La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, semble être de nouveau dans la tourmente. Les établissements scolaires connaissent des bouillonnements. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, semble être de nouveau dans la tourmente. Les établissements scolaires connaissent des bouillonnements. En effet des élèves sont descendus dans la rue dans différentes villes du pays et le phénomène tend à prendre de l'ampleur. Emmenés notamment par des lycéens les protestataires s'opposent à la décision de la ministre de réduire la durée des vacances scolaires. Nouria Benghebrit a, pour rappel, pris récemment la décision de réduire la durée des vacances scolaires d'hiver à 10 jours seulement alors que jusque-là les élèves et les enseignants aussi bénéficiaient de 15 jours. "Les vacances d'hiver n'ont pas été écourtées de manière anarchique mais sur la base d'une étude comparative entre l'Algérie et d'autres pays afin d'adapter les vacances scolaires aux critères internationaux" a indiqué la ministre de l'Education il y a une dizaine de jours pour justifier sa décision. Cette dernière n'a apparemment pas trouvé un écho favorable puisque les lycéens sont sortis dans la rue pour revendiquer le retour à des vacances de 15 jours. Ils semblent même décidés à aller jusqu'au bout pour amener la ministre à faire marche arrière en annulant cette décision controversée qui a aussi soulevé l'ire du corps enseignant. Ce d'autant que les élèves disposent aussi du soutien de leurs parents. En effet les associations des parents d'élèves ont eux aussi manifesté leur opposition à cette décision de Nouria Benghebrit. Ces associations estiment que cette décision "n'est pas l'aboutissement d'une étude" comme le prétend la ministre. Certains parents d'élèves ont même, pour contredire l'argumentaire de la ministre, évoqué le cas de la France où les élèves bénéficient de 15 jours de vacances scolaires chaque deux mois. Des arguments qui semblent imparables et qui ne manqueront certainement pas de mettre dans l'embarras la ministre qui semble n'avoir pas pris suffisamment en considération les conséquences d'une telle décision et n'a pas prévu la réaction des élèves, de leurs parents et des enseignants. Autant dire qu'une fois encore Nouria Benghebrit s'est mise dans une mauvaise posture. Car le mouvement de protestation n'en est qu'a ses premiers pas et tout porte à croire qu'il ira crescendo dans les prochains jours si, toutefois, la ministre ne fait pas marche arrière . Mais selon certains observateurs Nouria Benghebrit n'a d'autre choix que d'annuler cette décision. Pour ces mêmes observateurs la ministre ne peut faire face à ce mouvement de protestation dans une conjoncture politique et sociale particulière. Tout porte donc à croire quelle va reculer comme elle l'a déjà fait à propos de la réduction des jours d'examen du baccalauréat. La ministre a réduit la durée de l'examen à trois jours au lieu des cinq jours. Mais face à la levée des boucliers des lycéens elle est revenue sur sa décision. "Nous avons apporté des réponses à des préoccupations qui ont été révélées à travers les différents réseaux sociaux et nos déplacements (...) Nous avons pris en compte le stress et les angoisses des élèves" dira la ministre pour expliquer son revirement. Cette fois aussi la ministre fera certainement preuve de "sa compréhension par rapport aux préoccupations" des élèves si elle ne veut pas aller vers un bras de fer aux conséquences imprévisibles. En effet des élèves sont descendus dans la rue dans différentes villes du pays et le phénomène tend à prendre de l'ampleur. Emmenés notamment par des lycéens les protestataires s'opposent à la décision de la ministre de réduire la durée des vacances scolaires. Nouria Benghebrit a, pour rappel, pris récemment la décision de réduire la durée des vacances scolaires d'hiver à 10 jours seulement alors que jusque-là les élèves et les enseignants aussi bénéficiaient de 15 jours. "Les vacances d'hiver n'ont pas été écourtées de manière anarchique mais sur la base d'une étude comparative entre l'Algérie et d'autres pays afin d'adapter les vacances scolaires aux critères internationaux" a indiqué la ministre de l'Education il y a une dizaine de jours pour justifier sa décision. Cette dernière n'a apparemment pas trouvé un écho favorable puisque les lycéens sont sortis dans la rue pour revendiquer le retour à des vacances de 15 jours. Ils semblent même décidés à aller jusqu'au bout pour amener la ministre à faire marche arrière en annulant cette décision controversée qui a aussi soulevé l'ire du corps enseignant. Ce d'autant que les élèves disposent aussi du soutien de leurs parents. En effet les associations des parents d'élèves ont eux aussi manifesté leur opposition à cette décision de Nouria Benghebrit. Ces associations estiment que cette décision "n'est pas l'aboutissement d'une étude" comme le prétend la ministre. Certains parents d'élèves ont même, pour contredire l'argumentaire de la ministre, évoqué le cas de la France où les élèves bénéficient de 15 jours de vacances scolaires chaque deux mois. Des arguments qui semblent imparables et qui ne manqueront certainement pas de mettre dans l'embarras la ministre qui semble n'avoir pas pris suffisamment en considération les conséquences d'une telle décision et n'a pas prévu la réaction des élèves, de leurs parents et des enseignants. Autant dire qu'une fois encore Nouria Benghebrit s'est mise dans une mauvaise posture. Car le mouvement de protestation n'en est qu'a ses premiers pas et tout porte à croire qu'il ira crescendo dans les prochains jours si, toutefois, la ministre ne fait pas marche arrière . Mais selon certains observateurs Nouria Benghebrit n'a d'autre choix que d'annuler cette décision. Pour ces mêmes observateurs la ministre ne peut faire face à ce mouvement de protestation dans une conjoncture politique et sociale particulière. Tout porte donc à croire quelle va reculer comme elle l'a déjà fait à propos de la réduction des jours d'examen du baccalauréat. La ministre a réduit la durée de l'examen à trois jours au lieu des cinq jours. Mais face à la levée des boucliers des lycéens elle est revenue sur sa décision. "Nous avons apporté des réponses à des préoccupations qui ont été révélées à travers les différents réseaux sociaux et nos déplacements (...) Nous avons pris en compte le stress et les angoisses des élèves" dira la ministre pour expliquer son revirement. Cette fois aussi la ministre fera certainement preuve de "sa compréhension par rapport aux préoccupations" des élèves si elle ne veut pas aller vers un bras de fer aux conséquences imprévisibles.