La situation socioéconomique du pays interpelle les syndicats autonomes. La situation socioéconomique du pays interpelle les syndicats autonomes. Il en est ainsi de ce qu'ils qualifient de recul du rôle l'Etat social. « L'intersyndicale dénonce la politique d'abandon progressif de l'Etat social à travers le soutien de la catégorie minoritaire riche et qui s'enrichit davantage, ce qui a laminé la classe moyenne qui a rétrogradé au seuil de la pauvreté », déplore le communiqué rendu public hier en mettant en garde contre la détérioration continue du pouvoir d'achat. Les syndicats autonomes, qui ont tenu concave tout récemment, émettent un message clair quant à leur préoccupation et ce d'autant qu'ils font ouvertement cas d'un recul des acquis sociaux. Il est, en effet, clairement dit dans le communiqué que le plan d'action du gouvernement adopté par le Parlement est teinté d'opacité surtout en matière d'affaires syndicales et sociales. Selon le communiqué de l'intersyndicale, il y a des signes avant-coureurs de l'abandon progressif de la politique de la protection sociale et la politique de subvention. Des inquiétudes somme toute justifiées. Le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, ainsi que d'autres membres du gouvernement n'ont eu de cesse de mettre en exergue les difficultés finalisées auxquelles fait face le gouvernement suite à la chute du prix des hydrocarbures. Une donnée qui a poussé l'Exécutif à penser à introduire des réformes sur la politique de subventions qui profite aux riches, comme aux pauvres. Certes, l'intention est bonne puisqu'il est tout de même illogique que des riches profitent au même titre que les couches défavorisées de la manne de l'Etat. Le gouvernement a toujours rassuré sur la poursuite de son soutien aux pauvres,mais les craintes des syndicats ne se sontpas dissipées pour autant. D'où, encore une fois, la teneur de ce communiqué. Cedernier souligne que cette politique qui met à mal le pouvoir d'achat de largescouches des travailleurs, auxquels viennents'ajouter les atteintes aux droits destravailleurs, pousse les syndicatsautonomes à être plus déterminés quejamais à poursuivre la lutte avec tous lesmoyens légaux. Des menaces à peine voilées sur la possibilité de mener des actions de protestations à la prochaine rentréesociale pour défendre les acquis. Carl'intersyndicale reste plus que jamaisattachée à ses revendications qui tournentautour du dossier de la retraite, du pouvoird'achat et, enfin, celui relatif au code du travail. Rappelons que les syndicatsautonomes se sont déclarés ouvertement contre la nouvelle loi sur la retraite. Cetteloi, adoptée par le Parlement l'annéedernière, a mis fin au droit à la retraiteanticipée. Les grèves et les actions deprotestations initiées par l'intersyndicalen'ont pas, cependant, ébranlé le gouvernementqui a maintenu cette loi. Le communiqué dénonce, en outre, le silence du gouvernementà propos des entraves aux droitsà l'exercice de l'activité syndicale et ledroit de grève. Comme il dénonce les harcèlementset les licenciements que subissentles syndicalistes. Toutefois l'intersyndicale affiche aussi ouvertement sadisponibilité au dialogue avec le gouvernementet appelle ce dernier à concrétiser leprincipe d'un vrai partenariat entre les deux parties. Il en est ainsi de ce qu'ils qualifient de recul du rôle l'Etat social. « L'intersyndicale dénonce la politique d'abandon progressif de l'Etat social à travers le soutien de la catégorie minoritaire riche et qui s'enrichit davantage, ce qui a laminé la classe moyenne qui a rétrogradé au seuil de la pauvreté », déplore le communiqué rendu public hier en mettant en garde contre la détérioration continue du pouvoir d'achat. Les syndicats autonomes, qui ont tenu concave tout récemment, émettent un message clair quant à leur préoccupation et ce d'autant qu'ils font ouvertement cas d'un recul des acquis sociaux. Il est, en effet, clairement dit dans le communiqué que le plan d'action du gouvernement adopté par le Parlement est teinté d'opacité surtout en matière d'affaires syndicales et sociales. Selon le communiqué de l'intersyndicale, il y a des signes avant-coureurs de l'abandon progressif de la politique de la protection sociale et la politique de subvention. Des inquiétudes somme toute justifiées. Le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, ainsi que d'autres membres du gouvernement n'ont eu de cesse de mettre en exergue les difficultés finalisées auxquelles fait face le gouvernement suite à la chute du prix des hydrocarbures. Une donnée qui a poussé l'Exécutif à penser à introduire des réformes sur la politique de subventions qui profite aux riches, comme aux pauvres. Certes, l'intention est bonne puisqu'il est tout de même illogique que des riches profitent au même titre que les couches défavorisées de la manne de l'Etat. Le gouvernement a toujours rassuré sur la poursuite de son soutien aux pauvres,mais les craintes des syndicats ne se sontpas dissipées pour autant. D'où, encore une fois, la teneur de ce communiqué. Cedernier souligne que cette politique qui met à mal le pouvoir d'achat de largescouches des travailleurs, auxquels viennents'ajouter les atteintes aux droits destravailleurs, pousse les syndicatsautonomes à être plus déterminés quejamais à poursuivre la lutte avec tous lesmoyens légaux. Des menaces à peine voilées sur la possibilité de mener des actions de protestations à la prochaine rentréesociale pour défendre les acquis. Carl'intersyndicale reste plus que jamaisattachée à ses revendications qui tournentautour du dossier de la retraite, du pouvoird'achat et, enfin, celui relatif au code du travail. Rappelons que les syndicatsautonomes se sont déclarés ouvertement contre la nouvelle loi sur la retraite. Cetteloi, adoptée par le Parlement l'annéedernière, a mis fin au droit à la retraiteanticipée. Les grèves et les actions deprotestations initiées par l'intersyndicalen'ont pas, cependant, ébranlé le gouvernementqui a maintenu cette loi. Le communiqué dénonce, en outre, le silence du gouvernementà propos des entraves aux droitsà l'exercice de l'activité syndicale et ledroit de grève. Comme il dénonce les harcèlementset les licenciements que subissentles syndicalistes. Toutefois l'intersyndicale affiche aussi ouvertement sadisponibilité au dialogue avec le gouvernementet appelle ce dernier à concrétiser leprincipe d'un vrai partenariat entre les deux parties.