C'est une échéance politique que tous les partis politiques craignent. Les élections législatives ne sont pas une simple sinécure, loin s'en faut. C'est une échéance politique que tous les partis politiques craignent. Les élections législatives ne sont pas une simple sinécure, loin s'en faut. De par leur importance cruciale , bien plus que les élections locales, ces joutes électorales ont été de tout temps un véritable casse-tête pour les formations politiques, toutes tendances politiques confondues.Car l'engouement qui s'empare des cadres militants génére quelque fois des situations conflictuelles. Le désir de tout un chacun d'être aux premières loges des listes électorales est difficilement gérable pour les états-major des partis politiques. On comprend dès lors pourquoi des voix débordantes se font entendre au sein de certains partis politiques. Au FLN et au RND, tout particulièrement, c'est même devenu une tradition bien ancrée. D'autres partis politiques de moindre importance n'échappent pas à cette règle qui menace leur stabilité. Au FLN, de loin le plus important parti sur l'‘échiquier politique national, les opposants à la direction politique montent au créneau et exercent une terrible pression. Les « redresseurs » ne veulent pas être en marge et font le forcing pour être présents lors de ces élections législatives à travers les listes du vieux parti. Abdelaziz Belkhadem, Abderrahmane Belayat, Abdelkrim Abada et d'autres personnalités encore multiplient les déclarations allant dans ce sens. Saisissant l'opportunité du départ de Amar Saâdani de le tête du parti et son remplacement par Djamal Ould Abbes, ils ont clairement affiché leur ambition de revenir dans le jeu politique interne du parti. En d'autres termes, ils veulent placer leurs fidèles dans les listes électorales du parti. Pour ce faire ils appellent le nouveau secrétaire général , à savoir Djamal Ould Abbes, au dialogue et à la concertation pour confectionner des listes communes A défaut ils menacent d'établir des listes concurrentes à celles du FLN. Une situation qui risque de générer des situations inextricables qui ne serviraient nullement les intérêts du vieux parti. Ce d'autant que le FLN mise beaucoup sur les prochaines élections législatives pour raffermir encore plus son leadership sur l'échiquier politique national. Djamal Ould Abbes, contrairement à son prédécesseur, Amar Saâdani qui était en guerre ouverte contre Belkhadem, Belayat et consorts, a, dès son intronisation, tendu la main à tous les opposants de la direction du parti. Mais il est resté ferme sur le fond : la légitimité des instances issues du 10é congrès. Va-t-il répondre favorablement aux doléances des « redresseurs » en les intégrant dans les listes électorales du parti ? Seul l'avenir nous le dira. Un autre parti risque d'être lui aussi dans la tourmente à cause des probables frictions internes qui vont surgir . Il s'agit du RND, l'alter ego du FLN, où des opposants au secrétaire général, Ahmed Ouyahia, viennent de se manifester. Les élections législatives sont au coeur de la déclaration de ces opposants qui menacent de participer à cette échéance électorale avec leurs propres listes. C'est-à-dire des listes concurrentes à celles du RND. Ces opposants fustigent Ouyahia et l'accusent, encore une fois, de transgresser la ligne originelle du parti. Ces frondeurs annoncent aussi la mise en place d'une commission chargée de définir les critères et les mécanismes de la participation aux élections législatives. Les frondeurs établissent même des critères pour le choix des candidats. Des critères qui tournent autour de « l'intégrité, l'efficacité, la compétence et l'engagement ». Autant dire qu'Ahmed Ouyahia, qui a déjà été « débarqué » par le passé par ces même frondeurs, a du souci à se faire à quelques mois des législatives. De par leur importance cruciale , bien plus que les élections locales, ces joutes électorales ont été de tout temps un véritable casse-tête pour les formations politiques, toutes tendances politiques confondues.Car l'engouement qui s'empare des cadres militants génére quelque fois des situations conflictuelles. Le désir de tout un chacun d'être aux premières loges des listes électorales est difficilement gérable pour les états-major des partis politiques. On comprend dès lors pourquoi des voix débordantes se font entendre au sein de certains partis politiques. Au FLN et au RND, tout particulièrement, c'est même devenu une tradition bien ancrée. D'autres partis politiques de moindre importance n'échappent pas à cette règle qui menace leur stabilité. Au FLN, de loin le plus important parti sur l'‘échiquier politique national, les opposants à la direction politique montent au créneau et exercent une terrible pression. Les « redresseurs » ne veulent pas être en marge et font le forcing pour être présents lors de ces élections législatives à travers les listes du vieux parti. Abdelaziz Belkhadem, Abderrahmane Belayat, Abdelkrim Abada et d'autres personnalités encore multiplient les déclarations allant dans ce sens. Saisissant l'opportunité du départ de Amar Saâdani de le tête du parti et son remplacement par Djamal Ould Abbes, ils ont clairement affiché leur ambition de revenir dans le jeu politique interne du parti. En d'autres termes, ils veulent placer leurs fidèles dans les listes électorales du parti. Pour ce faire ils appellent le nouveau secrétaire général , à savoir Djamal Ould Abbes, au dialogue et à la concertation pour confectionner des listes communes A défaut ils menacent d'établir des listes concurrentes à celles du FLN. Une situation qui risque de générer des situations inextricables qui ne serviraient nullement les intérêts du vieux parti. Ce d'autant que le FLN mise beaucoup sur les prochaines élections législatives pour raffermir encore plus son leadership sur l'échiquier politique national. Djamal Ould Abbes, contrairement à son prédécesseur, Amar Saâdani qui était en guerre ouverte contre Belkhadem, Belayat et consorts, a, dès son intronisation, tendu la main à tous les opposants de la direction du parti. Mais il est resté ferme sur le fond : la légitimité des instances issues du 10é congrès. Va-t-il répondre favorablement aux doléances des « redresseurs » en les intégrant dans les listes électorales du parti ? Seul l'avenir nous le dira. Un autre parti risque d'être lui aussi dans la tourmente à cause des probables frictions internes qui vont surgir . Il s'agit du RND, l'alter ego du FLN, où des opposants au secrétaire général, Ahmed Ouyahia, viennent de se manifester. Les élections législatives sont au coeur de la déclaration de ces opposants qui menacent de participer à cette échéance électorale avec leurs propres listes. C'est-à-dire des listes concurrentes à celles du RND. Ces opposants fustigent Ouyahia et l'accusent, encore une fois, de transgresser la ligne originelle du parti. Ces frondeurs annoncent aussi la mise en place d'une commission chargée de définir les critères et les mécanismes de la participation aux élections législatives. Les frondeurs établissent même des critères pour le choix des candidats. Des critères qui tournent autour de « l'intégrité, l'efficacité, la compétence et l'engagement ». Autant dire qu'Ahmed Ouyahia, qui a déjà été « débarqué » par le passé par ces même frondeurs, a du souci à se faire à quelques mois des législatives.