Le projet de loi de finances (PLF) 2017 sera au menu des députés ce lundi. Durant plusieurs jours les députés vont passer au peigne fin ce projet de loi. Le projet de loi de finances (PLF) 2017 sera au menu des députés ce lundi. Durant plusieurs jours les députés vont passer au peigne fin ce projet de loi. Les débats s'annoncent houleux, passionnants et passionnés. C'est que ce projet de loi a déjà fait couler beaucoup d'encre avant qu'il ne soit soumis à l'appréciation des députés lors des séances plénières. Le PLF 2017 intervient dans une conjoncture marquée par la diminution des ressources financières du pays suite à la chute, depuis deux ans maintenant, des prix du baril de pétrole. On comprend dès lors pourquoi il contient des mesures visant une rationalisation des dépenses. Ce texte table, ainsi, sur une hausse de la fiscalité ordinaire et pour ce faire il contient plusieurs nouvelles taxes. Le PLF 2017 renferme en effet une série de dispositions juridiques et fiscales qui visent à améliorer les recettes de l'Etat. La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) connaîtra une hausse. Les taux seront relevés de 2 points de pourcentage. Ils passeront de 17 % à 19 % pour le taux plein de 7 % à 9 % pour le taux réduit. La taxe intérieure sur la consommation sera étendue et relevée pour certains produits dits - de luxe -. Déjà augmentée en 2016, la TIC concerne notamment les véhicules de grosses cylindrées, les fruits exotiques, le saumon et le caviar. En plus d'une hausse des taux, d'autres produits devraient donc être soumis à cette TIC. La TIC sur les tabacs sera aussi augmenté. Des taxes sur l'immobilier et sur les produits énergivores sont aussi prévues. Autant dire que ces augmentations vont avoir une incidence directe sur les prix de certains produits. C'est ce qui explique les débats qui ont déjà eu lieu sur ces dispositions, mais aussi les craintes qui ont été soulevées. Les députés de l'opposition, et même parfois ceux de la majorité parlementaire ont fait montre de leurs craintes par rapport, notamment au pouvoir d'achat des citoyens. On s'attend ainsi à un débat houleux et les députés de l'opposition fourbissent déjà leurs armes dans cette perspective. Quelles actions vont-ils entreprendre pour essayer de faire barrage à ce projet de loi. Pour le moment il semble que rien n'est fait dans ce sens puisqu'aucune information n'a circulé sur l'éventualité d'actions communes que pourraient entreprendre les groupes parlementaires de cette opposition. Si ces groupes parlementaires, à savoir ceux représentant le FFS, le Parti des travailleurs, l'AAV et le front El Adala, ont tous dénoncés les mesures que contient le PLF 2017 il n'en est rien s'agissant de la manière avec laquelle ils comptent faire entendre leurs voix pour dire non à ce texte. Vont-ils seulement se contenter de critiquer ce projet lors des débats comme ils le font à chaque fois lorsqu'ils sont devant un texte qui touche directement au pouvoir d'achat des Algériens ? On se rappelle de ce qui s'est passé l'année dernière lors de l'examen du projet de loi de finances 2016. Les députés de l'opposition ont en effet manifesté une vive opposition lors de la séance plénière, ils ont même essayé de perturber ou d'empêcher le déroulement des débats. Ils en sont même venus aux mains avec les députés de la majorité. C'était une première tant jamais l'APN n'a connue un pareil événement. Les députés de l'opposition ont même organisé un rassemblement en dehors de l'APN. C'est dire que la tension a atteint son paroxysme. En sera-t-il de même cette année ? Les débats s'annoncent houleux, passionnants et passionnés. C'est que ce projet de loi a déjà fait couler beaucoup d'encre avant qu'il ne soit soumis à l'appréciation des députés lors des séances plénières. Le PLF 2017 intervient dans une conjoncture marquée par la diminution des ressources financières du pays suite à la chute, depuis deux ans maintenant, des prix du baril de pétrole. On comprend dès lors pourquoi il contient des mesures visant une rationalisation des dépenses. Ce texte table, ainsi, sur une hausse de la fiscalité ordinaire et pour ce faire il contient plusieurs nouvelles taxes. Le PLF 2017 renferme en effet une série de dispositions juridiques et fiscales qui visent à améliorer les recettes de l'Etat. La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) connaîtra une hausse. Les taux seront relevés de 2 points de pourcentage. Ils passeront de 17 % à 19 % pour le taux plein de 7 % à 9 % pour le taux réduit. La taxe intérieure sur la consommation sera étendue et relevée pour certains produits dits - de luxe -. Déjà augmentée en 2016, la TIC concerne notamment les véhicules de grosses cylindrées, les fruits exotiques, le saumon et le caviar. En plus d'une hausse des taux, d'autres produits devraient donc être soumis à cette TIC. La TIC sur les tabacs sera aussi augmenté. Des taxes sur l'immobilier et sur les produits énergivores sont aussi prévues. Autant dire que ces augmentations vont avoir une incidence directe sur les prix de certains produits. C'est ce qui explique les débats qui ont déjà eu lieu sur ces dispositions, mais aussi les craintes qui ont été soulevées. Les députés de l'opposition, et même parfois ceux de la majorité parlementaire ont fait montre de leurs craintes par rapport, notamment au pouvoir d'achat des citoyens. On s'attend ainsi à un débat houleux et les députés de l'opposition fourbissent déjà leurs armes dans cette perspective. Quelles actions vont-ils entreprendre pour essayer de faire barrage à ce projet de loi. Pour le moment il semble que rien n'est fait dans ce sens puisqu'aucune information n'a circulé sur l'éventualité d'actions communes que pourraient entreprendre les groupes parlementaires de cette opposition. Si ces groupes parlementaires, à savoir ceux représentant le FFS, le Parti des travailleurs, l'AAV et le front El Adala, ont tous dénoncés les mesures que contient le PLF 2017 il n'en est rien s'agissant de la manière avec laquelle ils comptent faire entendre leurs voix pour dire non à ce texte. Vont-ils seulement se contenter de critiquer ce projet lors des débats comme ils le font à chaque fois lorsqu'ils sont devant un texte qui touche directement au pouvoir d'achat des Algériens ? On se rappelle de ce qui s'est passé l'année dernière lors de l'examen du projet de loi de finances 2016. Les députés de l'opposition ont en effet manifesté une vive opposition lors de la séance plénière, ils ont même essayé de perturber ou d'empêcher le déroulement des débats. Ils en sont même venus aux mains avec les députés de la majorité. C'était une première tant jamais l'APN n'a connue un pareil événement. Les députés de l'opposition ont même organisé un rassemblement en dehors de l'APN. C'est dire que la tension a atteint son paroxysme. En sera-t-il de même cette année ?