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Le FFS confirme sa participation
Elections législatives
Publié dans Le Midi Libre le 11 - 12 - 2016

Comme attendu, le FFS participera aux prochaines élections législatives.
Comme attendu, le FFS participera aux prochaines élections législatives.
Cette décision qui était très prévisible a été entérinée par la plus haute instance du parti, le conseil national en l'occurrence, qui a tenu une session ordinaire avant-hier vendredi.Les dirigeants de ce parti ont indiqué que cette décision de prendre part au scrutin législatif du printemps 2017 est intervenue suite à un «large débat démocratique, et la décision est prise à l'unanimité.».
Selon Aziz Baloul membre de l'instance présidentielle cette décision s'explique aussi par la nécessité de « défendre aussi les intérêts sociaux des travailleurs et des couches sociales défavorisées, devant les menaces que fait peser sur eux la politique du gouvernement ».
Ce membre de l'instance présidentielle, qui s'exprimait hier lors d'une conférence de presse animée au siège du parti au lendemain de la session du conseil national a souligné que la participation aux prochaines élections législatives va permettre cadres et aux militants « à se mobiliser et à mobiliser les citoyens autour de ce projet de consensus national, pour créer une dynamique citoyenne.»
Autant dire que le plus vieux parti d'opposition compte faire de ce rendez-vous électoral une opportunité pour faire campagne aussi pour son initiative politique de reconstruction d'un consensus national. Cette initiative de reconstruire un consensus national a été lancée par le parti il y'a deux années maintenant en direction de l'ensemble de la classe politique, c'est-àdire pouvoir et partis politiques.
Mais les dirigeants du FFS n'ont eu aucun écho favorable puisque cette initiative a été rejetée. Cela ne semble pas avoir découragé ce parti qui remet ainsi sur la table cette son initiative. Cela dit un autre sujet a été au centre de cette conférence de presse puisque les dirigeants du FFS étaient également appelés à s'expliquer sur le cas de Rachid Halet, un membre de l'instance présidentielle, qui a été exclu des rangs du parti il y a quelques jours seulement.
A ce propos Aziz Baloul dira que Rachid Halet a été « convoqué à trois reprises pour s'expliquer, il a refusé en ne reconnaissant pas la légitimité des institutions, il croit bénéficier de l'impunité, or au FFS tout le monde est logé à la même enseigne qu'on soit simple militant ou dirigeant.» Il faisait allusion a la convocation devant la commission de la résolution des conflits. « Nous sommes un parti démocratique.
Nous avons des structures, nous avons une commission de résolution des conflits. Mais les raisons de cette exclusion sont internes au parti », a-t-il précisé. Et d'ajouter que « M. Halet nous a déjà quittés quand nous avons essayé de faire le premier consensus en 1996 à Sant'Egidio ». Par conséquent, dira Baloul, « je suis arrivé à une conclusion : un repenti reste un repenti ! Il a préféré ignorer la collégialité.
Il a fait comme il l'a voulu et la sanction était celle-là ». IL a balayé d'un revers de la main les accusations de Rachid Halet selon lesquelles le parti s'apprête a conclure un deal avec le pouvoir en perspective des élections présidentielles de 2019.
« Nous déplorons cette campagne de presse qui a duré toute la semaine », a pour sa part indiqué Ali Laskri, membre du de l'instance présidentielle. Pour lui « Au FFS on n'a aucun problème ! On n'ira pas vers un congrès extraordinaire. On va dépasser cette situation », a-t-il lâché. Le prochain congrès ordinaire du parti est prévu en 2018.
Cette décision qui était très prévisible a été entérinée par la plus haute instance du parti, le conseil national en l'occurrence, qui a tenu une session ordinaire avant-hier vendredi.Les dirigeants de ce parti ont indiqué que cette décision de prendre part au scrutin législatif du printemps 2017 est intervenue suite à un «large débat démocratique, et la décision est prise à l'unanimité.».
Selon Aziz Baloul membre de l'instance présidentielle cette décision s'explique aussi par la nécessité de « défendre aussi les intérêts sociaux des travailleurs et des couches sociales défavorisées, devant les menaces que fait peser sur eux la politique du gouvernement ».
Ce membre de l'instance présidentielle, qui s'exprimait hier lors d'une conférence de presse animée au siège du parti au lendemain de la session du conseil national a souligné que la participation aux prochaines élections législatives va permettre cadres et aux militants « à se mobiliser et à mobiliser les citoyens autour de ce projet de consensus national, pour créer une dynamique citoyenne.»
Autant dire que le plus vieux parti d'opposition compte faire de ce rendez-vous électoral une opportunité pour faire campagne aussi pour son initiative politique de reconstruction d'un consensus national. Cette initiative de reconstruire un consensus national a été lancée par le parti il y'a deux années maintenant en direction de l'ensemble de la classe politique, c'est-àdire pouvoir et partis politiques.
Mais les dirigeants du FFS n'ont eu aucun écho favorable puisque cette initiative a été rejetée. Cela ne semble pas avoir découragé ce parti qui remet ainsi sur la table cette son initiative. Cela dit un autre sujet a été au centre de cette conférence de presse puisque les dirigeants du FFS étaient également appelés à s'expliquer sur le cas de Rachid Halet, un membre de l'instance présidentielle, qui a été exclu des rangs du parti il y a quelques jours seulement.
A ce propos Aziz Baloul dira que Rachid Halet a été « convoqué à trois reprises pour s'expliquer, il a refusé en ne reconnaissant pas la légitimité des institutions, il croit bénéficier de l'impunité, or au FFS tout le monde est logé à la même enseigne qu'on soit simple militant ou dirigeant.» Il faisait allusion a la convocation devant la commission de la résolution des conflits. « Nous sommes un parti démocratique.
Nous avons des structures, nous avons une commission de résolution des conflits. Mais les raisons de cette exclusion sont internes au parti », a-t-il précisé. Et d'ajouter que « M. Halet nous a déjà quittés quand nous avons essayé de faire le premier consensus en 1996 à Sant'Egidio ». Par conséquent, dira Baloul, « je suis arrivé à une conclusion : un repenti reste un repenti ! Il a préféré ignorer la collégialité.
Il a fait comme il l'a voulu et la sanction était celle-là ». IL a balayé d'un revers de la main les accusations de Rachid Halet selon lesquelles le parti s'apprête a conclure un deal avec le pouvoir en perspective des élections présidentielles de 2019.
« Nous déplorons cette campagne de presse qui a duré toute la semaine », a pour sa part indiqué Ali Laskri, membre du de l'instance présidentielle. Pour lui « Au FFS on n'a aucun problème ! On n'ira pas vers un congrès extraordinaire. On va dépasser cette situation », a-t-il lâché. Le prochain congrès ordinaire du parti est prévu en 2018.


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