Des enseignants ont été violentés, avant-hier, par un groupe d'étudiants à la faculté des sciences politique et de l'information (Université Alger 3) au moment où ils tenaient une assemblée générale en vue de l'installation d'un bureau du Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes), a annoncé Louisa Aït Hamadouche. Des enseignants ont été violentés, avant-hier, par un groupe d'étudiants à la faculté des sciences politique et de l'information (Université Alger 3) au moment où ils tenaient une assemblée générale en vue de l'installation d'un bureau du Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes), a annoncé Louisa Aït Hamadouche. "Un groupe d'enseignants tenait une assemblée générale pour l'élection d'un bureau du Cnes pour l'université Alger 3. Un groupe de jeunes a fait irruption dans la salle des enseignants où nous étions réunis et a violenté des enseignants dont un a été blessé à la main", relate Louisa Aït Hamadouche, qui était parmi les enseignants présents sur place. "Ils nous ont dit qu'on n'avait pas le droit d'installer un bureau du Cnes vu qu'il existe déjà", ajoute-t-elle. Des policiers sont intervenus rapidement et ont évacué le représentant du bureau provisoire du Cnes, selon elle. "Certainement pour le protéger", pense notre interlocutrice, en assurant que les agresseurs, qui sont entrés avec des cartes d'étudiants (mais qui ne sont pas inscrits dans cette faculté, NDLR) ont pu repartir normalement. "Au-delà de la dignité de l'enseignant qui est bafouée, aujourd'hui on s'en prend à son intégrité physique", dénonce-t-elle. "On ne se sent plus en sécurité au sein même de l'université. Cela est inacceptable et scandaleux", s'alarme Mme Aït Hamadouche !. Les enseignants de la faculté des sciences politiques et de l'information tiendront, dimanche prochain, une assemblée générale pour discuter des actions à entreprendre, selon elle. "Un groupe d'enseignants tenait une assemblée générale pour l'élection d'un bureau du Cnes pour l'université Alger 3. Un groupe de jeunes a fait irruption dans la salle des enseignants où nous étions réunis et a violenté des enseignants dont un a été blessé à la main", relate Louisa Aït Hamadouche, qui était parmi les enseignants présents sur place. "Ils nous ont dit qu'on n'avait pas le droit d'installer un bureau du Cnes vu qu'il existe déjà", ajoute-t-elle. Des policiers sont intervenus rapidement et ont évacué le représentant du bureau provisoire du Cnes, selon elle. "Certainement pour le protéger", pense notre interlocutrice, en assurant que les agresseurs, qui sont entrés avec des cartes d'étudiants (mais qui ne sont pas inscrits dans cette faculté, NDLR) ont pu repartir normalement. "Au-delà de la dignité de l'enseignant qui est bafouée, aujourd'hui on s'en prend à son intégrité physique", dénonce-t-elle. "On ne se sent plus en sécurité au sein même de l'université. Cela est inacceptable et scandaleux", s'alarme Mme Aït Hamadouche !. Les enseignants de la faculté des sciences politiques et de l'information tiendront, dimanche prochain, une assemblée générale pour discuter des actions à entreprendre, selon elle.