Le FFS a célébré hier le 54e anniversaire de sa création, un certain 29 septembre 1963. Ali Laskri, ancien premier secrétaire et membre de l'instance présidentielle était jeudi à Médéa pour commémorer cet anniversaire, prononçant un discours dans lequel il a mis en valeur les vertus du consensus politique. Le FFS a célébré hier le 54e anniversaire de sa création, un certain 29 septembre 1963. Ali Laskri, ancien premier secrétaire et membre de l'instance présidentielle était jeudi à Médéa pour commémorer cet anniversaire, prononçant un discours dans lequel il a mis en valeur les vertus du consensus politique. "Le moment n'est plus aux atermoiements et aux calculs politiciensface à la situation très difficile parlaquelle passe le pays", appelant àcommencer, dès maintenant, à mettre en place dit-il, les conditions d'unconsensus politique, mais égalementéconomico-financier pour "pouvoirpasser ce cap dangereux". "(...) il fautfaire preuve d'une réelle volonté politiqueet mettre de côté nos intérêtspartisans ou personnels", insiste AliLaskri expliquant que "Seul (donc) un consensus politique et économiqueauquel doivent être associés partispolitiques, société civile, experts et compétences nationaux, est en mesure de sortir le pays de l'oeil ducyclone" Parlant de l'embellie financièrequ'a vécue le pays, avant l'effondrementdes prix du pétrole en 2014, le dirigeant du FFS estime que l'Algérie avait l'opportunité d'intégrer le groupe des pays des BRICS(Brésil-Russie-Inde-Afrique du Sud etChine), de devenir un pays émergent,mais regrette-t-il "nous n'avons passu mettre à profit cette aisance financièrequi nous aurait permis des'éloigner de la zone de turbulenceactuelle". "Le moment n'est plus aux atermoiements et aux calculs politiciensface à la situation très difficile parlaquelle passe le pays", appelant àcommencer, dès maintenant, à mettre en place dit-il, les conditions d'unconsensus politique, mais égalementéconomico-financier pour "pouvoirpasser ce cap dangereux". "(...) il fautfaire preuve d'une réelle volonté politiqueet mettre de côté nos intérêtspartisans ou personnels", insiste AliLaskri expliquant que "Seul (donc) un consensus politique et économiqueauquel doivent être associés partispolitiques, société civile, experts et compétences nationaux, est en mesure de sortir le pays de l'oeil ducyclone" Parlant de l'embellie financièrequ'a vécue le pays, avant l'effondrementdes prix du pétrole en 2014, le dirigeant du FFS estime que l'Algérie avait l'opportunité d'intégrer le groupe des pays des BRICS(Brésil-Russie-Inde-Afrique du Sud etChine), de devenir un pays émergent,mais regrette-t-il "nous n'avons passu mettre à profit cette aisance financièrequi nous aurait permis des'éloigner de la zone de turbulenceactuelle".