La ministre de l'Education nationale réfute la notion de recul ou de marche en arrière concernant son projet de réforme du baccalauréat. "Il y a eu consensus au niveau du gouvernement. Ce projet sera prochainement présenté au Conseil des ministres", a expliqué Nouria Benghebrit sur la radio Chaîne III, hier, en ajoutant que la réforme se fera progressivement jusqu'en 2021. La ministre de l'Education nationale réfute la notion de recul ou de marche en arrière concernant son projet de réforme du baccalauréat. "Il y a eu consensus au niveau du gouvernement. Ce projet sera prochainement présenté au Conseil des ministres", a expliqué Nouria Benghebrit sur la radio Chaîne III, hier, en ajoutant que la réforme se fera progressivement jusqu'en 2021. La session du baccalauréat, du 11 au 15 juin 2017, se déroulera sur une période de cinq jours et non pas trois, comme il en avait été fait état précédemment, la réforme de cet examen devant, elle, se faire "progressivement" et s'étaler jusqu'en 2021. S'exprimant, hier, à l'émission L'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, la ministre de l'Education nationale explique qu'il ne s'agit en rien d'un recul de la réforme projetée, mais d'une "adaptation visant à appréhender le stress et les angoisses" manifestés par les élèves vis-à-vis de cet examen. C'est "l'immensité de cette angoisse déclare Nouria Benghebrit, qui nous a amené à revenir à l'ancien calendrier, ajoutant que le seul changement attendu va concerner l'heure de début des examens", reportée de 8h à 9h et le nombre des épreuves quotidiennes (deux chaque jour). Concernant la réforme du baccalauréat, elle indique qu'avec "les enseignants et les partenaires sociaux, il s'était dégagé le principe de son application progressive, l'un des premiers points retenus portant sur un allègement du nombre des exercices". La ministre rejette les accusations des syndicats d'enseignants qui ont présenté le retard d'application de la réforme, qu'elle n'a cessé de défendre, comme un "recul" de sa part, en même temps que le résultat d'une "politique irréfléchie et de décisions prises dans la précipitation". "C'est excessif et injuste", répond-elle, parce que ces syndicats ont, eux aussi, participé à la présentation des propositions d'hypothèses, multiples et variées, soulignant que la refonte du baccalauréat ne constituait pas à ses yeux une "priorité stratégique dans la politique que nous sommes en train de mettre en oeuvre". Elle assure, cependant, que le projet de réformes du bac n'avait pas été, pour autant, abandonné, ajoutant que ce à quoi nous assistons, aujourd'hui, c'est à un réaménagement du calendrier de ces dernières. Amenée à commenter les réformes entreprises au sein de l'Office national des examens et concours (Onec) après les dernières "fuites" de sujets des examens du baccalauréat, Mme Benghebrit, assure qu'elles ont été entreprises à "tous les niveaux, à commencer par la sécurisation du site de cet organisme". La session du baccalauréat, du 11 au 15 juin 2017, se déroulera sur une période de cinq jours et non pas trois, comme il en avait été fait état précédemment, la réforme de cet examen devant, elle, se faire "progressivement" et s'étaler jusqu'en 2021. S'exprimant, hier, à l'émission L'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, la ministre de l'Education nationale explique qu'il ne s'agit en rien d'un recul de la réforme projetée, mais d'une "adaptation visant à appréhender le stress et les angoisses" manifestés par les élèves vis-à-vis de cet examen. C'est "l'immensité de cette angoisse déclare Nouria Benghebrit, qui nous a amené à revenir à l'ancien calendrier, ajoutant que le seul changement attendu va concerner l'heure de début des examens", reportée de 8h à 9h et le nombre des épreuves quotidiennes (deux chaque jour). Concernant la réforme du baccalauréat, elle indique qu'avec "les enseignants et les partenaires sociaux, il s'était dégagé le principe de son application progressive, l'un des premiers points retenus portant sur un allègement du nombre des exercices". La ministre rejette les accusations des syndicats d'enseignants qui ont présenté le retard d'application de la réforme, qu'elle n'a cessé de défendre, comme un "recul" de sa part, en même temps que le résultat d'une "politique irréfléchie et de décisions prises dans la précipitation". "C'est excessif et injuste", répond-elle, parce que ces syndicats ont, eux aussi, participé à la présentation des propositions d'hypothèses, multiples et variées, soulignant que la refonte du baccalauréat ne constituait pas à ses yeux une "priorité stratégique dans la politique que nous sommes en train de mettre en oeuvre". Elle assure, cependant, que le projet de réformes du bac n'avait pas été, pour autant, abandonné, ajoutant que ce à quoi nous assistons, aujourd'hui, c'est à un réaménagement du calendrier de ces dernières. Amenée à commenter les réformes entreprises au sein de l'Office national des examens et concours (Onec) après les dernières "fuites" de sujets des examens du baccalauréat, Mme Benghebrit, assure qu'elles ont été entreprises à "tous les niveaux, à commencer par la sécurisation du site de cet organisme".