Le ministre de l'Energie, Noureddine Boutarfa, sera aujourd'hui à Moscou où il rencontrera son homologue russe, Alexander Novak, pour discuter de la coopération bilatérale entre les deux pays dans le secteur énergétique et de la situation du marché pétrolier mondial. Le ministre de l'Energie, Noureddine Boutarfa, sera aujourd'hui à Moscou où il rencontrera son homologue russe, Alexander Novak, pour discuter de la coopération bilatérale entre les deux pays dans le secteur énergétique et de la situation du marché pétrolier mondial. Cette rencontre entre les deux ministres se tiendra à quelques jours de la réunion des pays de l'OPEP prévue pour le 25 mai à Vienne. Pour rappel, la Russie (non membre de l'OPEP) et l'Arabie Saoudite, grands producteurs de pétrole, étaient tombés d'accord lundi dernier sur la nécessité d'une prolongation de l'accord de réduction de la production pétrolière jusqu'en mars 2018. Cette mesure doit permettre "de réduire le niveau des stocks de pétrole à leur niveau moyen des cinq dernières années et de souligner la détermination des producteurs à assurer la stabilité, la prévisibilité et le développement durable du marché", avaient indiqué M. Novak et son homologue saoudien, Khaled Al-Faleh, dans un communiqué commun. "Moscou et Ryad consulteront les autres pays producteurs de pétrole avant le 25 mai afin de parvenir à un consensus complet sur une prolongation pour 9 mois de l'accord de réduction de la production", avaient-ils avancé. "Les pays membres de l'OPEP et onze pays producteurs non membres vont discuter de la possibilité de prolonger l'accord de réduction de la production, à Vienne, les 24 et 25 mai", avait ajouté le ministre russe. Pour sa part, le ministre koweïtien du pétrole, Issam Elmerzoug, qui préside la commission chargée de vérifier les réductions, avait affirmé lundi dernier que les pays producteurs de pétrole devraient renouveler un accord sur une extension de six mois de la réduction de la production de pétrole. "Il y a un consensus presque total sur l'importance d'étendre l'accord sur au moins six mois", avait-il soutenu. A ce propos, M. Boutarfa avait aussi indiqué récemment que l'Algérie était également favorable pour prolonger la durée de la baisse de la production du pétrole. Pour faire remonter les prix du pétrole, en novembre 2016, lors d'une réunion à Vienne, les pays de l'OPEP et onze Etats non membres avaient convenus de réduire la production de pétrole de 1,8 million de barils par jour pendant le premier semestre 2017. Cette rencontre entre les deux ministres se tiendra à quelques jours de la réunion des pays de l'OPEP prévue pour le 25 mai à Vienne. Pour rappel, la Russie (non membre de l'OPEP) et l'Arabie Saoudite, grands producteurs de pétrole, étaient tombés d'accord lundi dernier sur la nécessité d'une prolongation de l'accord de réduction de la production pétrolière jusqu'en mars 2018. Cette mesure doit permettre "de réduire le niveau des stocks de pétrole à leur niveau moyen des cinq dernières années et de souligner la détermination des producteurs à assurer la stabilité, la prévisibilité et le développement durable du marché", avaient indiqué M. Novak et son homologue saoudien, Khaled Al-Faleh, dans un communiqué commun. "Moscou et Ryad consulteront les autres pays producteurs de pétrole avant le 25 mai afin de parvenir à un consensus complet sur une prolongation pour 9 mois de l'accord de réduction de la production", avaient-ils avancé. "Les pays membres de l'OPEP et onze pays producteurs non membres vont discuter de la possibilité de prolonger l'accord de réduction de la production, à Vienne, les 24 et 25 mai", avait ajouté le ministre russe. Pour sa part, le ministre koweïtien du pétrole, Issam Elmerzoug, qui préside la commission chargée de vérifier les réductions, avait affirmé lundi dernier que les pays producteurs de pétrole devraient renouveler un accord sur une extension de six mois de la réduction de la production de pétrole. "Il y a un consensus presque total sur l'importance d'étendre l'accord sur au moins six mois", avait-il soutenu. A ce propos, M. Boutarfa avait aussi indiqué récemment que l'Algérie était également favorable pour prolonger la durée de la baisse de la production du pétrole. Pour faire remonter les prix du pétrole, en novembre 2016, lors d'une réunion à Vienne, les pays de l'OPEP et onze Etats non membres avaient convenus de réduire la production de pétrole de 1,8 million de barils par jour pendant le premier semestre 2017.