Les médecins diplômés en Algérie représentent 38 % de l'ensemble des médecins extra Union européenne en activité régulière en France, a indiqué jeudi le Conseil national de l'ordre des médecins (Cnom) de France. Les médecins diplômés en Algérie représentent 38 % de l'ensemble des médecins extra Union européenne en activité régulière en France, a indiqué jeudi le Conseil national de l'ordre des médecins (Cnom) de France. Selon une étude sur la démographie médicale qui a relevé qu'au 1er janvier 2017, la France comptait 26.805 médecins titulaires d'un diplôme européen ou extraeuropéen, derrière les Algériens, viennent les Syriens (11 %), les Marocains (9 %), les Tunisiens (7 %) et les Malgaches (4 %), ce qui constitue une hausse de 7,8 points par rapport à 2007, année de la dernière étude. Parmi ces médecins, 22.619 exerçaient de façon régulière, soit 11,8 % du total des médecins en activité régulière. Le président du Conseil national de l'ordre des médecins algériens, Dr. Bekkat Berkani Mohamed, avait avancé en janvier dernier le chiffre de 10.000 médecins algériens activant en France, alors que dans le milieu des praticiens on parle de plus de 20.000. Le Cnom français, avec ses 290.974 médecins inscrits au tableau de l'ordre au 1er janvier 2017, a indiqué que les médecins diplômés à l'étranger rendent énormément service à certains hôpitaux qui ont du mal à attirer les jeunes médecins français, mais affirme que les médecins étrangers ne sont pas la solution pour combattre les déserts médicaux en France. Par ailleurs, l'étude met en relief une baisse du nombre de médecins en activité régulière, une féminisation de la profession et un renouvellement générationnel. "Les femmes représentent désormais 47 % des médecins en activitérégulière contre 38 % en 2007", a précisél'étude qui note une baisse préoccupante du nombre de généralistes, alors que lapopulation nationale augmente."Cette baisse du nombre de généralistes estd'autant plus alarmante qu'elle affecte laquasi-totalité de nos territoires". Selon une étude sur la démographie médicale qui a relevé qu'au 1er janvier 2017, la France comptait 26.805 médecins titulaires d'un diplôme européen ou extraeuropéen, derrière les Algériens, viennent les Syriens (11 %), les Marocains (9 %), les Tunisiens (7 %) et les Malgaches (4 %), ce qui constitue une hausse de 7,8 points par rapport à 2007, année de la dernière étude. Parmi ces médecins, 22.619 exerçaient de façon régulière, soit 11,8 % du total des médecins en activité régulière. Le président du Conseil national de l'ordre des médecins algériens, Dr. Bekkat Berkani Mohamed, avait avancé en janvier dernier le chiffre de 10.000 médecins algériens activant en France, alors que dans le milieu des praticiens on parle de plus de 20.000. Le Cnom français, avec ses 290.974 médecins inscrits au tableau de l'ordre au 1er janvier 2017, a indiqué que les médecins diplômés à l'étranger rendent énormément service à certains hôpitaux qui ont du mal à attirer les jeunes médecins français, mais affirme que les médecins étrangers ne sont pas la solution pour combattre les déserts médicaux en France. Par ailleurs, l'étude met en relief une baisse du nombre de médecins en activité régulière, une féminisation de la profession et un renouvellement générationnel. "Les femmes représentent désormais 47 % des médecins en activitérégulière contre 38 % en 2007", a précisél'étude qui note une baisse préoccupante du nombre de généralistes, alors que lapopulation nationale augmente."Cette baisse du nombre de généralistes estd'autant plus alarmante qu'elle affecte laquasi-totalité de nos territoires".