C' est aujourd'hui que le nouveau parlement sera installé. La séance inaugurale sera présidée par Saïd Bouahadja, l'élu le plus âgé. Une assemblée qui aura du pain sur la planche vu les défis qui l'attendent. C' est aujourd'hui que le nouveau parlement sera installé. La séance inaugurale sera présidée par Saïd Bouahadja, l'élu le plus âgé. Une assemblée qui aura du pain sur la planche vu les défis qui l'attendent. Les 462 élus de la nouvelle Assemblée populaire se présenteront tous avec la signature des PV d'installation qui sera sous l'autorité du Président de l'APN. Ce dernier ne sera autre que Saïd Bouhadja, l'élu de Skikda dont il est originaire. Ce dernier a été imposé par le FLN qui a mené une rude bataille face aux autres rivaux. Le SG du FLN a su managé la candidature de Saïd Bouhadja étant donné que ce dernier est âgé de 78 ans et donc reste le plus âgé des élus de l'APN. La tradition protocolaire veut que ce soit le plus « vieux » des parlementaires qui préside l'Assemblée en attendant sa confirmation au poste avec deux des plus jeunes députés. Tout, en effet, indique que ce vieux routier de la politique et membre influent au sein du FLN sera le futur patron de l'APN. Ce dernier présenté comme un « cacique » du vieux parti a su gérer des crises lorsqu'il était chargé de communication au temps de Belkhadem. Disparu pour un temps, il revient avec un soutien indéfectible de Ould Abbas qui l'a placé sur la scelle. De l'autre côté, Le RND a donné sa caution pour le FLN et ne voit aucun inconvénient que le parti de la majorité puisse piloter l'Assemblée. On a entendu dire que le groupe de « l'opposition » veut aussi imposer son candidat dont le nom n'a pas été désigné. Quoi qu'il en soit, le nouveau parlement légèrement lifté par rapport à celui de 2012, présente la caractéristique d'être hétéroclite au sein du quel il n'y a pas de majorité absolue. Le FLN avec ces 161 sièges devra composer avec le RND pour se faire valoir une majorité des voix pour 261 voix. De l'autre côté, le MSP qui ne participe pas au gouvernement sera la troisième force avec laquelle il faudra compter. La nouvelle APN sera toute tracée pour dans le cadre de la recomposition du champ politique. La plénière d'aujourd'hui fera connaître de nouveaux visages et ceux les plus marquants du paysage politique. Il est attendu ainsi un discours sur les actions à entamer durant la 8e législature et la lecture des projets et les attentes citoyennes autour des enjeux à mettre dans l'agenda de cette assemblée. Le parlement entre en action Durant la séance inaugurale, l'Assemblée procédera à l'élection de son bureau et à la constitution des commissions parlementaires. Ceci est conforme à l'article 131 de la Constitution qui stipule que « le Président de l'APN est élu pour la durée du mandat de la législature ». Ensuite, il y a le rappel sur le fonctionnement de la chambre basse avec le Conseil de la Nation et le gouvernement et, ce, conformément à l'article 132 de la Constitution. Le règlement intérieur de l'APN et le vote pour son budget sont aussi les deux aspects que devra gérer le bureau de l'APN une fois installé. Cela peut prendre du temps une fois que toutes les commissions seront avalisées. A partir donc d'aujourd'hui, la nouvelle APN sera fonctionnelle et pourra programmer ces sessions et ses plénières en fonction de la feuille de route qu'elle étalera à tous les élus. L'on ne parle pas encore de quels projets de lois qui seront programmés, mais pour parer au plus urgent, le parlement n'aura pas de répit. Cette étape de sa mise en route coïncide avec le mois de Ramadan où l'on se posera la sempiternelle question des prix, du pouvoir d'achat des citoyens, le front social en constante ébullition. Quel sera le champ de manoeuvre pour cette nouvelle APN ? Et verra-t-on durant la session d'été des nouveautés ? C'est sur que ce tout le monde s'interroge,autour des défis qui vont se poser. On note que cette 8e mandature intervient dans un contexte particulier des tensions sociales qui résultent de la baisse considérable des ressources de l'Etat. Les élus tiendront-ils compte de cette étape de crise et sauront-ils relever le défi pour apaiser la colère citoyenne ? C'est ce qu'on verra prochainement. Les 462 élus de la nouvelle Assemblée populaire se présenteront tous avec la signature des PV d'installation qui sera sous l'autorité du Président de l'APN. Ce dernier ne sera autre que Saïd Bouhadja, l'élu de Skikda dont il est originaire. Ce dernier a été imposé par le FLN qui a mené une rude bataille face aux autres rivaux. Le SG du FLN a su managé la candidature de Saïd Bouhadja étant donné que ce dernier est âgé de 78 ans et donc reste le plus âgé des élus de l'APN. La tradition protocolaire veut que ce soit le plus « vieux » des parlementaires qui préside l'Assemblée en attendant sa confirmation au poste avec deux des plus jeunes députés. Tout, en effet, indique que ce vieux routier de la politique et membre influent au sein du FLN sera le futur patron de l'APN. Ce dernier présenté comme un « cacique » du vieux parti a su gérer des crises lorsqu'il était chargé de communication au temps de Belkhadem. Disparu pour un temps, il revient avec un soutien indéfectible de Ould Abbas qui l'a placé sur la scelle. De l'autre côté, Le RND a donné sa caution pour le FLN et ne voit aucun inconvénient que le parti de la majorité puisse piloter l'Assemblée. On a entendu dire que le groupe de « l'opposition » veut aussi imposer son candidat dont le nom n'a pas été désigné. Quoi qu'il en soit, le nouveau parlement légèrement lifté par rapport à celui de 2012, présente la caractéristique d'être hétéroclite au sein du quel il n'y a pas de majorité absolue. Le FLN avec ces 161 sièges devra composer avec le RND pour se faire valoir une majorité des voix pour 261 voix. De l'autre côté, le MSP qui ne participe pas au gouvernement sera la troisième force avec laquelle il faudra compter. La nouvelle APN sera toute tracée pour dans le cadre de la recomposition du champ politique. La plénière d'aujourd'hui fera connaître de nouveaux visages et ceux les plus marquants du paysage politique. Il est attendu ainsi un discours sur les actions à entamer durant la 8e législature et la lecture des projets et les attentes citoyennes autour des enjeux à mettre dans l'agenda de cette assemblée. Le parlement entre en action Durant la séance inaugurale, l'Assemblée procédera à l'élection de son bureau et à la constitution des commissions parlementaires. Ceci est conforme à l'article 131 de la Constitution qui stipule que « le Président de l'APN est élu pour la durée du mandat de la législature ». Ensuite, il y a le rappel sur le fonctionnement de la chambre basse avec le Conseil de la Nation et le gouvernement et, ce, conformément à l'article 132 de la Constitution. Le règlement intérieur de l'APN et le vote pour son budget sont aussi les deux aspects que devra gérer le bureau de l'APN une fois installé. Cela peut prendre du temps une fois que toutes les commissions seront avalisées. A partir donc d'aujourd'hui, la nouvelle APN sera fonctionnelle et pourra programmer ces sessions et ses plénières en fonction de la feuille de route qu'elle étalera à tous les élus. L'on ne parle pas encore de quels projets de lois qui seront programmés, mais pour parer au plus urgent, le parlement n'aura pas de répit. Cette étape de sa mise en route coïncide avec le mois de Ramadan où l'on se posera la sempiternelle question des prix, du pouvoir d'achat des citoyens, le front social en constante ébullition. Quel sera le champ de manoeuvre pour cette nouvelle APN ? Et verra-t-on durant la session d'été des nouveautés ? C'est sur que ce tout le monde s'interroge,autour des défis qui vont se poser. On note que cette 8e mandature intervient dans un contexte particulier des tensions sociales qui résultent de la baisse considérable des ressources de l'Etat. Les élus tiendront-ils compte de cette étape de crise et sauront-ils relever le défi pour apaiser la colère citoyenne ? C'est ce qu'on verra prochainement.
