A l'instar d'autres partis politiques le front des forces socialistes (FFS) à répondu au président de la République, Abdelaziz Bouteflika. A l'instar d'autres partis politiques le front des forces socialistes (FFS) à répondu au président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Ce dernier a invité la classe politique à se prononcer sur la proposition de nomination d'Abdelwahab Derbal à la tête de la Haute commission de surveillance des élections (HCSE). D'emblée le FFS estime qu'il y'a absence « des pré-requis politiques et institutionnels qui feraient de la mise en place de la commission de surveillance des élections, et donc des conditions dans lesquelles ladite commission devra effectuer ses missions, un apport effectif à l'amélioration de l'exercice électoral dans notre pays ». Par conséquent le plus vieux parti de l'opposition « n'estime pas utile d'apporter un jugement sur la personne quand c'est sur la démarche ayant présidé à la création de la structure que portent ses réserves ». Dans la déclaration rendue publique hier et signée de la main du premier secrétaire, Abdelmalek Bouchaffa, « le FFS estime que commenter une nomination à la tête d'une structure est un usage qui n'a de sens que si on cautionne les conditions de mise en place de la structure en question qui émane d'une Constitution non-consensuelle ». Une réponse qui ne souffre d'aucune équivoque. Le FFS manifeste clairement son incrédulité. Ce parti, en d'autres termes, rejette la démarche même du pouvoir s'agissant de la HCSE puisque il la considère comme l'émanation d'une «Constitution non consensuelle ». Le FFS évoque ainsi la Constitution révisée adoptée le 7 février dernier par le Parlement réuni en session extraordinaire. Ce parti, à l'instar d'ailleurs de la majorité des partis de l'opposition, n' pas voulu participé aux consultations engagées par le pouvoir autour de cette loi fondamentale. Cela dit, par cette réponse négative le FFS rejoint le camp des partis politiques qui ont eu déjà à adopter la même position. Presque aucun parti de l'opposition ne s'est exprimé sur le choix de la personne d'Abdelwahab Derbal. Ce n'est pas la personne de cet ancien ministre et ex-ambassadeur qui est à l'origine de cette attitude, mais l'opposition rejette en bloc la démarche du pouvoir relative à cette HCSE. Les partis de l'opposition, qui ont bataillé pour l'installation d'une commission indépendante de surveillance des élections, estiment, en effet, que la HCSE est loin de répandre favorablement à leurs doléances. Par ailleurs le FFS, dont la réponse à l'invite du président Bouteflika, était attendue et ne constitue pas une surprise , a saisi cette opportunité pour mettre de nouveau en exergue ses propositions de sortie de crise. Il a ainsi, après avoir rejette ce qu'il considère comme « formalisme dans le dialogue », remis sur la table sa proposition relative au consensus national. « Le FFS n'a cessé de faire des propositions de sortie de crise pacifique, organisée et contractuelle dans laquelle le dialogue et la concertation ne seraient pas de pure forme et ouvriraient la voix à la reconstruction du consensus national qui manque cruellement à notre pays » indique le premier secrétaire du parti. Ce parti réitère par conséquent de manière claire « sa proposition de sortie de crise par la reconstruction d'un consensus national qui mettrait fin au formalisme actuel lequel vide l'exercice institutionnel de tout prolongement positif sur le terrain de la gouvernance ». Ce dernier a invité la classe politique à se prononcer sur la proposition de nomination d'Abdelwahab Derbal à la tête de la Haute commission de surveillance des élections (HCSE). D'emblée le FFS estime qu'il y'a absence « des pré-requis politiques et institutionnels qui feraient de la mise en place de la commission de surveillance des élections, et donc des conditions dans lesquelles ladite commission devra effectuer ses missions, un apport effectif à l'amélioration de l'exercice électoral dans notre pays ». Par conséquent le plus vieux parti de l'opposition « n'estime pas utile d'apporter un jugement sur la personne quand c'est sur la démarche ayant présidé à la création de la structure que portent ses réserves ». Dans la déclaration rendue publique hier et signée de la main du premier secrétaire, Abdelmalek Bouchaffa, « le FFS estime que commenter une nomination à la tête d'une structure est un usage qui n'a de sens que si on cautionne les conditions de mise en place de la structure en question qui émane d'une Constitution non-consensuelle ». Une réponse qui ne souffre d'aucune équivoque. Le FFS manifeste clairement son incrédulité. Ce parti, en d'autres termes, rejette la démarche même du pouvoir s'agissant de la HCSE puisque il la considère comme l'émanation d'une «Constitution non consensuelle ». Le FFS évoque ainsi la Constitution révisée adoptée le 7 février dernier par le Parlement réuni en session extraordinaire. Ce parti, à l'instar d'ailleurs de la majorité des partis de l'opposition, n' pas voulu participé aux consultations engagées par le pouvoir autour de cette loi fondamentale. Cela dit, par cette réponse négative le FFS rejoint le camp des partis politiques qui ont eu déjà à adopter la même position. Presque aucun parti de l'opposition ne s'est exprimé sur le choix de la personne d'Abdelwahab Derbal. Ce n'est pas la personne de cet ancien ministre et ex-ambassadeur qui est à l'origine de cette attitude, mais l'opposition rejette en bloc la démarche du pouvoir relative à cette HCSE. Les partis de l'opposition, qui ont bataillé pour l'installation d'une commission indépendante de surveillance des élections, estiment, en effet, que la HCSE est loin de répandre favorablement à leurs doléances. Par ailleurs le FFS, dont la réponse à l'invite du président Bouteflika, était attendue et ne constitue pas une surprise , a saisi cette opportunité pour mettre de nouveau en exergue ses propositions de sortie de crise. Il a ainsi, après avoir rejette ce qu'il considère comme « formalisme dans le dialogue », remis sur la table sa proposition relative au consensus national. « Le FFS n'a cessé de faire des propositions de sortie de crise pacifique, organisée et contractuelle dans laquelle le dialogue et la concertation ne seraient pas de pure forme et ouvriraient la voix à la reconstruction du consensus national qui manque cruellement à notre pays » indique le premier secrétaire du parti. Ce parti réitère par conséquent de manière claire « sa proposition de sortie de crise par la reconstruction d'un consensus national qui mettrait fin au formalisme actuel lequel vide l'exercice institutionnel de tout prolongement positif sur le terrain de la gouvernance ».