Le ministre des Ressources en eau et de l'Environnement, Abdelkader Ouali, a indiqué que le taux de remplissage des barrages avoisine les 70 % suite aux dernières précipitations enregistrées dans plusieurs régions du pays. Le ministre des Ressources en eau et de l'Environnement, Abdelkader Ouali, a indiqué que le taux de remplissage des barrages avoisine les 70 % suite aux dernières précipitations enregistrées dans plusieurs régions du pays. Abdelkader Ouali n'a pas manqué de préciser que l'Algérie "se trouve en bonne position en matière de disponibilité des ressources en eau, dans la mesure où la saison des pluies n'est pas encore arrivée à son terme". Le changement climatique représente un risque majeur pour l'agriculture mondiale. Ce changement peut s'opérer non seulement par la sécheresse mais également par des pluies diluviennes et des typhons. Heureusement que notre pays reste, jusqu'ici, épargné par les sautes d'humeur climatiques. Après que la pluie ait boudé notre pays au moment où elle était fortement attendue, elle revient ces derniers jours pour rafraîchir les espoirs des agriculteurs assoiffés de voir les nuages survoler les terres agricoles. Le spectre de la sécheresse semble, donc, s'éloigner. La terre arrosée de pluie et surtout par une épaisse couche de neige, devrait permettre à l'herbe de pousser et aux petits éleveurs de faire paître leurs troupeaux. Ce n'est que maintenant que les paysans vont pouvoir entamer, sereinement, certains travaux des champs qu'ils n'avaient pas pu exécuter auparavant. D'un autre côté, ces quantités permettront d'alimenter en eau potable des millions de citoyens et de transferer des eaux conventionnelles vers le secteur agricole afin d'augmenter les surface irriguées, créer de l'emploi et atteindre l'autosuffisance alimentaire. Lors de sa visite de travail mardi dernier à Aïn-Defla, le ministre a souligné que "beaucoup d'eau se perd". Pour mieux exploiter cette matière vitale, le meilleur moyen, selon lui, "est d'avoir une meilleure gestion de l'économie des ressources hydriques, surtout si l'on sait que le gaspillage et le piquage illicite coûte à l'Etat des sommes colossales". Pour le ministre, il est question de "rationaliser son utilisation". Abdelkader Ouali, a insisté sur la "nécessité d'appliquer un nouveau dispositif pour l'économie de l'eau et la lutte contre le gaspillage, précisant qu'il a été déployé sur le terrain des brigades de surveillance relevant de l'Algérienne des eaux (ADE) à travers notamment les grandes villes du pays". Selon M. Ouali, "Le gaspillage de l'eau est une triste réalité". Son traitement ne peut se faire sans la réorganisation du système. "Si nous avons gagné la bataille de l'eau, il faut remporter à présent, celle du service public de l'eau. C'est l'enjeu principal", tout en promettant de "changer et de renforcer l'inspection de proximité, avant d'appeler toutes les parties concernées, notamment les brigades de surveillances relevant de l'ADE, à s'impliquer davantage sur le terrain et être tout près du citoyen en vue de l'aider à résoudre les problèmes de fuites d'eau ou à toute défaillance du réseau d'AEP". Abdelkader Ouali n'a pas manqué de préciser que l'Algérie "se trouve en bonne position en matière de disponibilité des ressources en eau, dans la mesure où la saison des pluies n'est pas encore arrivée à son terme". Le changement climatique représente un risque majeur pour l'agriculture mondiale. Ce changement peut s'opérer non seulement par la sécheresse mais également par des pluies diluviennes et des typhons. Heureusement que notre pays reste, jusqu'ici, épargné par les sautes d'humeur climatiques. Après que la pluie ait boudé notre pays au moment où elle était fortement attendue, elle revient ces derniers jours pour rafraîchir les espoirs des agriculteurs assoiffés de voir les nuages survoler les terres agricoles. Le spectre de la sécheresse semble, donc, s'éloigner. La terre arrosée de pluie et surtout par une épaisse couche de neige, devrait permettre à l'herbe de pousser et aux petits éleveurs de faire paître leurs troupeaux. Ce n'est que maintenant que les paysans vont pouvoir entamer, sereinement, certains travaux des champs qu'ils n'avaient pas pu exécuter auparavant. D'un autre côté, ces quantités permettront d'alimenter en eau potable des millions de citoyens et de transferer des eaux conventionnelles vers le secteur agricole afin d'augmenter les surface irriguées, créer de l'emploi et atteindre l'autosuffisance alimentaire. Lors de sa visite de travail mardi dernier à Aïn-Defla, le ministre a souligné que "beaucoup d'eau se perd". Pour mieux exploiter cette matière vitale, le meilleur moyen, selon lui, "est d'avoir une meilleure gestion de l'économie des ressources hydriques, surtout si l'on sait que le gaspillage et le piquage illicite coûte à l'Etat des sommes colossales". Pour le ministre, il est question de "rationaliser son utilisation". Abdelkader Ouali, a insisté sur la "nécessité d'appliquer un nouveau dispositif pour l'économie de l'eau et la lutte contre le gaspillage, précisant qu'il a été déployé sur le terrain des brigades de surveillance relevant de l'Algérienne des eaux (ADE) à travers notamment les grandes villes du pays". Selon M. Ouali, "Le gaspillage de l'eau est une triste réalité". Son traitement ne peut se faire sans la réorganisation du système. "Si nous avons gagné la bataille de l'eau, il faut remporter à présent, celle du service public de l'eau. C'est l'enjeu principal", tout en promettant de "changer et de renforcer l'inspection de proximité, avant d'appeler toutes les parties concernées, notamment les brigades de surveillances relevant de l'ADE, à s'impliquer davantage sur le terrain et être tout près du citoyen en vue de l'aider à résoudre les problèmes de fuites d'eau ou à toute défaillance du réseau d'AEP".