La scène politique s'emballe à l'approche de chaque échéance électorale. La pression monte dans les états-majors des principaux partis de la scène politique et où des chefs politiques font souvent l'objet de « coup d'Etat politique ». C'est le cas notamment au sein de la formation propre à Ahmed Ouyahia, secouée par une fronde. La scène politique s'emballe à l'approche de chaque échéance électorale. La pression monte dans les états-majors des principaux partis de la scène politique et où des chefs politiques font souvent l'objet de « coup d'Etat politique ». C'est le cas notamment au sein de la formation propre à Ahmed Ouyahia, secouée par une fronde. Miné par une crise interne qui ne dit pas son nom, quelques cadres du parti du Rassemblement national démocratique semblent reprendre la hache de guerre puisqu'ils ne sont pas à leur première à l'approche des élections législatives. En effet, le terrain semble actuellement un peu miné pour lancer une précampagne, à cause de la fronde interne qui ne cesse de prendre de l'ampleur, mettant davantage en difficulté le secrétaire général du parti, qui d'ailleurs passe à la vitesse supérieure pour étouffer dans l'oeuf la fronde au sein de son parti, dont le rapport de force, est déjà largement en sa faveur. Ahmed Ouyahia n'a pas tardé à riposter contre les contestataires. Sa décision intervient une semaine, jour pour jour, après la réunion des protestataires qui ont, dans un communiqué, menacé d'actionner « les instances parallèles » du RND à travers les 48 wilayas avant les échéances électorales de 2017. Selon un communiqué officiel publié ce vendredi 4 novembre, le Bureau national affiche « l'intention du parti d'en finir avec la dictature de la minorité ». Une dictature, poursuit la même source, « qui a provoqué l'anarchie et semé une crise dans la famille du RND, un parti sauvé de la dérive grâce à la détermination des militants ». Il a ordonné aux instances compétentes au RND d'actionner les commissions de discipline contre les chefs de file de la contestation. Il s'agit de Nouria Hafsi, Tayeb Zitouni, Mokhtar Boudina, et Smati Zoghbi. Il est clairement reproché à ses quatre militants de vouloir semer «l'anarchie» dans le parti. Cette décision a été prise à l'occasion de la réunion du Bureau national du RND. Ahmed Ouyahia reproche aux frondeurs de piétiner les statuts et le règlement intérieur du parti. La démarche d'Ouyahia ouvre la porte à l'exclusion des protestataires du RND. Très critiques envers Ouyahia, les frondeurs ont accusé le patron du RND ont dénoncé la gestion d'Ouyahia. Ils lui reprochent « l'exclusion des cadres et militants authentiques ». Leur remplacement a obéi, selon eux, à de nouveaux critères qui vont de la « loyauté au favoritisme ». Ils reprochent aussi au patron du RND d'introduire les milieux d'affaires dans les instances du parti. Miné par une crise interne qui ne dit pas son nom, quelques cadres du parti du Rassemblement national démocratique semblent reprendre la hache de guerre puisqu'ils ne sont pas à leur première à l'approche des élections législatives. En effet, le terrain semble actuellement un peu miné pour lancer une précampagne, à cause de la fronde interne qui ne cesse de prendre de l'ampleur, mettant davantage en difficulté le secrétaire général du parti, qui d'ailleurs passe à la vitesse supérieure pour étouffer dans l'oeuf la fronde au sein de son parti, dont le rapport de force, est déjà largement en sa faveur. Ahmed Ouyahia n'a pas tardé à riposter contre les contestataires. Sa décision intervient une semaine, jour pour jour, après la réunion des protestataires qui ont, dans un communiqué, menacé d'actionner « les instances parallèles » du RND à travers les 48 wilayas avant les échéances électorales de 2017. Selon un communiqué officiel publié ce vendredi 4 novembre, le Bureau national affiche « l'intention du parti d'en finir avec la dictature de la minorité ». Une dictature, poursuit la même source, « qui a provoqué l'anarchie et semé une crise dans la famille du RND, un parti sauvé de la dérive grâce à la détermination des militants ». Il a ordonné aux instances compétentes au RND d'actionner les commissions de discipline contre les chefs de file de la contestation. Il s'agit de Nouria Hafsi, Tayeb Zitouni, Mokhtar Boudina, et Smati Zoghbi. Il est clairement reproché à ses quatre militants de vouloir semer «l'anarchie» dans le parti. Cette décision a été prise à l'occasion de la réunion du Bureau national du RND. Ahmed Ouyahia reproche aux frondeurs de piétiner les statuts et le règlement intérieur du parti. La démarche d'Ouyahia ouvre la porte à l'exclusion des protestataires du RND. Très critiques envers Ouyahia, les frondeurs ont accusé le patron du RND ont dénoncé la gestion d'Ouyahia. Ils lui reprochent « l'exclusion des cadres et militants authentiques ». Leur remplacement a obéi, selon eux, à de nouveaux critères qui vont de la « loyauté au favoritisme ». Ils reprochent aussi au patron du RND d'introduire les milieux d'affaires dans les instances du parti.