Donald Trump a demandé en mars à deux responsables du renseignement américain de l'aider à contrer l'enquête du FBI à son encontre à propos de liens entre son équipe de campagne et la Russie, a rapporté avant-hier le Washington Post. Donald Trump a demandé en mars à deux responsables du renseignement américain de l'aider à contrer l'enquête du FBI à son encontre à propos de liens entre son équipe de campagne et la Russie, a rapporté avant-hier le Washington Post. Le quotidien affirme que le président américain a demandé à Mike Rogers, directeur de l'Agence de sécurité nationale (NSA), et à Dan Coats, directeur du Renseignement américain, de nier publiquement qu'il existe des preuves de collusion entre son équipe et la Russie durant la campagne de l'année passée. Selon le Washington Post, les deux hommes n'ont pas répondu aux souhaits de Donald Trump. La semaine passée plusieurs médias américains ont rapporté que Donald Trump avait demandé à l'ex-chef du FBI James Comey luimême dans des réunions et par téléphone d'abandonner cette enquête. Des affirmations niées farouchement par la Maison Blanche. Mais ces demandes avaient été consignées par James Comey, renvoyé il y a deux semaines, dans ses compte-rendus écrits des réunions qu'il avait eu avec le président. Dès le mois de février, le milliardaire républicain avait demandé à plusieurs élus et responsables du renseignement de contacter des journalistes pour leur dire qu'il n'y avait aucune preuve de liens entre la Russie et la campagne électorale. Le quotidien affirme que le président américain a demandé à Mike Rogers, directeur de l'Agence de sécurité nationale (NSA), et à Dan Coats, directeur du Renseignement américain, de nier publiquement qu'il existe des preuves de collusion entre son équipe et la Russie durant la campagne de l'année passée. Selon le Washington Post, les deux hommes n'ont pas répondu aux souhaits de Donald Trump. La semaine passée plusieurs médias américains ont rapporté que Donald Trump avait demandé à l'ex-chef du FBI James Comey luimême dans des réunions et par téléphone d'abandonner cette enquête. Des affirmations niées farouchement par la Maison Blanche. Mais ces demandes avaient été consignées par James Comey, renvoyé il y a deux semaines, dans ses compte-rendus écrits des réunions qu'il avait eu avec le président. Dès le mois de février, le milliardaire républicain avait demandé à plusieurs élus et responsables du renseignement de contacter des journalistes pour leur dire qu'il n'y avait aucune preuve de liens entre la Russie et la campagne électorale.