Les concessionnaires automobiles sont dans le désarroi. Par voie de conséquence, ils viennent d'exprimer ce sentiment en interpellent le ministère de l'Industrie et des Mines sur, notamment, la non attribution du quota d'importation de véhicules pour l'année 2017. Les concessionnaires automobiles sont dans le désarroi. Par voie de conséquence, ils viennent d'exprimer ce sentiment en interpellent le ministère de l'Industrie et des Mines sur, notamment, la non attribution du quota d'importation de véhicules pour l'année 2017. La montée au créneau des concessionnaires automobiles était on ne peut plus prévisible. Car cette situation pénalise lourdement leurs activités. En effet dans la correspondance adressée avant-hier lundi au ministère de l'Industrie, l'Association des constructeurs et des concessionnaires automobiles en Algérie (AC2A) tire la sonnette d'alarme en brossant un tableau noir du secteur qui a, pour rappel, perdu des milliers d'emplois ces dernières années à cause de cette crise. "L'absence de lignes claires quant aux périodesd'attribution des quotas mais aussi aux volumes attendus, plonge nos entreprises dans une situation précaire inédite. Au-delà de nos propres intérêts, ce sont des dizaines de milliers d'emplois et des centaines d'entreprises qui sont touchés. En effet, l'ensemble de notre réseau de distribution est impacté et malheureusement nous ne pouvons qu'assister à la fermeture continue de nos entreprises", écrit l'AC2A.Cette association, qui regroupe une quarantaine de concessionnaires, n'y va pas de main morte puisqu'elle reproche augouvernement d'avoir faillià ses engagements et promesses. Lassociationnote, en effet, que "les orientations industrielles,légitimes, auxquelles nousnous devions de souscrire,n'ont, pour la majorité,pas été autorisés et alorsque des investissements importants ont été consentis". "La situation de blocage actuelle aura pour conséquence de définitivementfaire fermer nos entreprises. Sans oublierl'impact négatif pour nosclients et notamment lanation de service aprèsventeet de garantie",prévient-elle. Il faut diteque les pouvoirs publics,qui ont longtemps laisserplaner le doute sur l'attributiondu quota d'importation,ne font désormaisplus mystère de leurvolonté d'en faire l'impasse durant l'année encours. "Nous n'avons pas encore tranché cette question",a déclaré Mohamed Benmeradi sur les ondesde la chaîne 3 avant-hier undi. La montée au créneau des concessionnaires automobiles était on ne peut plus prévisible. Car cette situation pénalise lourdement leurs activités. En effet dans la correspondance adressée avant-hier lundi au ministère de l'Industrie, l'Association des constructeurs et des concessionnaires automobiles en Algérie (AC2A) tire la sonnette d'alarme en brossant un tableau noir du secteur qui a, pour rappel, perdu des milliers d'emplois ces dernières années à cause de cette crise. "L'absence de lignes claires quant aux périodesd'attribution des quotas mais aussi aux volumes attendus, plonge nos entreprises dans une situation précaire inédite. Au-delà de nos propres intérêts, ce sont des dizaines de milliers d'emplois et des centaines d'entreprises qui sont touchés. En effet, l'ensemble de notre réseau de distribution est impacté et malheureusement nous ne pouvons qu'assister à la fermeture continue de nos entreprises", écrit l'AC2A.Cette association, qui regroupe une quarantaine de concessionnaires, n'y va pas de main morte puisqu'elle reproche augouvernement d'avoir faillià ses engagements et promesses. Lassociationnote, en effet, que "les orientations industrielles,légitimes, auxquelles nousnous devions de souscrire,n'ont, pour la majorité,pas été autorisés et alorsque des investissements importants ont été consentis". "La situation de blocage actuelle aura pour conséquence de définitivementfaire fermer nos entreprises. Sans oublierl'impact négatif pour nosclients et notamment lanation de service aprèsventeet de garantie",prévient-elle. Il faut diteque les pouvoirs publics,qui ont longtemps laisserplaner le doute sur l'attributiondu quota d'importation,ne font désormaisplus mystère de leurvolonté d'en faire l'impasse durant l'année encours. "Nous n'avons pas encore tranché cette question",a déclaré Mohamed Benmeradi sur les ondesde la chaîne 3 avant-hier undi.