Le Bureau politique (BP) s'est réuni avant-hier lundi dans un contexte politique assez particulier marqué par lagrande vague de protestationqui s'est emparée des militants et cadres du parti. Le Bureau politique (BP) s'est réuni avant-hier lundi dans un contexte politique assez particulier marqué par lagrande vague de protestationqui s'est emparée des militants et cadres du parti. Les listes électorales pour les élections locales du 23 novembre prochain ont, faut-il encore le rappeler, suscité une levée de boucliers de la base militante. Des actions de protestations devant les différentes structures du parti et même devant le siège national du parti ont, en effet, ponctué la vie du vieux parti ces derniers jours. En tout cas depuis la clôture de l'opération de dépôt des listes électorales des militants et cadres font entendre bruyamment leurs voix. Pourtant le communiqué sanctionnant la réunion du BP, rendu public hier sur le site électronique du parti, a carrément fait l'impasse sur cette grogne. Djamal Ould Abbès, le secrétaire général, et ses plus proches collaborateurs ont donc zappé le sujet qui n'est nullement apparu dans le communiqué en question. Ainsi il a été question, bien évidemment, d'un exposé sur les préparatifs des élections locales. Le communiqué indique que "le SG a parlé du travail colossal fait parla commission nationale des candidatures pour traiter les recours des candidatsdevant les instances judiciaires et administratives". En effet, indique encore le communiqué le secrétaire genéral Djamal OuldAbbès a exposé la stratégie du parti, enprévision de la campagne électorale pourlaquelle les membres du BP affirment leurdisponibilité. Le BP a aussi exprimé son"soutien absolu et inconditionnel au présidentBouteflika, président du parti qui a rendu à l'Algérie la paix, la sécurité, lastabilité grâce à la politique de réconciliation nationale". Pour rappel cette zizanie interne a mêmetouché les plus hautes instances comme ce fut le cas au sein de la commission de recours. Rappelons à ce propos l'épisodede l'ancien secrétaire general, Amar Saadani. Ce dernier a claqué la porte decette instance moins d'une journée aprèsl'avoir rejoint. A cause, dit-on, des divergencesapparues avec d'autres membres,dont des ministres qui composent lastructure en question. Les listes électorales pour les élections locales du 23 novembre prochain ont, faut-il encore le rappeler, suscité une levée de boucliers de la base militante. Des actions de protestations devant les différentes structures du parti et même devant le siège national du parti ont, en effet, ponctué la vie du vieux parti ces derniers jours. En tout cas depuis la clôture de l'opération de dépôt des listes électorales des militants et cadres font entendre bruyamment leurs voix. Pourtant le communiqué sanctionnant la réunion du BP, rendu public hier sur le site électronique du parti, a carrément fait l'impasse sur cette grogne. Djamal Ould Abbès, le secrétaire général, et ses plus proches collaborateurs ont donc zappé le sujet qui n'est nullement apparu dans le communiqué en question. Ainsi il a été question, bien évidemment, d'un exposé sur les préparatifs des élections locales. Le communiqué indique que "le SG a parlé du travail colossal fait parla commission nationale des candidatures pour traiter les recours des candidatsdevant les instances judiciaires et administratives". En effet, indique encore le communiqué le secrétaire genéral Djamal OuldAbbès a exposé la stratégie du parti, enprévision de la campagne électorale pourlaquelle les membres du BP affirment leurdisponibilité. Le BP a aussi exprimé son"soutien absolu et inconditionnel au présidentBouteflika, président du parti qui a rendu à l'Algérie la paix, la sécurité, lastabilité grâce à la politique de réconciliation nationale". Pour rappel cette zizanie interne a mêmetouché les plus hautes instances comme ce fut le cas au sein de la commission de recours. Rappelons à ce propos l'épisodede l'ancien secrétaire general, Amar Saadani. Ce dernier a claqué la porte decette instance moins d'une journée aprèsl'avoir rejoint. A cause, dit-on, des divergencesapparues avec d'autres membres,dont des ministres qui composent lastructure en question.