Le FLN n'a pas apprécié le discours du 1er secretaire national du FFS prononcé en présence d chef de file, Djamal Ould Abbès. Le FLN n'a pas apprécié le discours du 1er secretaire national du FFS prononcé en présence d chef de file, Djamal Ould Abbès. Quelques jours après "l'incident" du meeting, commémorant le premier anniversaire du décès de Hocine Aït Ahmed, durant lequel le secrétaire général du FLN, Djamal Ould Abbès, a quitté précipitamment la salle Atlas, le FFS a tenu à présenter ses explications et répondre par là même à la réaction du FLN à travers un communiqué de son bureau politique. "Pour ce qui concerne les attaques sur la moralité "el akhlakiyate" nous nous sommes astreint au silence à l'égard de TOUS, de l'annonce du décès de Si l'Hocine jusqu'au 40e jour de sa mort malgré les tentatives grossières de manipulations des uns et des autres" note d'emblée le communiqué du secrétariat national du FFS qui plante ainsi d'emblée le décor. "Au FFS, nous respectons amis et adversaires et par-dessus tout nous respectons l'exercice politique auquel a droit le peuple algérien. C'est pour cela que nous n'avons qu'un seul discours, celui que nous tenons en toutes circonstances : dans nos structures, au sein des institutions, dans nos meetings", relève le communiqué signé par le 1er secrétaire national, Abdelmalek Bouchafa. Et d'ajouter que "le fait de réitérer ses positions en toutes circonstances ne peut, de ce fait, être considéré comme une insulte". Des propos qui sonnent comme une réponse claire et sans équivoque au FLN. Ce dernier parti n'a pas apprécié le discours du 1er secretaire national du FFS prononcé en présence du chef de file du FLN, Djamal Ould Abbès. Le bureau politique du vieux parti, réuni dimanche dernier, a ainsi invité "la classe politique à moraliser le discours politique, à mener une compétition sur la base des programmes et à éviter le pessimisme, l'outrage et la désinformation". Appelant à "s'éloigner du pessimisme et de la diffamation" le communiqué de l'instance exécutive du FLN est allé jusqu'à évoquer une "campagne électoraliste hystérique" lancée par certains partis en estimant que cela est révélateur de la "peur qu'ils éprouvent à confronter le peuple avec des programmes qui ont prouvé leur échec". Une mise au point qui en disait long sur la colère éprouvée au sein du vieux parti suite à l'incident survenu à la salle Atlas samedi dernier lors de la commémoration, par le FFS, du 1er anniversaire du décès de son leader, Hocine Aït Ahmed. On rappelle que Djamal Ould Abbès, qui a été invité a participer à cette commémoration à l'instar d'autres représentants de partis politiques, a quitté précipitamment la salle Atlas au moment où Abdelmalek Bouchafa discourait. Ce dernier, fidèle au discours de son parti, vilipendait le pouvoir en critiquant le contenu de la loi de finances 2017, qui a suscitée l'ire de l'opposition, en la qualifiant de "loi antisociale et antinationale votée par une majorité truquée". C'était apparemment la phrase de trop pour Djamal Ould Abbès qui a alors préféré quitter la salle avec toute la délégation du FLN. Un incident qui a provoqué une crise entre les deux partis politiques alors qu'ils entretenaient jusque-là des rapports plutôt cordiaux. Quelques jours après "l'incident" du meeting, commémorant le premier anniversaire du décès de Hocine Aït Ahmed, durant lequel le secrétaire général du FLN, Djamal Ould Abbès, a quitté précipitamment la salle Atlas, le FFS a tenu à présenter ses explications et répondre par là même à la réaction du FLN à travers un communiqué de son bureau politique. "Pour ce qui concerne les attaques sur la moralité "el akhlakiyate" nous nous sommes astreint au silence à l'égard de TOUS, de l'annonce du décès de Si l'Hocine jusqu'au 40e jour de sa mort malgré les tentatives grossières de manipulations des uns et des autres" note d'emblée le communiqué du secrétariat national du FFS qui plante ainsi d'emblée le décor. "Au FFS, nous respectons amis et adversaires et par-dessus tout nous respectons l'exercice politique auquel a droit le peuple algérien. C'est pour cela que nous n'avons qu'un seul discours, celui que nous tenons en toutes circonstances : dans nos structures, au sein des institutions, dans nos meetings", relève le communiqué signé par le 1er secrétaire national, Abdelmalek Bouchafa. Et d'ajouter que "le fait de réitérer ses positions en toutes circonstances ne peut, de ce fait, être considéré comme une insulte". Des propos qui sonnent comme une réponse claire et sans équivoque au FLN. Ce dernier parti n'a pas apprécié le discours du 1er secretaire national du FFS prononcé en présence du chef de file du FLN, Djamal Ould Abbès. Le bureau politique du vieux parti, réuni dimanche dernier, a ainsi invité "la classe politique à moraliser le discours politique, à mener une compétition sur la base des programmes et à éviter le pessimisme, l'outrage et la désinformation". Appelant à "s'éloigner du pessimisme et de la diffamation" le communiqué de l'instance exécutive du FLN est allé jusqu'à évoquer une "campagne électoraliste hystérique" lancée par certains partis en estimant que cela est révélateur de la "peur qu'ils éprouvent à confronter le peuple avec des programmes qui ont prouvé leur échec". Une mise au point qui en disait long sur la colère éprouvée au sein du vieux parti suite à l'incident survenu à la salle Atlas samedi dernier lors de la commémoration, par le FFS, du 1er anniversaire du décès de son leader, Hocine Aït Ahmed. On rappelle que Djamal Ould Abbès, qui a été invité a participer à cette commémoration à l'instar d'autres représentants de partis politiques, a quitté précipitamment la salle Atlas au moment où Abdelmalek Bouchafa discourait. Ce dernier, fidèle au discours de son parti, vilipendait le pouvoir en critiquant le contenu de la loi de finances 2017, qui a suscitée l'ire de l'opposition, en la qualifiant de "loi antisociale et antinationale votée par une majorité truquée". C'était apparemment la phrase de trop pour Djamal Ould Abbès qui a alors préféré quitter la salle avec toute la délégation du FLN. Un incident qui a provoqué une crise entre les deux partis politiques alors qu'ils entretenaient jusque-là des rapports plutôt cordiaux.