La mortalité due au cancer devrait être réduite à 10%, dans le cadre de la mise en oeuvre du plan anticancer (2015/2019), a estimé, samedi à ran, le coordinateur de ce plan national, le Professeur Messaoud Zitouni. La mortalité due au cancer devrait être réduite à 10%, dans le cadre de la mise en oeuvre du plan anticancer (2015/2019), a estimé, samedi à ran, le coordinateur de ce plan national, le Professeur Messaoud Zitouni. Notre objectif est d'arriver à diminuer le taux de la mortalité due au cancer à 10% après l'achèvement du plan anti-cancer", a souligné le professeur Zitouni, dans une déclaration à la presse, en marge des travaux du Congrès francoalgérien de cancérologiegynécologique, qui se tient jusqu'à dimanche au niveau de l'EHU 1er novembre d'Oran. "Cet important plan national, initié par le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, avance selon la logique qui lui a été dictée par le comité du pilotage créé par le Conseil des ministres", a fait savoir le même spécialiste, notant que le plan en question donne les mêmes indicateurs d'amélioration observés dans les pays développés. "Nous sommes dans la bonne voie pour ce qui est de l'exécution de ce plan qui permet graduellement d'améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer, notamment en termes de prévention, dépistage et traitement de qualité", a-t-il poursuivi. A ce titre, le coordinateur du plan national anti-cancer a rappelé qu'en Algérie, les infrastructures dédiées aux actions anti-cancer ont été triplées durant ces cinq dernières années. Il a également fait état d'une large ouverture par les praticiens aux spécialités factuelles liées au cancer, maladie considérée comme un problème de santé publique majeur. Dans ce sillage, le Pr. Zitouni a salué cet engagement national massif pour lutter contre le cancer, traduit par une forte volonté politique et une large mobilisation des ressources, a-til indiqué, soulignant la nécessité d'assurer davantage de coordination entre les différents acteurs scientifiques car, a-t-il estimé, l'amélioration de la prise en charge du malade atteint de cancer nécessite un grand travail de complémentarité multidisciplinaire. Le Pr. Zitouni a insisté pour que le Fonds spécial pour la lutte contre le cancer, disposant de dizaines de milliards de dinars soit utilisé le plus rapidement. L'Etat a consenti au plan anti-cancer 2015/2019, une enveloppe de 185 milliards de DA. D'autre part, le même spécialiste a préconisé l'organisation d'une grande campagne contre le tabagisme, une des principales causes du cancer, déplorant le fait que ce type de cancer n'est diagnostiqué généralement qu'à un stade avancé de la maladie et dans les 90% des cas observés. Les travaux de ce congrès de deux jours permettront de débattre de plusieurs sujets liés au cancer du sein, à l'état des lieux et aux perspectives du traitement de cette m ladie. Notre objectif est d'arriver à diminuer le taux de la mortalité due au cancer à 10% après l'achèvement du plan anti-cancer", a souligné le professeur Zitouni, dans une déclaration à la presse, en marge des travaux du Congrès francoalgérien de cancérologiegynécologique, qui se tient jusqu'à dimanche au niveau de l'EHU 1er novembre d'Oran. "Cet important plan national, initié par le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, avance selon la logique qui lui a été dictée par le comité du pilotage créé par le Conseil des ministres", a fait savoir le même spécialiste, notant que le plan en question donne les mêmes indicateurs d'amélioration observés dans les pays développés. "Nous sommes dans la bonne voie pour ce qui est de l'exécution de ce plan qui permet graduellement d'améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer, notamment en termes de prévention, dépistage et traitement de qualité", a-t-il poursuivi. A ce titre, le coordinateur du plan national anti-cancer a rappelé qu'en Algérie, les infrastructures dédiées aux actions anti-cancer ont été triplées durant ces cinq dernières années. Il a également fait état d'une large ouverture par les praticiens aux spécialités factuelles liées au cancer, maladie considérée comme un problème de santé publique majeur. Dans ce sillage, le Pr. Zitouni a salué cet engagement national massif pour lutter contre le cancer, traduit par une forte volonté politique et une large mobilisation des ressources, a-til indiqué, soulignant la nécessité d'assurer davantage de coordination entre les différents acteurs scientifiques car, a-t-il estimé, l'amélioration de la prise en charge du malade atteint de cancer nécessite un grand travail de complémentarité multidisciplinaire. Le Pr. Zitouni a insisté pour que le Fonds spécial pour la lutte contre le cancer, disposant de dizaines de milliards de dinars soit utilisé le plus rapidement. L'Etat a consenti au plan anti-cancer 2015/2019, une enveloppe de 185 milliards de DA. D'autre part, le même spécialiste a préconisé l'organisation d'une grande campagne contre le tabagisme, une des principales causes du cancer, déplorant le fait que ce type de cancer n'est diagnostiqué généralement qu'à un stade avancé de la maladie et dans les 90% des cas observés. Les travaux de ce congrès de deux jours permettront de débattre de plusieurs sujets liés au cancer du sein, à l'état des lieux et aux perspectives du traitement de cette m ladie.