Rédha Malek, décédé avant-hier, a été enterré hier, après la prière du dohr au carré des martyrs du cimetière d'El-Alia, dans des funérailles officielles, sous la direction du protocole de la présidence de la République. Le président du Conseil de la Nation, le président de l'APN, le gouvernement au grand complet, à sa tête le Premier ministre Abdelmadjid Tebboune, le directeur du cabinet de la présidence, Ahmed Ouyahia, les conseillers Saïd Bouteflika, Mohamed Benamar Zerhouni et Tayeb Bélaiz étaient aux premiers rangs des personnalités qui ont accompagné l'ex-chef du gouvernement à sa dernière demeure. Rédha Malek, décédé avant-hier, a été enterré hier, après la prière du dohr au carré des martyrs du cimetière d'El-Alia, dans des funérailles officielles, sous la direction du protocole de la présidence de la République. Le président du Conseil de la Nation, le président de l'APN, le gouvernement au grand complet, à sa tête le Premier ministre Abdelmadjid Tebboune, le directeur du cabinet de la présidence, Ahmed Ouyahia, les conseillers Saïd Bouteflika, Mohamed Benamar Zerhouni et Tayeb Bélaiz étaient aux premiers rangs des personnalités qui ont accompagné l'ex-chef du gouvernement à sa dernière demeure. Des personnalités politiques nationales, à l'instar de son compagnon Ali Haroun, des chefs des partis politiques, dont Djamel Ould Abbès, le patron du FCE, le SG de l'UGTA étaient visibles à ces funérailles officielles. Drapé de l'emblème national, le cercueil dudéfunt est porté par une escouade de la Garderépublicaine qui l'a déposé sous unchapiteau dressé pour la cérémonie. C'est leministre de la Culture, Azzedine Mihoubi,qui a prononcé l'oraison funèbre dans laquelleil est revenu sur le fabuleux parcours dudéfunt, en évoquant successivement le jeuneétudiant, le combattant, le négociateur, le diplomate, le ministre et l'intellectuel qui a toujours cru au mariage fécond de l'identité algérienne avec les valeurs de la modernité. Azzedine Mihoubi s'arrêtera aussi sur laposition courageuse et intransigeante de RédhaMalek durant les années de la tragédie nationale en faisant valoir son refus obstiné de voir "l'Algérie libre et démocratique"abdiquer devant l'islamo-terrorisme. La mise en terre de la dépouille du défunt s'estdéroulée sur fond de sonnerie au mort exécutée par des membres de la Garde républicainependant qu'une salve d'honneur étaittirée en ultime hommage à Rédha Malekqui repose désormais aux côtés de ses compagnonsde combat. Des personnalités politiques nationales, à l'instar de son compagnon Ali Haroun, des chefs des partis politiques, dont Djamel Ould Abbès, le patron du FCE, le SG de l'UGTA étaient visibles à ces funérailles officielles. Drapé de l'emblème national, le cercueil dudéfunt est porté par une escouade de la Garderépublicaine qui l'a déposé sous unchapiteau dressé pour la cérémonie. C'est leministre de la Culture, Azzedine Mihoubi,qui a prononcé l'oraison funèbre dans laquelleil est revenu sur le fabuleux parcours dudéfunt, en évoquant successivement le jeuneétudiant, le combattant, le négociateur, le diplomate, le ministre et l'intellectuel qui a toujours cru au mariage fécond de l'identité algérienne avec les valeurs de la modernité. Azzedine Mihoubi s'arrêtera aussi sur laposition courageuse et intransigeante de RédhaMalek durant les années de la tragédie nationale en faisant valoir son refus obstiné de voir "l'Algérie libre et démocratique"abdiquer devant l'islamo-terrorisme. La mise en terre de la dépouille du défunt s'estdéroulée sur fond de sonnerie au mort exécutée par des membres de la Garde républicainependant qu'une salve d'honneur étaittirée en ultime hommage à Rédha Malekqui repose désormais aux côtés de ses compagnonsde combat.