Poursuivant sa campagne électorale, Amara Benyounès a fait étape hier à Guelma, où il a animé un meeting au Centre des Loisirs Scientifiques de la ville, dans une salle archicomble. Poursuivant sa campagne électorale, Amara Benyounès a fait étape hier à Guelma, où il a animé un meeting au Centre des Loisirs Scientifiques de la ville, dans une salle archicomble. Dans son intervention, souvent ponctuée par des applaudissements des présents dans la salle, le parton du MPA a encore martelé son discours dans lequel il insistera d'abord sur la « sécurité et la stabilité du pays », citant en contre-exemple ce qui est advenu des pays comme la Libye, la Syrie, le Yémen, des pays en proie aujourd'hui au chaos destructeur, conséquence du « Printemps arabe » Benyounès parlera longuement d'économie, plus précisément de la nécessité des réformes pour une diversification de l'outil de production nationale. Rebondissant sur les propos du premier ministre, lundi, à Djelfa, il pointera en particulier le phénomène du chômage qui touche pas moins de 25 % des jeunes qui sont paradoxalement l'avenir du pays. Occasion pour Benyounès de dire que ces jeunes « ne doivent pas se limiter à revendiquer des emplois, comme chauffeurs, comme agent de sécurité, alors que des opportunités d'emploi existent dans l'agriculture, le tourisme et les services. Benyounès parlera aussi de l'indépendance de la justice, qui est selon lui, un des piliers de la démocratie, laquelle, argumente-t-il « est un préalable au développement politique et institutionnel du pays.» En tant qu'ancien ministre du commerce, il évoquera pour la première fois une affaire qui lui tient à coeur : les licences d'importation de boissons alcoolisées. Ses adversaires politiques, lui collent cette étiquette de ministre qui a signé des licences d'importation de boissons alcoolisées. « L'Algérie compte actuellement 981 licences d'importation d'alcool et je défie quiconque d'apporter la preuve que j'ai signé une seule licence lorsque j'étais au ministre du commerce ». En revanche, ajoutera-t-il, après son départ du ministère du Commerce, d'autres licences d'importation ont été délivrées. En conclusion de son intervention, le chef du MPA a fait valoir tout l'intérêt à « préserver l'unité nationale » de la part des Algériens appelés à voter en masse le 4 mai. Dans son intervention, souvent ponctuée par des applaudissements des présents dans la salle, le parton du MPA a encore martelé son discours dans lequel il insistera d'abord sur la « sécurité et la stabilité du pays », citant en contre-exemple ce qui est advenu des pays comme la Libye, la Syrie, le Yémen, des pays en proie aujourd'hui au chaos destructeur, conséquence du « Printemps arabe » Benyounès parlera longuement d'économie, plus précisément de la nécessité des réformes pour une diversification de l'outil de production nationale. Rebondissant sur les propos du premier ministre, lundi, à Djelfa, il pointera en particulier le phénomène du chômage qui touche pas moins de 25 % des jeunes qui sont paradoxalement l'avenir du pays. Occasion pour Benyounès de dire que ces jeunes « ne doivent pas se limiter à revendiquer des emplois, comme chauffeurs, comme agent de sécurité, alors que des opportunités d'emploi existent dans l'agriculture, le tourisme et les services. Benyounès parlera aussi de l'indépendance de la justice, qui est selon lui, un des piliers de la démocratie, laquelle, argumente-t-il « est un préalable au développement politique et institutionnel du pays.» En tant qu'ancien ministre du commerce, il évoquera pour la première fois une affaire qui lui tient à coeur : les licences d'importation de boissons alcoolisées. Ses adversaires politiques, lui collent cette étiquette de ministre qui a signé des licences d'importation de boissons alcoolisées. « L'Algérie compte actuellement 981 licences d'importation d'alcool et je défie quiconque d'apporter la preuve que j'ai signé une seule licence lorsque j'étais au ministre du commerce ». En revanche, ajoutera-t-il, après son départ du ministère du Commerce, d'autres licences d'importation ont été délivrées. En conclusion de son intervention, le chef du MPA a fait valoir tout l'intérêt à « préserver l'unité nationale » de la part des Algériens appelés à voter en masse le 4 mai.