La ville de Tizi-Ouzou a été entièrement paralysée, hier, par une grève générale des commerçants à laquelle ont appelé les grossistes. Au centre-ville comme dans la Nouvelle-Ville et sa périphérie, la grève a été massivement suivie, a-t-on constaté. La ville de Tizi-Ouzou a été entièrement paralysée, hier, par une grève générale des commerçants à laquelle ont appelé les grossistes. Au centre-ville comme dans la Nouvelle-Ville et sa périphérie, la grève a été massivement suivie, a-t-on constaté. Aucun commerce n'a levé rideau la matinée, à l'exception des pharmacies qui ont été autorisées à ouvrir. À travers cette action, les commerçants veulent exprimer leur colère contre les services de contrôle. Ces dernières, est-il écrit dans la déclaration des commerçants, "exagèrent dans la pénalisation et la verbalisation des commerçants, les procédures contraignantes et arbitraires des différents services des impôts, le non-respect des lois et réglementation en vigueur de la part de la Casnos de Tizi-Ouzou". Ils dénoncent également les "charges exorbitantes que subissent, les commerçants et artisans sans aucune prise en considération de la part des services publics". Aucun commerce n'a levé rideau la matinée, à l'exception des pharmacies qui ont été autorisées à ouvrir. À travers cette action, les commerçants veulent exprimer leur colère contre les services de contrôle. Ces dernières, est-il écrit dans la déclaration des commerçants, "exagèrent dans la pénalisation et la verbalisation des commerçants, les procédures contraignantes et arbitraires des différents services des impôts, le non-respect des lois et réglementation en vigueur de la part de la Casnos de Tizi-Ouzou". Ils dénoncent également les "charges exorbitantes que subissent, les commerçants et artisans sans aucune prise en considération de la part des services publics".