Les jeunes investisseurs ayant vendu le matériel acheté avec l'argent emprunté à l'Ansej feront bien l'objet de poursuites judiciaires et il n'a jamais été question d'amnistie. Les jeunes investisseurs ayant vendu le matériel acheté avec l'argent emprunté à l'Ansej feront bien l'objet de poursuites judiciaires et il n'a jamais été question d'amnistie. C'est le directeur de l'Ansej, Mourad Zemali, qui l'a déclaré hier en marge d'une réunion du bureau de wilaya d'Alger de la Fédération nationale des jeunes entrepreneurs. Cette déclaration a le mérite de la clarté et ceux qui ont vendu leurs matériel spour récupérer de l'argent cash savent désormais à quoi s'en tenir. Mais selon M. Zemali, ils ne sont pas des masses dans ce cas et ils ne représenteraient que 2.000 des bénéficiaires du dispositif, depuis sa création, il y a une vingtaine d'années. Au sujet des jeunes dont les projets n'ont pas abouti, mais qui n'ont pas vendu leurs matériel,s ils ne seront pas poursuivis en justice, d'autant qu'ils se démènent pour relancer leurs start-up, assure le responsable de l'Ansej. L'opération de recouvrement des créances se poursuit normalement ajoute ce responsable qui précise que pour les jeunes investisseurs qui accusent un retard dans l'acquittement de leurs échéances, pour diverses raisons sur lesquelles il n'a pas donné de détails, le dialogue à l'amiable est en cours entre les deux parties pour établir un rééchelonnement des remboursement, en fonction des capacités financières de chacun. L'argent des recouvrements pour l'année 2016 a permis le financement de 55 % des projets d'investissements. Pour ce qui est des perspectives, Mourad Zemali expliquera que l'octroi de crédits Ansej sera plus ciblé. Le projet soumis fera l'objet d'une étude technique rigoureuse en plus d'une opportunité avérée, c'est-à-dire qu'il doit s'inscrire sur un segment qui ne soit pas saturé. Et à l'avenir la priorité des crédits sera accordée aux diplômés de l'université et aux sortants des centres de formation professionnelle. C'est le directeur de l'Ansej, Mourad Zemali, qui l'a déclaré hier en marge d'une réunion du bureau de wilaya d'Alger de la Fédération nationale des jeunes entrepreneurs. Cette déclaration a le mérite de la clarté et ceux qui ont vendu leurs matériel spour récupérer de l'argent cash savent désormais à quoi s'en tenir. Mais selon M. Zemali, ils ne sont pas des masses dans ce cas et ils ne représenteraient que 2.000 des bénéficiaires du dispositif, depuis sa création, il y a une vingtaine d'années. Au sujet des jeunes dont les projets n'ont pas abouti, mais qui n'ont pas vendu leurs matériel,s ils ne seront pas poursuivis en justice, d'autant qu'ils se démènent pour relancer leurs start-up, assure le responsable de l'Ansej. L'opération de recouvrement des créances se poursuit normalement ajoute ce responsable qui précise que pour les jeunes investisseurs qui accusent un retard dans l'acquittement de leurs échéances, pour diverses raisons sur lesquelles il n'a pas donné de détails, le dialogue à l'amiable est en cours entre les deux parties pour établir un rééchelonnement des remboursement, en fonction des capacités financières de chacun. L'argent des recouvrements pour l'année 2016 a permis le financement de 55 % des projets d'investissements. Pour ce qui est des perspectives, Mourad Zemali expliquera que l'octroi de crédits Ansej sera plus ciblé. Le projet soumis fera l'objet d'une étude technique rigoureuse en plus d'une opportunité avérée, c'est-à-dire qu'il doit s'inscrire sur un segment qui ne soit pas saturé. Et à l'avenir la priorité des crédits sera accordée aux diplômés de l'université et aux sortants des centres de formation professionnelle.