Les commerçants vont débrayer du 2 au 7 janvier suite à un appel lancé via les réseaux sociaux. Ils crient leur ras-le-bol en dénonçant la ''hogra'' des contrôles exagérés, l'augmentation des prix et les charges jugées exorbitantes. Les commerçants vont débrayer du 2 au 7 janvier suite à un appel lancé via les réseaux sociaux. Ils crient leur ras-le-bol en dénonçant la ''hogra'' des contrôles exagérés, l'augmentation des prix et les charges jugées exorbitantes. Nouveau rebondissement dans l'affaire des commerçants, l'appel lancé pour la grève via les réseaux sociaux concerne l'ensemble des commerçants. Ces derniers venant des 4 coins du pays se sont donnés le mot d'ordre au sein du siège de l'UGCCA à Alger pour protester houleusement contre les mesures coercitives des contrôles qui s'opèrent de façon ''musclée''. Ils dénoncent ''l'envolée des prix et la perte des clients'' suite aux mesures décidés par l'état pour renchérir les prix par la TVA. Et pour mieux soutenir ces revendications, le SG de l'UGCAA Salah Souilah a souligné que ''nous avons réuni les représentants des 48 wilayas afin d'écouter leurs problèmes et de trouver des solutions'' mais Salah Souilah a exhorté les commerçants ''de s'abstenir de faire grève au moins jusqu'au 2 janvier''. Il assure que le ministre du Commerce ''est prêt à répondre à tous leurs besoins''. Mais à moins d'un changement de dernière minute, les commerçants n'envisagent pas de reculer selon les propos des témoins qui se disent cette fois déterminés à poursuivre leur marche. De l'autre côté, le président de l'ANCA (association nationale des commerçants et artisans) El Hadj Tahar Boulenouar nous a déclaré ''qu'une réunion va se tenir le 4 janvier à Tizi-Ouzou pour examiner toutes les questions''. L'occasion d'inaugurer le bureau local sera l'opportunité selon Boulenouar de ''discuter avec les pouvoirs publics sur ces doléances''. La grève, serait le dernier recours selon le président de cette association. Il souligne de ce fait que ''rien ne sert de harceler les commerçants''. Il faut rappeler qu'il y a quelques jours une grève a été entamée touchant la région de Kabylie et dont les commerçants ont exprimé leur colère ''contre les services de contrôle qui exagèrent dans la pénalisation ainsi que des procédures contraignantes et arbitraires des différents services d'impôts''. Ils avaient également dénoncé ''le nonrespect de la réglementation en vigueur de la part de la Casnos de Tizi-Ouzou''. Par ailleurs, les autres commerçants des wilayas vont se solidariser pour cette action qui va porter un coup dur aux pouvoirs publics qui ont refusé de ''régler'' cette crise. D'autre part, on remarque que sur la capitale, les commerçants affichent leur colère sur les prix qui ont augmenté, menaçant le pouvoir d'achat des citoyens. On apprend à juste titre que des associations de protection de consommateurs avec d'autres syndicats envisagent une protestation contre ''la cherté de la vie''. Mais aucune décision n'a été entérinée à ce sujet. Nouveau rebondissement dans l'affaire des commerçants, l'appel lancé pour la grève via les réseaux sociaux concerne l'ensemble des commerçants. Ces derniers venant des 4 coins du pays se sont donnés le mot d'ordre au sein du siège de l'UGCCA à Alger pour protester houleusement contre les mesures coercitives des contrôles qui s'opèrent de façon ''musclée''. Ils dénoncent ''l'envolée des prix et la perte des clients'' suite aux mesures décidés par l'état pour renchérir les prix par la TVA. Et pour mieux soutenir ces revendications, le SG de l'UGCAA Salah Souilah a souligné que ''nous avons réuni les représentants des 48 wilayas afin d'écouter leurs problèmes et de trouver des solutions'' mais Salah Souilah a exhorté les commerçants ''de s'abstenir de faire grève au moins jusqu'au 2 janvier''. Il assure que le ministre du Commerce ''est prêt à répondre à tous leurs besoins''. Mais à moins d'un changement de dernière minute, les commerçants n'envisagent pas de reculer selon les propos des témoins qui se disent cette fois déterminés à poursuivre leur marche. De l'autre côté, le président de l'ANCA (association nationale des commerçants et artisans) El Hadj Tahar Boulenouar nous a déclaré ''qu'une réunion va se tenir le 4 janvier à Tizi-Ouzou pour examiner toutes les questions''. L'occasion d'inaugurer le bureau local sera l'opportunité selon Boulenouar de ''discuter avec les pouvoirs publics sur ces doléances''. La grève, serait le dernier recours selon le président de cette association. Il souligne de ce fait que ''rien ne sert de harceler les commerçants''. Il faut rappeler qu'il y a quelques jours une grève a été entamée touchant la région de Kabylie et dont les commerçants ont exprimé leur colère ''contre les services de contrôle qui exagèrent dans la pénalisation ainsi que des procédures contraignantes et arbitraires des différents services d'impôts''. Ils avaient également dénoncé ''le nonrespect de la réglementation en vigueur de la part de la Casnos de Tizi-Ouzou''. Par ailleurs, les autres commerçants des wilayas vont se solidariser pour cette action qui va porter un coup dur aux pouvoirs publics qui ont refusé de ''régler'' cette crise. D'autre part, on remarque que sur la capitale, les commerçants affichent leur colère sur les prix qui ont augmenté, menaçant le pouvoir d'achat des citoyens. On apprend à juste titre que des associations de protection de consommateurs avec d'autres syndicats envisagent une protestation contre ''la cherté de la vie''. Mais aucune décision n'a été entérinée à ce sujet.