vendu dans les librairies et qui n'a rien à voir avec le ministère de l'Education. Appelant ainsi les médias à vérifier l'information avant sa diffusion pour ne pas servir les "intérêts" des propagandistes, l'inspecteur de l'Education nationale accuse des "parties" qu'il ne nomme pas de "manoeuvrer" par tous les moyens pour "maintenir l'école dans la médiocrité". Messeguem a défendu la nouvelle politique appliquée dans le secteur qui vise à assurer une école de qualité et à former les générations de demain.