Le secrétaire général du FLN, Djamal Oud Abbès, prépare les listes de candidatures du parti loin des yeux de la presse nationale. Le secrétaire général du FLN, Djamal Oud Abbès, prépare les listes de candidatures du parti loin des yeux de la presse nationale. Al'hôtel Moncada le chef de file du vieux parti s'évertue, avec ses plus proches collaborateurs de la commission nationale de tri des candidatures installée il y a quelques jours, à faire le meilleur choix possible. Une mission qui est loin d'être une simple sinécure eu égard au nombre impressionnant de dossiers de candidatures. Pas moins de 6.200 dossiers de candidatures ont été déposés. Un chiffre qui donne le tournis au secrétaire général du parti. Ce d'autant que parmi cette flopée de noms l'on retrouve des ministres, d'anciens ministres, des membres du bureau politique, des députés en fin de mandat, d'anciens députés et même des enfants d'apparatchiks du parti. En effet, il se murmure que de nombreuses figures du parti voudraient placer leurs enfants dans les listes électorales. Et sur ce plan, des membres du bureau politique ne sont pas en reste. Ahmed Boumehdi, Abdelkader Zahali, Bendaida et Bouallègue, pour ne citer que ceux là, font des pieds et des mains afin que leurs enfants soient placés dans les meilleures positions possibles dans les listes électorales et ce, afin d'avoir de réelles chances de décrocher un siège dans la future APN. Djamal Ould Abbès a annoncé officiellement que 8 ministres ont retiré les dossiers de candidatures. Il s'agit, pour rappel, de Boudjemaâ Talai, Abdelkader Ouali, Tahar Hadjar, Ghania Eddalia, Abdelwahab Nouri, Abdelmalek Boudiaf, Aïcha Tagabou et Abdesselam Chelghoum. D'autres ministres en exercice vont certainement faire de même dans les prochains jours si ce n'est déjà fait. En tout cas il y a une semaine Djamal Ould Abbès s'attendait à ce que d'autres membres du gouvernement manifestent leur intention à ce propos. Composée de 26 membres, la Commission nationale de candidatures est formée de ministres en fonction, d'anciens ministres et de membres du bureau politique du parti. Cette commission doit rendre sa copie, au plus tard, le 4 mars prochain car la date butoir de dépôt de candidature a été fixée pour le 5 mars. Mais l'on s'interroge dans les milieux du parti sur les réelles prérogatives de cette commission. Car d'aucuns doutent sur le fait qu'elle soit la seule habilitée à faire le tri de l'ensemble des candidatures avant de finaliser les listes officielles avec lesquelles le vieux parti entrera en course lors des élections législatives prévues le 4 mai prochain. Il semble, à en croire en tout cas ces sources, que Djamal Ould Abbès aurait installé une commission restreinte parallèle sembable à un cabinet noir qui, elle, dispose de réelles prérogatives pour mettre au point toutes les listes électorales du parti. En vérité, cela ne serait pas une si grande surprise puisque les listes du parti ont de tout temps suscité un intérêt croissant de plusieurs centres décisionnels. Mais Djamal Ould Abbès aurait déjà démenti ces allégations arguant qu'il n'y a pas de "cabinet noir" au FLN. Al'hôtel Moncada le chef de file du vieux parti s'évertue, avec ses plus proches collaborateurs de la commission nationale de tri des candidatures installée il y a quelques jours, à faire le meilleur choix possible. Une mission qui est loin d'être une simple sinécure eu égard au nombre impressionnant de dossiers de candidatures. Pas moins de 6.200 dossiers de candidatures ont été déposés. Un chiffre qui donne le tournis au secrétaire général du parti. Ce d'autant que parmi cette flopée de noms l'on retrouve des ministres, d'anciens ministres, des membres du bureau politique, des députés en fin de mandat, d'anciens députés et même des enfants d'apparatchiks du parti. En effet, il se murmure que de nombreuses figures du parti voudraient placer leurs enfants dans les listes électorales. Et sur ce plan, des membres du bureau politique ne sont pas en reste. Ahmed Boumehdi, Abdelkader Zahali, Bendaida et Bouallègue, pour ne citer que ceux là, font des pieds et des mains afin que leurs enfants soient placés dans les meilleures positions possibles dans les listes électorales et ce, afin d'avoir de réelles chances de décrocher un siège dans la future APN. Djamal Ould Abbès a annoncé officiellement que 8 ministres ont retiré les dossiers de candidatures. Il s'agit, pour rappel, de Boudjemaâ Talai, Abdelkader Ouali, Tahar Hadjar, Ghania Eddalia, Abdelwahab Nouri, Abdelmalek Boudiaf, Aïcha Tagabou et Abdesselam Chelghoum. D'autres ministres en exercice vont certainement faire de même dans les prochains jours si ce n'est déjà fait. En tout cas il y a une semaine Djamal Ould Abbès s'attendait à ce que d'autres membres du gouvernement manifestent leur intention à ce propos. Composée de 26 membres, la Commission nationale de candidatures est formée de ministres en fonction, d'anciens ministres et de membres du bureau politique du parti. Cette commission doit rendre sa copie, au plus tard, le 4 mars prochain car la date butoir de dépôt de candidature a été fixée pour le 5 mars. Mais l'on s'interroge dans les milieux du parti sur les réelles prérogatives de cette commission. Car d'aucuns doutent sur le fait qu'elle soit la seule habilitée à faire le tri de l'ensemble des candidatures avant de finaliser les listes officielles avec lesquelles le vieux parti entrera en course lors des élections législatives prévues le 4 mai prochain. Il semble, à en croire en tout cas ces sources, que Djamal Ould Abbès aurait installé une commission restreinte parallèle sembable à un cabinet noir qui, elle, dispose de réelles prérogatives pour mettre au point toutes les listes électorales du parti. En vérité, cela ne serait pas une si grande surprise puisque les listes du parti ont de tout temps suscité un intérêt croissant de plusieurs centres décisionnels. Mais Djamal Ould Abbès aurait déjà démenti ces allégations arguant qu'il n'y a pas de "cabinet noir" au FLN.