Le Premier ministre a indiqué que le taux des projets reportés au niveau de 10 wilayas du Sud a atteint, jusqu'au 31 décembre 2015, 3,6 % de l'ensemble des programmes reportés au niveau national et 5,2 % du plan de charges spécifique à ces wilayas. Le Premier ministre a indiqué que le taux des projets reportés au niveau de 10 wilayas du Sud a atteint, jusqu'au 31 décembre 2015, 3,6 % de l'ensemble des programmes reportés au niveau national et 5,2 % du plan de charges spécifique à ces wilayas. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé avant-hier que "le taux des projets reportés dans les régions du sud, en raison de la chute des cours du pétrole, était faible et ne dépassait pas 3,6 % de l'ensemble des programmes reportés au niveau national". Dans sa réponse à une question orale concernant la non exclusion des wilayas de l'extrême Sud de la décision de gel des projets, prise suite aux effets de la crise financière induite par la chute des cours de pétrole au niveau international notamment sur les secteurs de la santé et de l'enseignement, lue par la ministre chargée des relations avec le Parlement, Ghania Eddalia, le Premier ministre a indiqué que "le taux des projets reportés au niveau de 10 wilayas du Sud a atteint, jusqu'au 31 décembre 2015, 3,6 % de l'ensemble des programmes reportés au niveau national et 5,2 % du plan de charges spécifique à ces wilayas". Il s'agit de 414 projets, tous types confondus, dotés d'une enveloppe estimée à 64 milliards de dinars. Concernant les wilayas de l'extrême Sud, à l'instar d'Adrar, Tamanrasset, Tindouf et Illizi, ce taux a atteint 6,3 % de leur plan de charges, soit 106 projets dotés d'une enveloppe estimée à 32,4 milliards de dinars. Sellal a évoqué, dans ce cadre, la décision du plafonnement des dépenses d'équipement qui vise à préserver les équilibres financiers du pays et qui a touché toutes les wilayas, tout en accordant la priorité à la réalisation des projets lancés ou ceux dont les études de faisabilité sont déjà finalisées. Il a rassuré que cette décision concerne le report et non l'annulation de projets, affirmant que l'Etat "ne renoncera pas à sa politique destinée aux régions du Sud, tout en tenant compte de la situation financière du pays". De son côté le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi, a annoncé qu'un projet de circulaire interministérielle, portant mesures de facilitation de recrutement et renforcement de la formation à travers l'apprentissage dans les wilayas du Sud, est actuellement en consultation. A une question d'un député du Conseil de la Nation relative à l'emploi dans les wilayas du Sud, lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales, El Ghazi a indiqué que "le projet de la circulaire élaborée par le ministère du Travail sur la base de ce qui a été constaté sur le terrain est actuellement en consultation au niveau des départements ministériels concernés". El Ghazi a précisé que la circulaire interministérielle permettra de "répondre aux exigences du développement de l'emploi à la lumière des besoins exprimés sur le marché du travail, en particulier dans les wilayas du Sud". Evoquant la situation de l'emploi dans cette région, le ministre a affirmé "qu'un recul du taux de chômage et une amélioration en matière de placement des demandeurs d'emploi dans le secteur économique ont été enregistrés dans cette région au cours des dernières années". Le ministre a souligné, dans ce sens, que "le progrès réalisé par le placement économique des demandeurs d'emploi dans les wilayas du Sud a dépassé les 29 % durant la période 2013-2015 passant de 38.000 placements en 2013 à 50.000 en 2015". El Ghazi a expliqué la "nette amélioration" de la situation de l'emploi dans les wilayas du Sud par l'application de l'instruction du Premier ministre du 11 mars 2013 relative à la gestion de l'emploi dans les wilayas du Sud. Ces mesures traduisent la "volonté du gouvernement à organiser le marché du travail et d'assurer une gestion transparente en consacrant l'égalité des chances et en facilitant l'intégration des jeunes dans la vie professionnelle dans ces wilayas". Concernant la modernisation du dispositif public de l'emploi, le ministre a précisé que ces mesures ont permis de renforcer le réseau des agences locales dans les wilayas du sud dont le nombre est passé de 30 agences en 2011 à 42 en 2014, dont 12 agences implantées dans la wilaya de Ouargla dispose du plus important réseau du pays. Le ministre a indiqué que l'utilisation du nouveau système informatique El Wassit et de la nomenclature algérienne des métiers et des fonctions a été lancée dans toutes les wilayas du sud pour améliorer la prise en charge des jeunes demandeurs d'emploi, d'une part, et répondre aux besoins du patronat en main d'oeuvre qualifiée, d'autre part. Concernant le soutien à la création de projets, le ministre a souligné que l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (Ansej) et la Caisse nationale d'assurance-chômage (Cnac) ont contribué durant la période 2013-2015 au financement de prés de 20.000 microprojets, ce qui a permis la création de 46.400 postes d'emploi. El Ghazi a affirmé que "l'instruction du Premier ministre accorde également un intérêt particulier au perfectionnement de la main d'oeuvre locale dans les wilayas du sud à travers l'activation des programmes de formation, le renforcement du contrôle de l'application de la législation et de la réglementation relatives à l'emploi, notamment en matière de placement des travailleurs et du contrôle de l'emploi". Il a souligné à ce propos que "les opérations de contrôle effectuées par les services de l'inspection du travail durant la période 2013-2015, ont fait état de 4.310 procès-verbaux d'infractions contre 1.135 organismes employeurs ayant recruté 12.115 travailleurs sans respecter la réglementation. Le ministre a indiqué que 60 % des infractions concernent le secteur privé national, 20,69 %, le secteur privé étranger et 12,38 le secteur public". Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé avant-hier que "le taux des projets reportés dans les régions du sud, en raison de la chute des cours du pétrole, était faible et ne dépassait pas 3,6 % de l'ensemble des programmes reportés au niveau national". Dans sa réponse à une question orale concernant la non exclusion des wilayas de l'extrême Sud de la décision de gel des projets, prise suite aux effets de la crise financière induite par la chute des cours de pétrole au niveau international notamment sur les secteurs de la santé et de l'enseignement, lue par la ministre chargée des relations avec le Parlement, Ghania Eddalia, le Premier ministre a indiqué que "le taux des projets reportés au niveau de 10 wilayas du Sud a atteint, jusqu'au 31 décembre 2015, 3,6 % de l'ensemble des programmes reportés au niveau national et 5,2 % du plan de charges spécifique à ces wilayas". Il s'agit de 414 projets, tous types confondus, dotés d'une enveloppe estimée à 64 milliards de dinars. Concernant les wilayas de l'extrême Sud, à l'instar d'Adrar, Tamanrasset, Tindouf et Illizi, ce taux a atteint 6,3 % de leur plan de charges, soit 106 projets dotés d'une enveloppe estimée à 32,4 milliards de dinars. Sellal a évoqué, dans ce cadre, la décision du plafonnement des dépenses d'équipement qui vise à préserver les équilibres financiers du pays et qui a touché toutes les wilayas, tout en accordant la priorité à la réalisation des projets lancés ou ceux dont les études de faisabilité sont déjà finalisées. Il a rassuré que cette décision concerne le report et non l'annulation de projets, affirmant que l'Etat "ne renoncera pas à sa politique destinée aux régions du Sud, tout en tenant compte de la situation financière du pays". De son côté le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi, a annoncé qu'un projet de circulaire interministérielle, portant mesures de facilitation de recrutement et renforcement de la formation à travers l'apprentissage dans les wilayas du Sud, est actuellement en consultation. A une question d'un député du Conseil de la Nation relative à l'emploi dans les wilayas du Sud, lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales, El Ghazi a indiqué que "le projet de la circulaire élaborée par le ministère du Travail sur la base de ce qui a été constaté sur le terrain est actuellement en consultation au niveau des départements ministériels concernés". El Ghazi a précisé que la circulaire interministérielle permettra de "répondre aux exigences du développement de l'emploi à la lumière des besoins exprimés sur le marché du travail, en particulier dans les wilayas du Sud". Evoquant la situation de l'emploi dans cette région, le ministre a affirmé "qu'un recul du taux de chômage et une amélioration en matière de placement des demandeurs d'emploi dans le secteur économique ont été enregistrés dans cette région au cours des dernières années". Le ministre a souligné, dans ce sens, que "le progrès réalisé par le placement économique des demandeurs d'emploi dans les wilayas du Sud a dépassé les 29 % durant la période 2013-2015 passant de 38.000 placements en 2013 à 50.000 en 2015". El Ghazi a expliqué la "nette amélioration" de la situation de l'emploi dans les wilayas du Sud par l'application de l'instruction du Premier ministre du 11 mars 2013 relative à la gestion de l'emploi dans les wilayas du Sud. Ces mesures traduisent la "volonté du gouvernement à organiser le marché du travail et d'assurer une gestion transparente en consacrant l'égalité des chances et en facilitant l'intégration des jeunes dans la vie professionnelle dans ces wilayas". Concernant la modernisation du dispositif public de l'emploi, le ministre a précisé que ces mesures ont permis de renforcer le réseau des agences locales dans les wilayas du sud dont le nombre est passé de 30 agences en 2011 à 42 en 2014, dont 12 agences implantées dans la wilaya de Ouargla dispose du plus important réseau du pays. Le ministre a indiqué que l'utilisation du nouveau système informatique El Wassit et de la nomenclature algérienne des métiers et des fonctions a été lancée dans toutes les wilayas du sud pour améliorer la prise en charge des jeunes demandeurs d'emploi, d'une part, et répondre aux besoins du patronat en main d'oeuvre qualifiée, d'autre part. Concernant le soutien à la création de projets, le ministre a souligné que l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (Ansej) et la Caisse nationale d'assurance-chômage (Cnac) ont contribué durant la période 2013-2015 au financement de prés de 20.000 microprojets, ce qui a permis la création de 46.400 postes d'emploi. El Ghazi a affirmé que "l'instruction du Premier ministre accorde également un intérêt particulier au perfectionnement de la main d'oeuvre locale dans les wilayas du sud à travers l'activation des programmes de formation, le renforcement du contrôle de l'application de la législation et de la réglementation relatives à l'emploi, notamment en matière de placement des travailleurs et du contrôle de l'emploi". Il a souligné à ce propos que "les opérations de contrôle effectuées par les services de l'inspection du travail durant la période 2013-2015, ont fait état de 4.310 procès-verbaux d'infractions contre 1.135 organismes employeurs ayant recruté 12.115 travailleurs sans respecter la réglementation. Le ministre a indiqué que 60 % des infractions concernent le secteur privé national, 20,69 %, le secteur privé étranger et 12,38 le secteur public".