Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, semble avoir bel et bien remporté une nouvelle bataille face à ses opposants depuis son retour aux commandes du parti. Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, semble avoir bel et bien remporté une nouvelle bataille face à ses opposants depuis son retour aux commandes du parti. Un autre coup dur que viennent de subir les adversaires du secrétaire général du RND, après le rejet de leur recours par le Conseil d'Etat, dans le but d'invalider le congrès extraordinaire du RND qui a permis le retour d'Ahmed Ouyahia à la tête du parti. Le verdict a été rendu, avant-hier et l'information a été rapidement diffusée par la direction du parti à travers le site internet. «Le Conseil d'Etat a rejeté ce jour, le 17 novembre 2016, le recours des opposants à la tenue du congrès du RND réuni en mai dernier», lit-on dans le communiqué. La direction du RND, à sa tête Ahmed Ouyahia, a rappelé dans ce sillage que «le Conseil d'Etat avait déjà invalidé un référé déposé par ces mêmes opposants la veille du congrès pour en empêcher sa tenue». Le rejet du recours des opposants par le Conseil d'Etat tombe au moment où ces derniers tentent de reprendre du poil de la bête et relancer leur démarche contestataire. Dès lors il est à s'interroger sur cette focalisation sur Ahmed Ouyahia, à l'approche de chaque grand événement politique. C'est devenu un feuilleton, où l'acteur principal devient une cible privilégiée qu'il faut absolument «abattre». Pour rappel, le premier, c'était lors de son retour aux règnes du parti à travers l'organisation d'un congrès et ce second, comme il n'est un secret pour personne, est lié à l'approche des législatives. Avec ce verdict, Ahmed Ouyahia est ainsi rassuré. Il peut donc organiser les prochaines élections législatives dans la sérénité et faire ainsi le ménage qu'il a toujours souhaité. Dernièrement, il a appelé les instances de son parti à actionner les commissions de discipline contre les chefs de file de la contestation, qui sont Nouria Hafsi, Smati Zoghbi, Tayeb Zitouni et Mokhtar Boudina. D'ailleurs ces derniers sont une nouvelle fois montés au créneau pour dénoncer la gestion de l'actuel patron du RND. Ils font partie des dix signataires de la fameuse déclaration qui a apparemment suscité la colère d'Ahmed Ouyahia et ses collaborateurs. Un revers de plus pour les opposants qui espéraient, par leur plainte obtenir gain de cause. Par cette réponse, Ahmed Ouyahia, conforté, est désormais tranquille même du côté de l'administration dont il sait qu'elle n'aura pas à se dresser au travers de son chemin. La route est donc plus que jamais balisée pour lui pour reprendre son bâton de pèlerin pour mettre en pratique sa feuille de route. Pour les observateurs, c'est juste la fin d'un épisode, puisque ce parti a connu de pareilles crises du temps du mandat d'Abdelkader Bensalah. Pour eux, le retour d'Ahmed Ouyahia ne fera qu'entretenir le maintien des lignes de fractures au sein des appareils du parti. Et les redresseurs ne vont sans doute pas baisser les bras. Un autre coup dur que viennent de subir les adversaires du secrétaire général du RND, après le rejet de leur recours par le Conseil d'Etat, dans le but d'invalider le congrès extraordinaire du RND qui a permis le retour d'Ahmed Ouyahia à la tête du parti. Le verdict a été rendu, avant-hier et l'information a été rapidement diffusée par la direction du parti à travers le site internet. «Le Conseil d'Etat a rejeté ce jour, le 17 novembre 2016, le recours des opposants à la tenue du congrès du RND réuni en mai dernier», lit-on dans le communiqué. La direction du RND, à sa tête Ahmed Ouyahia, a rappelé dans ce sillage que «le Conseil d'Etat avait déjà invalidé un référé déposé par ces mêmes opposants la veille du congrès pour en empêcher sa tenue». Le rejet du recours des opposants par le Conseil d'Etat tombe au moment où ces derniers tentent de reprendre du poil de la bête et relancer leur démarche contestataire. Dès lors il est à s'interroger sur cette focalisation sur Ahmed Ouyahia, à l'approche de chaque grand événement politique. C'est devenu un feuilleton, où l'acteur principal devient une cible privilégiée qu'il faut absolument «abattre». Pour rappel, le premier, c'était lors de son retour aux règnes du parti à travers l'organisation d'un congrès et ce second, comme il n'est un secret pour personne, est lié à l'approche des législatives. Avec ce verdict, Ahmed Ouyahia est ainsi rassuré. Il peut donc organiser les prochaines élections législatives dans la sérénité et faire ainsi le ménage qu'il a toujours souhaité. Dernièrement, il a appelé les instances de son parti à actionner les commissions de discipline contre les chefs de file de la contestation, qui sont Nouria Hafsi, Smati Zoghbi, Tayeb Zitouni et Mokhtar Boudina. D'ailleurs ces derniers sont une nouvelle fois montés au créneau pour dénoncer la gestion de l'actuel patron du RND. Ils font partie des dix signataires de la fameuse déclaration qui a apparemment suscité la colère d'Ahmed Ouyahia et ses collaborateurs. Un revers de plus pour les opposants qui espéraient, par leur plainte obtenir gain de cause. Par cette réponse, Ahmed Ouyahia, conforté, est désormais tranquille même du côté de l'administration dont il sait qu'elle n'aura pas à se dresser au travers de son chemin. La route est donc plus que jamais balisée pour lui pour reprendre son bâton de pèlerin pour mettre en pratique sa feuille de route. Pour les observateurs, c'est juste la fin d'un épisode, puisque ce parti a connu de pareilles crises du temps du mandat d'Abdelkader Bensalah. Pour eux, le retour d'Ahmed Ouyahia ne fera qu'entretenir le maintien des lignes de fractures au sein des appareils du parti. Et les redresseurs ne vont sans doute pas baisser les bras.