Le secrétaire général du parti du FLN, Djamal Ould Abbès, a réuni jeudi dernier, à Aïn-Témouchent les candidats du parti pour la région ouest du pays. Le secrétaire général du parti du FLN, Djamal Ould Abbès, a réuni jeudi dernier, à Aïn-Témouchent les candidats du parti pour la région ouest du pays. C'est le deuxième rendez-vousen quelques jours après celui de Sétif, où il a réuni les candidats de l'est du pays. Le chef de file du FLN a, une fois encore, réitéré son soutien et sa fidélité au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui assume aussi les charges de président du FLN. "Il a donné 60 ans de sa vie et de sa santé à l'Algérie" dira Ould Abbès en précisant que c'est le FLN qui avait proposé en 1999 la candidature de Bouteflika à la présidence de la République. "Quatre mandats, pourquoi pas un cinquième et un sixième", lance-t-il, à l'adresse de l'assistance. Ce n'est pas la première fois que le secrétaire général du FLN évoque cette question d'un cinquième mandat pour le président Bouteflika. On se rappelle que dès son intronisation à la tête du parti en remplacement d'Amar Saadani, il a fait clairement référence à un possible cinquième mandat pour le président Bouteflika. Au sujet des listes électorales, dont on connaît les suites, Ould Abbès ne cherche pas à se dérober : "J'assume pleinement les choix qui ont été fait de façon transparente et démocratique, le temps des opportunistes est terminé", souligne-t-il. A l'adresse des candidats il explique que "les législatives du 4 mai vont baliser la voie à la présidentielle de 2019." Et de se féliciter, à ce propos, d'avoir réussi à "barrer la route à ceux qui voulaient faire intrusion à travers le parlement pour se positionner en force en prévision de la présidentielle de 2019, le FLN est pur et dur" soulignera-t-il. Pour justifier le choix des candidats et répondre a ceux qui ont manifestés leur mécontentement suite à la publication des listes électorales il dira que "70 % des candidats sont des universitaires, des médecins, des recteurs, mais il y a aussi sur les listes des fellahs, des travailleurs des jeunes." Le choix de la majorité de candidats parmi les universitaires se justifie, selon lui, par la nature de la mission du député qui est "de légiférer pour faire tourner la machine étatique." Il y a aussi dans les listes un souci d'équilibre, en rapport avec la qualité de militant. "74 députés sur 218 ont été reconduits, 130 femmes, 119 membres du CC, 37 mouhafedhs", déclinera-t-il en affirmant que "les citoyens sont très contents de voir de nouveaux visages sur les listes du FLN." Insistant sur sa responsabilité dans le choix des listes, il ajoute : "Si on gagne on est tous gagnants, si on perd je suis le seul perdant." Se projetant dans la campagne électorale Ould Abbès interpelle individuellement les têtes des listes pour leur demander d'améliorer les résultats du FLN en termes de sièges. "Occupez le terrain, privilégiez un travail de proximité, votre message principal est d'expliquer, de montrer ce qui a été réalisé depuis 1999 comme acquis avec le président Bouteflika." C'est le deuxième rendez-vousen quelques jours après celui de Sétif, où il a réuni les candidats de l'est du pays. Le chef de file du FLN a, une fois encore, réitéré son soutien et sa fidélité au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui assume aussi les charges de président du FLN. "Il a donné 60 ans de sa vie et de sa santé à l'Algérie" dira Ould Abbès en précisant que c'est le FLN qui avait proposé en 1999 la candidature de Bouteflika à la présidence de la République. "Quatre mandats, pourquoi pas un cinquième et un sixième", lance-t-il, à l'adresse de l'assistance. Ce n'est pas la première fois que le secrétaire général du FLN évoque cette question d'un cinquième mandat pour le président Bouteflika. On se rappelle que dès son intronisation à la tête du parti en remplacement d'Amar Saadani, il a fait clairement référence à un possible cinquième mandat pour le président Bouteflika. Au sujet des listes électorales, dont on connaît les suites, Ould Abbès ne cherche pas à se dérober : "J'assume pleinement les choix qui ont été fait de façon transparente et démocratique, le temps des opportunistes est terminé", souligne-t-il. A l'adresse des candidats il explique que "les législatives du 4 mai vont baliser la voie à la présidentielle de 2019." Et de se féliciter, à ce propos, d'avoir réussi à "barrer la route à ceux qui voulaient faire intrusion à travers le parlement pour se positionner en force en prévision de la présidentielle de 2019, le FLN est pur et dur" soulignera-t-il. Pour justifier le choix des candidats et répondre a ceux qui ont manifestés leur mécontentement suite à la publication des listes électorales il dira que "70 % des candidats sont des universitaires, des médecins, des recteurs, mais il y a aussi sur les listes des fellahs, des travailleurs des jeunes." Le choix de la majorité de candidats parmi les universitaires se justifie, selon lui, par la nature de la mission du député qui est "de légiférer pour faire tourner la machine étatique." Il y a aussi dans les listes un souci d'équilibre, en rapport avec la qualité de militant. "74 députés sur 218 ont été reconduits, 130 femmes, 119 membres du CC, 37 mouhafedhs", déclinera-t-il en affirmant que "les citoyens sont très contents de voir de nouveaux visages sur les listes du FLN." Insistant sur sa responsabilité dans le choix des listes, il ajoute : "Si on gagne on est tous gagnants, si on perd je suis le seul perdant." Se projetant dans la campagne électorale Ould Abbès interpelle individuellement les têtes des listes pour leur demander d'améliorer les résultats du FLN en termes de sièges. "Occupez le terrain, privilégiez un travail de proximité, votre message principal est d'expliquer, de montrer ce qui a été réalisé depuis 1999 comme acquis avec le président Bouteflika."