Parallèlement à la campagne électorale, les pouvoirs publics mènent aussi une offensive de charme en direction des électeurs en vue de les amener à aller voter en masse le 4 mai prochain. Parallèlement à la campagne électorale, les pouvoirs publics mènent aussi une offensive de charme en direction des électeurs en vue de les amener à aller voter en masse le 4 mai prochain. La rhétorique est simple : le scrutin législatif sera libre et transparent. Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Nouredine Bedoui, est, dans ce cadre, revenu à la charge. En effet, hier à la faveur de l'opération de lancement officiel du permis à points biométrique, le représentant du gouvernement a, une fois encore, plaidé pour un vote massif lors des prochaines élections législatives, prévues le 4 mai. Mais le ministre de l'Intérieur n'a pas raté cette occasion pour s'en prendre à tous ceux qui tentent de discréditer cette échéance électorale en insinuant le doute dans l'esprit des algériens sur la transparence de ce scrutin. Comme il a tenu à rassurer sur la neutralité de l'administration. « On dit à tous ces sceptiques que l'administration ne sera pas présente lors de ce rendez- vous »dira Nouredine Bedoui dans son allocution. Car, du point de vue du ministre de l'Intérieur, il y a suffisamment de gages à même de garantir la transparence de ces élections. IL a ainsi cité les encadreurs de cette opération électorale qui sont, dira –til, des algériens dont il ne faut point douter de leur probité. A cela s'ajoute les contrôleurs et superviseurs dépêchés par les partis politiques pour veiller au déroulement dans la transparence du scrutin. « Des contrôleurs qui ont toute latitude pour mener à bien leur mission » a précisé Bedoui. Il en est aussi de même pour les magistrats superviseurs. Le ministre n'a pas omis de citer la haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE). « C'est une instance constitutionnelle » a martelé le ministre comme pour blanchir à HIISE de tout soupçon. Pour le ministre de l'Intérieur, qui a appelé à la mobilisation populaire, « les craintes et les doutes n'ont aucun fondement ». Le propos est on ne peut plus clair et s'adresse particulièrement à l'opposition. Cette dernière, toutes tendances confondues, ne fait pas totalement confiance au pouvoir et à son administration. Durant la première semaine de la campagne électorale, entamée pour rappel le dimanche 9 avril, les leaders des partis de l'opposition en course pour cette élection, n'ont eu de cesse de mettre en garde le pouvoir contre toute tentative de frauder lors du scrutin législatif. L'opposition, qui met en avant les expériences passées, ne croit pas trop en la volonté du pouvoir de vouloir effectivement organiser un scrutin libre, honnête et transparent. Dans la logique du ministre de l'Intérieur, il n'est pas bon de douter de la sincérité du pouvoir et des instruments mis en place pour l'ensemble de l'opération électorale. Pour lui donc les algériens peuvent « voter en toute liberté ». car le vote est le meilleur moyen de doter le pays d'institutions fortes dirigées par des élites légitimes émanant de la volonté populaire. La rhétorique est simple : le scrutin législatif sera libre et transparent. Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Nouredine Bedoui, est, dans ce cadre, revenu à la charge. En effet, hier à la faveur de l'opération de lancement officiel du permis à points biométrique, le représentant du gouvernement a, une fois encore, plaidé pour un vote massif lors des prochaines élections législatives, prévues le 4 mai. Mais le ministre de l'Intérieur n'a pas raté cette occasion pour s'en prendre à tous ceux qui tentent de discréditer cette échéance électorale en insinuant le doute dans l'esprit des algériens sur la transparence de ce scrutin. Comme il a tenu à rassurer sur la neutralité de l'administration. « On dit à tous ces sceptiques que l'administration ne sera pas présente lors de ce rendez- vous »dira Nouredine Bedoui dans son allocution. Car, du point de vue du ministre de l'Intérieur, il y a suffisamment de gages à même de garantir la transparence de ces élections. IL a ainsi cité les encadreurs de cette opération électorale qui sont, dira –til, des algériens dont il ne faut point douter de leur probité. A cela s'ajoute les contrôleurs et superviseurs dépêchés par les partis politiques pour veiller au déroulement dans la transparence du scrutin. « Des contrôleurs qui ont toute latitude pour mener à bien leur mission » a précisé Bedoui. Il en est aussi de même pour les magistrats superviseurs. Le ministre n'a pas omis de citer la haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE). « C'est une instance constitutionnelle » a martelé le ministre comme pour blanchir à HIISE de tout soupçon. Pour le ministre de l'Intérieur, qui a appelé à la mobilisation populaire, « les craintes et les doutes n'ont aucun fondement ». Le propos est on ne peut plus clair et s'adresse particulièrement à l'opposition. Cette dernière, toutes tendances confondues, ne fait pas totalement confiance au pouvoir et à son administration. Durant la première semaine de la campagne électorale, entamée pour rappel le dimanche 9 avril, les leaders des partis de l'opposition en course pour cette élection, n'ont eu de cesse de mettre en garde le pouvoir contre toute tentative de frauder lors du scrutin législatif. L'opposition, qui met en avant les expériences passées, ne croit pas trop en la volonté du pouvoir de vouloir effectivement organiser un scrutin libre, honnête et transparent. Dans la logique du ministre de l'Intérieur, il n'est pas bon de douter de la sincérité du pouvoir et des instruments mis en place pour l'ensemble de l'opération électorale. Pour lui donc les algériens peuvent « voter en toute liberté ». car le vote est le meilleur moyen de doter le pays d'institutions fortes dirigées par des élites légitimes émanant de la volonté populaire.