La diversification des ressources énergétiques, à travers notamment l'exploitation des gisements solaire et éolien, figure désormais en bonne place dans l'agenda des pouvoirs publics qui l'ont déclarée "priorité nationale". La diversification des ressources énergétiques, à travers notamment l'exploitation des gisements solaire et éolien, figure désormais en bonne place dans l'agenda des pouvoirs publics qui l'ont déclarée "priorité nationale". S'exprimant à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, le P.-dg de Sonelgaz annonce que son entreprise planche actuellement sur un vaste projet visant à produire 4.000 mégawatts d'électricité dérivée de l'énergie solaire et 500 mégawatts tirés de la force éolienne. Mustapha Guitouni signale que ce projet sera réalisé en tranches de 400 mégawatts/an, "à l'aide de financements extérieurs". Il tient, en outre, à préciser que par "extérieurs", il ne faut pas entendre "étrangers", ajoutant que le pays n'est pas en retard, pour ce qui a trait à la maîtrise technologique de ces types d'énergie. Appelant à une prise de conscience nationale en matière de consommation d'énergie pour, dit-il, que les ménages cessent de se plaindre de "factures salées", l'intervenant en vient, ensuite, à aborder l'augmentation des coûts de l'électricité, dont il assure "qu'elle n'est pas à l'ordre du jour". Posant le problème de recouvrements des créances par son entreprise, qu'il évalue globalement à 64 milliards de dinars, dont 40 à 60 % sont imputés au secteur public, M. Guitouni déclare vouloir épargner à ces mauvais payeurs, des coupures d'énergie ou bien le recours aux instances judiciaires. Il avoue plutôt être en faveur de "discussions à l'amiable" et l'établissement, en faveur de ces derniers, d'échéanciers de paiement S'exprimant à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, le P.-dg de Sonelgaz annonce que son entreprise planche actuellement sur un vaste projet visant à produire 4.000 mégawatts d'électricité dérivée de l'énergie solaire et 500 mégawatts tirés de la force éolienne. Mustapha Guitouni signale que ce projet sera réalisé en tranches de 400 mégawatts/an, "à l'aide de financements extérieurs". Il tient, en outre, à préciser que par "extérieurs", il ne faut pas entendre "étrangers", ajoutant que le pays n'est pas en retard, pour ce qui a trait à la maîtrise technologique de ces types d'énergie. Appelant à une prise de conscience nationale en matière de consommation d'énergie pour, dit-il, que les ménages cessent de se plaindre de "factures salées", l'intervenant en vient, ensuite, à aborder l'augmentation des coûts de l'électricité, dont il assure "qu'elle n'est pas à l'ordre du jour". Posant le problème de recouvrements des créances par son entreprise, qu'il évalue globalement à 64 milliards de dinars, dont 40 à 60 % sont imputés au secteur public, M. Guitouni déclare vouloir épargner à ces mauvais payeurs, des coupures d'énergie ou bien le recours aux instances judiciaires. Il avoue plutôt être en faveur de "discussions à l'amiable" et l'établissement, en faveur de ces derniers, d'échéanciers de paiement