Le président de la Haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE), Abdelouahab Derbal, a imputé les dépassements enregistrés durant la campagne électorale pour les législatives du 4 mai au manque de maturité politique chez les candidats. Il a déclaré que ces agissements sont l'oeuvre d'"une société sous-développée". Le président de la Haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE), Abdelouahab Derbal, a imputé les dépassements enregistrés durant la campagne électorale pour les législatives du 4 mai au manque de maturité politique chez les candidats. Il a déclaré que ces agissements sont l'oeuvre d'"une société sous-développée". Il s'exprimait au cours d'une conférence de presse animée au terme d'une visite dans la wilaya de Tizi-Ouzou pour s'enquérir des conditions de travail de la représentation locale de son instance Dans le même sillage, Derbal s'est attaqué à la presse tenue pour responsable dans certaines questions relatives aux prochaines législatives comme le problème des photos des candidats qui n'apparaissent pas dans des affiches de la campagne. Pour lui il n'y a pas lieu de qualifier cette anomalie comme "un scandale comme il est présenté par la presse qui est plus soucieuse de vendre plus". Il a, ainsi, appelé la presse à bannir de telles pratiques qui ne font que nuire à la vie politique. A une question relative au financement de la campagne électorale chez les partis, le président de la HIISE a affirmé que "la ch'kara est une honte" avant d'expliquer qu'il est difficile de contrôler si "l'argent sale" est utilisé par les candidats dans un pays comme l'Algérie où l'économie informelle domine. Quant à ceux qui crient déjà à la fraude avant même le déroulement des législatives, Derbal a soutenu que ces mêmes parties craignent plutôt la transparence avant de mettre en avant les garanties pour la tenue de ces mêmes élections sans fraude. Commentant les atteintes aux règles du déroulement de la campagne électorale, le président de la HIISE a certes reconnu leur existence tout en soutenant qu'elles ne prêtent pas à l'inquiétude et qu'elles restent dans "les limites acceptables". Il s'exprimait au cours d'une conférence de presse animée au terme d'une visite dans la wilaya de Tizi-Ouzou pour s'enquérir des conditions de travail de la représentation locale de son instance Dans le même sillage, Derbal s'est attaqué à la presse tenue pour responsable dans certaines questions relatives aux prochaines législatives comme le problème des photos des candidats qui n'apparaissent pas dans des affiches de la campagne. Pour lui il n'y a pas lieu de qualifier cette anomalie comme "un scandale comme il est présenté par la presse qui est plus soucieuse de vendre plus". Il a, ainsi, appelé la presse à bannir de telles pratiques qui ne font que nuire à la vie politique. A une question relative au financement de la campagne électorale chez les partis, le président de la HIISE a affirmé que "la ch'kara est une honte" avant d'expliquer qu'il est difficile de contrôler si "l'argent sale" est utilisé par les candidats dans un pays comme l'Algérie où l'économie informelle domine. Quant à ceux qui crient déjà à la fraude avant même le déroulement des législatives, Derbal a soutenu que ces mêmes parties craignent plutôt la transparence avant de mettre en avant les garanties pour la tenue de ces mêmes élections sans fraude. Commentant les atteintes aux règles du déroulement de la campagne électorale, le président de la HIISE a certes reconnu leur existence tout en soutenant qu'elles ne prêtent pas à l'inquiétude et qu'elles restent dans "les limites acceptables".