Manuel Valls a indiqué, mardi, qu'il comptait se présenter aux législatives sous l'étiquette La République en marche, du président élu Emmanuel Macron. Cependant, sa candidature n'a toujours pas été validée par le mouvement. "Le Parti socialiste est mort". Manuel Valls a indiqué, mardi, qu'il comptait se présenter aux législatives sous l'étiquette La République en marche, du président élu Emmanuel Macron. Cependant, sa candidature n'a toujours pas été validée par le mouvement. "Le Parti socialiste est mort". C'est du moins ce qu'a déclaré l'ancien Premier ministre socialiste Manuel Valls, mardi 9 mai sur RTL, avant d'indiquer qu'il comptait se présenter aux législatives sous l'étiquette du mouvement d'Emmanuel Macron, La République en marche. "Comme j'invite d'ailleurs tous les députés sortants, les progressistes, ceux qui ont appelé à voter Emmanuel Macron avant le premier tour, ceux qui souhaitaient sa victoire, moi je serai candidat de la majorité présidentielle, et souhaite m'inscrire dans ce mouvement qui est le sien, La République en marche", a-t-il déclaré. "Parce que je suis un républicain, parce que je suis un homme de gauche, parce que je reste un socialiste, je ne vais pas renier 30 ans de ma vie politique, parce que j'ai exercé les responsabilités, parce que je sais que gouverner la France c'est difficile, je ne suis pas en embuscade. Je veux la réussite d'Emmanuel Macron", a ajouté celui qui est redevenu député à Evry après sa démission du gouvernement en décembre."Parlons franchement : nous nous retrouvons dans la plupart des propositions du projet qu'Emmanuel Macron porte, oui ou non ? Oui", a-t-il dit. "La procédure est la même pour tout le monde" De son côté, Benjamin Griveaux, porteparole d'En Marche !, a précisé sur Europe 1 que l'ancien Premier ministre n'avait pas été investi par la commission nationale d'investiture, "oualors sacandidature m'aéchappée". "La bannière sur laquelle les candidats aux législatives iront s'appelle la République en marche (...) laprocédure est lamême pourtout le monde, il lui reste 24 heures", a-t-il ajouté. Les candidats de "La République en marche" doivent être investis pour les législatives avant jeudi midi dans chacune des 577 circonscriptions. "À ce stade on a 500" candidats, a précisé le responsable de la commission d'investitures, Jean-Paul Delevoye, sur France 2. "Donc nous sommes en train de travailler, la commission se réunira une dernière fois pour terminer cette liste et jeudi midi nous serons prêts", a-t-il dit. C'est du moins ce qu'a déclaré l'ancien Premier ministre socialiste Manuel Valls, mardi 9 mai sur RTL, avant d'indiquer qu'il comptait se présenter aux législatives sous l'étiquette du mouvement d'Emmanuel Macron, La République en marche. "Comme j'invite d'ailleurs tous les députés sortants, les progressistes, ceux qui ont appelé à voter Emmanuel Macron avant le premier tour, ceux qui souhaitaient sa victoire, moi je serai candidat de la majorité présidentielle, et souhaite m'inscrire dans ce mouvement qui est le sien, La République en marche", a-t-il déclaré. "Parce que je suis un républicain, parce que je suis un homme de gauche, parce que je reste un socialiste, je ne vais pas renier 30 ans de ma vie politique, parce que j'ai exercé les responsabilités, parce que je sais que gouverner la France c'est difficile, je ne suis pas en embuscade. Je veux la réussite d'Emmanuel Macron", a ajouté celui qui est redevenu député à Evry après sa démission du gouvernement en décembre."Parlons franchement : nous nous retrouvons dans la plupart des propositions du projet qu'Emmanuel Macron porte, oui ou non ? Oui", a-t-il dit. "La procédure est la même pour tout le monde" De son côté, Benjamin Griveaux, porteparole d'En Marche !, a précisé sur Europe 1 que l'ancien Premier ministre n'avait pas été investi par la commission nationale d'investiture, "oualors sacandidature m'aéchappée". "La bannière sur laquelle les candidats aux législatives iront s'appelle la République en marche (...) laprocédure est lamême pourtout le monde, il lui reste 24 heures", a-t-il ajouté. Les candidats de "La République en marche" doivent être investis pour les législatives avant jeudi midi dans chacune des 577 circonscriptions. "À ce stade on a 500" candidats, a précisé le responsable de la commission d'investitures, Jean-Paul Delevoye, sur France 2. "Donc nous sommes en train de travailler, la commission se réunira une dernière fois pour terminer cette liste et jeudi midi nous serons prêts", a-t-il dit.