Amara Benyounès, devenu depuis avant-hier président du MPA, a ouvertement critiqué l'opposition qui crie déjà à la fraude à quelques mois de la tenue des élections législatives. Amara Benyounès, devenu depuis avant-hier président du MPA, a ouvertement critiqué l'opposition qui crie déjà à la fraude à quelques mois de la tenue des élections législatives. Lors d'une conférence de presse animée hier à l'issue du congrès de son parti, l'ex-ministre du Commerce s'est interrogé sur le choix des partis de participer à un scrutin tout en criant à la fraude. "Pourquoi participer si on est convaincus qu'il y aurait fraude ? Ceux qui dénoncent attendent peutêtre des quotas", a-t-il affirmé. Selon lui, le danger qui guette les prochaines élections est "l'abstention". Amara Benyounès a appelé les militants de son parti à mener une campagne propre et à s'interdire "l'insulte et la diffamation. Il faut élever le niveau du débat politique pour montrer qu'on peut être une alternative". Lors d'une conférence de presse animée hier à l'issue du congrès de son parti, l'ex-ministre du Commerce s'est interrogé sur le choix des partis de participer à un scrutin tout en criant à la fraude. "Pourquoi participer si on est convaincus qu'il y aurait fraude ? Ceux qui dénoncent attendent peutêtre des quotas", a-t-il affirmé. Selon lui, le danger qui guette les prochaines élections est "l'abstention". Amara Benyounès a appelé les militants de son parti à mener une campagne propre et à s'interdire "l'insulte et la diffamation. Il faut élever le niveau du débat politique pour montrer qu'on peut être une alternative".