La date de la prochaine session annuelle du comité central (CC) du parti du FLN est connue. Ce sera en effet, les 22 et 23 octobre prochain. La date de la prochaine session annuelle du comité central (CC) du parti du FLN est connue. Ce sera en effet, les 22 et 23 octobre prochain. C'est le secrétaire général du parti, Djamal Ould Abbès, qui en a fait l'annonce avant-hier à l'issue d'une réunion du bureau politique (BP). Une session qui pourrait être houleuse dans la mesure où elle intervient dans un contexte particulier marqué par l'exacerbation des luttes intestines. Les opposants au secrétaire général ont donné de la voix ces derniers jours. Abdelkrim Abada et Abderrahmane Belayat sont en effet montés au créneau pour réclamer la tête d'Ould Abbès. Ils sont allés jusqu'à écrire au président duparti, qui n'est autre que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour lui demander de destituer le secrétaire général. L'opposition prend même de l'épaisseur puisque ses rangs se renforcent. Moussa Benhamadi, qui vient juste d'être déchargé par Ould Abbès du département de l'information, affiche désormais clairement son opposition au secrétaire général. Mais Djamal Ould Abbès donne la nette impression d'être imperturbable. Serein, il est passé à la contre attaque en narguant ses opposants. "Les tentatives de perturbation et les pétitions relèvent de la loi de la jungle. Je refuse ces pratiques du moyen âge. Il y a la Constitution, les statuts et le règlement intérieur du parti", a indiqué Ould Abbès dans son allocution d'ouverture de la réunion du BP. "Que celui qui a quelque chose à dire, il y aura une session du Comité central qui se tiendra le 22 et 23 octobre à Alger !" a-t-il ajouté en guise d'invite à ses détracteurs de cesser les combats sur les colonnes des journaux et de venir s'expliquer devant le CC. En somme pour lui il n'y qu'à l'intérieur des structures du parti que les problèmes doivent être posés et non dans les médias comme le font ses opposants. Et de passer à la vitesse supérieure en soutenant qu'il dispose de l'appui de la majorité des membres du CC. "Si on parle de signatures, j'en ai moi aussi. J'ai 360 signatures (noms et prénoms) de soutien à la direction et au secrétaire général" a -t-il clamé en brandissant cette liste. C'est dire que Djamal Ould Abbès ne compte nullement laisser le champ libre à ses détracteurs puisqu'il a fait montre de son optimise quant à son maintien à la tête du secrétariat général. Mais il se dit aussi être prêt à toutes les éventualités. "Je suis le secrétaire général du FLN au moins jusqu'au 22 octobre, si ce jour-là, le comité central en décide autrement, je m'inclinerai devant sa décision. Moi je respecte les statuts qui font force de loi", a-t-il affirmé dans une déclaration à la preese. Car pour lui "le parti fonctionne conformément à des statuts validés par le ministère de l'Intérieur. Selon l'article 34, le comité central se réunit une fois par an. Dans ce cadre, avec le bureau politique, j'ai pris la décision de convoquer le comité central, pour les 22 et 23 octobre prochains. Ce jour-là, celui qui aura des choses à dire pourra le faire". A ceux qui ont interpellé le president du parti pour qu'il le destitue de son poste, à savoir Abada et Belayat, il dira que " c'est leur droit le plus absolu. Le président est le gardien de la Constitution, le gardien des lois. Mais si à chaque fois que quelqu'un a une migraine, il se met à écrire au président alors on n'est pas sortis de l'auberge". C'est le secrétaire général du parti, Djamal Ould Abbès, qui en a fait l'annonce avant-hier à l'issue d'une réunion du bureau politique (BP). Une session qui pourrait être houleuse dans la mesure où elle intervient dans un contexte particulier marqué par l'exacerbation des luttes intestines. Les opposants au secrétaire général ont donné de la voix ces derniers jours. Abdelkrim Abada et Abderrahmane Belayat sont en effet montés au créneau pour réclamer la tête d'Ould Abbès. Ils sont allés jusqu'à écrire au président duparti, qui n'est autre que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour lui demander de destituer le secrétaire général. L'opposition prend même de l'épaisseur puisque ses rangs se renforcent. Moussa Benhamadi, qui vient juste d'être déchargé par Ould Abbès du département de l'information, affiche désormais clairement son opposition au secrétaire général. Mais Djamal Ould Abbès donne la nette impression d'être imperturbable. Serein, il est passé à la contre attaque en narguant ses opposants. "Les tentatives de perturbation et les pétitions relèvent de la loi de la jungle. Je refuse ces pratiques du moyen âge. Il y a la Constitution, les statuts et le règlement intérieur du parti", a indiqué Ould Abbès dans son allocution d'ouverture de la réunion du BP. "Que celui qui a quelque chose à dire, il y aura une session du Comité central qui se tiendra le 22 et 23 octobre à Alger !" a-t-il ajouté en guise d'invite à ses détracteurs de cesser les combats sur les colonnes des journaux et de venir s'expliquer devant le CC. En somme pour lui il n'y qu'à l'intérieur des structures du parti que les problèmes doivent être posés et non dans les médias comme le font ses opposants. Et de passer à la vitesse supérieure en soutenant qu'il dispose de l'appui de la majorité des membres du CC. "Si on parle de signatures, j'en ai moi aussi. J'ai 360 signatures (noms et prénoms) de soutien à la direction et au secrétaire général" a -t-il clamé en brandissant cette liste. C'est dire que Djamal Ould Abbès ne compte nullement laisser le champ libre à ses détracteurs puisqu'il a fait montre de son optimise quant à son maintien à la tête du secrétariat général. Mais il se dit aussi être prêt à toutes les éventualités. "Je suis le secrétaire général du FLN au moins jusqu'au 22 octobre, si ce jour-là, le comité central en décide autrement, je m'inclinerai devant sa décision. Moi je respecte les statuts qui font force de loi", a-t-il affirmé dans une déclaration à la preese. Car pour lui "le parti fonctionne conformément à des statuts validés par le ministère de l'Intérieur. Selon l'article 34, le comité central se réunit une fois par an. Dans ce cadre, avec le bureau politique, j'ai pris la décision de convoquer le comité central, pour les 22 et 23 octobre prochains. Ce jour-là, celui qui aura des choses à dire pourra le faire". A ceux qui ont interpellé le president du parti pour qu'il le destitue de son poste, à savoir Abada et Belayat, il dira que " c'est leur droit le plus absolu. Le président est le gardien de la Constitution, le gardien des lois. Mais si à chaque fois que quelqu'un a une migraine, il se met à écrire au président alors on n'est pas sortis de l'auberge".