C'est la rentrée pour les parlementaires. Aujourd'hui en effet, les députés de l'APN et les sénateurs du Conseil de la nation, reprendront le chemin de l'hémicycle. Autant dire que c'est la fin des vacances et ce un congé de deux mois. C'est la rentrée pour les parlementaires. Aujourd'hui en effet, les députés de l'APN et les sénateurs du Conseil de la nation, reprendront le chemin de l'hémicycle. Autant dire que c'est la fin des vacances et ce un congé de deux mois. Cette session parlementaire unique, qui durera dix mois suite à la révision constitutionnelle de 2016, promet certainement d'être très chargée. Les députés fraîchement élus le 4 mai dernier lors des élections législatives, qui ont permis comme prévu la victoire du FLN et du RND qui disposent ainsi de la majorité absolue à la chambre basse du Parlement, auront fort à faire d'emblée. En effet il est certain que le premier grand dossier sera le plan d'action du gouvernement. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, présentera en effet son plan d'action incessamment. Peut-être même la semaine prochaine. succédant à Abdelmadjid Tebboune, Ouyahia, qui revient aux affaires, devrait avoir déjà finalisé son plan d'action qu'il soumettra donc aux députés puis aux sénateurs. Un plan d'action qui passera donc comme une lettre à la poste. Les deux formations politiques, à savoir le FLN et le RND alliés à d'autres partis comme le MPA et TAJ, ont la majorité absolue à l'APN. Les députés de l'opposition, qui feront certainement entendre haut et fort leurs voix, ne pourront rien contre cette donnée politique intangible et vont surtout se contenter d'égratigner l'exécutif. De nombreux textes de loi seront également soumis aux débats, y compris des projets considérés comme étant unhéritage de l'ancien Parlement. Ils ont été différés à plusieurs reprises à l'instar des lois sur la santé, les partis politiques et les associations. Leur programmation a été annoncée récemment par Noureddine Bédoui, ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire lors d'une sortie médiatique. Mais le projet le plus important, et qui est très attendu,est certainement, celui de la loi definances 2018. Tous les analystes et lesobservateurs, de même que la classe politique, sont en effet très curieux de connaîtreles nouvelles tendanceséconomiques du gouvernement. Ce dernier, qui fait face à une terrible crise économique et manque par conséquent cruellement de ressources financières, va certainement introduire de nouvelles mesures draconiennes pour juguler l'érosion desfinances du pays. En somme des dispositionsqui devraient toutes être de nature àfavoriser l'austérité. Le crédo de l'austéritéest, dans cette conjoncture difficile, considéré come le leitmotiv du gouvernement.Les parlementaires plancheront égalementsur la loi de règlement budgétaire de 2015,le rapport du gouverneur de la Banqued'Algérie et celui de la cour des comptes. La loi prioritaire de la session est toutefoisle règlement intérieur de l'APN qui a faitcouler beaucoup d'encre par ailleurs. Notamment s'agissant de l'épineuse question de l'absentéisme des députés. Cette session parlementaire unique, qui durera dix mois suite à la révision constitutionnelle de 2016, promet certainement d'être très chargée. Les députés fraîchement élus le 4 mai dernier lors des élections législatives, qui ont permis comme prévu la victoire du FLN et du RND qui disposent ainsi de la majorité absolue à la chambre basse du Parlement, auront fort à faire d'emblée. En effet il est certain que le premier grand dossier sera le plan d'action du gouvernement. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, présentera en effet son plan d'action incessamment. Peut-être même la semaine prochaine. succédant à Abdelmadjid Tebboune, Ouyahia, qui revient aux affaires, devrait avoir déjà finalisé son plan d'action qu'il soumettra donc aux députés puis aux sénateurs. Un plan d'action qui passera donc comme une lettre à la poste. Les deux formations politiques, à savoir le FLN et le RND alliés à d'autres partis comme le MPA et TAJ, ont la majorité absolue à l'APN. Les députés de l'opposition, qui feront certainement entendre haut et fort leurs voix, ne pourront rien contre cette donnée politique intangible et vont surtout se contenter d'égratigner l'exécutif. De nombreux textes de loi seront également soumis aux débats, y compris des projets considérés comme étant unhéritage de l'ancien Parlement. Ils ont été différés à plusieurs reprises à l'instar des lois sur la santé, les partis politiques et les associations. Leur programmation a été annoncée récemment par Noureddine Bédoui, ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire lors d'une sortie médiatique. Mais le projet le plus important, et qui est très attendu,est certainement, celui de la loi definances 2018. Tous les analystes et lesobservateurs, de même que la classe politique, sont en effet très curieux de connaîtreles nouvelles tendanceséconomiques du gouvernement. Ce dernier, qui fait face à une terrible crise économique et manque par conséquent cruellement de ressources financières, va certainement introduire de nouvelles mesures draconiennes pour juguler l'érosion desfinances du pays. En somme des dispositionsqui devraient toutes être de nature àfavoriser l'austérité. Le crédo de l'austéritéest, dans cette conjoncture difficile, considéré come le leitmotiv du gouvernement.Les parlementaires plancheront égalementsur la loi de règlement budgétaire de 2015,le rapport du gouverneur de la Banqued'Algérie et celui de la cour des comptes. La loi prioritaire de la session est toutefoisle règlement intérieur de l'APN qui a faitcouler beaucoup d'encre par ailleurs. Notamment s'agissant de l'épineuse question de l'absentéisme des députés.