"Convaincu que la crise globale qui affecte notre pays est avant tout politique, le président du parti a réitéré son appelà un véritable dialogue entre lepouvoir, les partis politiques et toutes les forces vives de laNation, pour un règlement durable de la crise", affirme le comité central de Talaei ElHourriyet, qui a clôturé hierses travaux.Talaei El Hourriyet pose néanmoinsses préalables : "Convaincu que la crise globale qui affecte notre pays est avant tout politique, le président du parti a réitéré son appelà un véritable dialogue entre lepouvoir, les partis politiques et toutes les forces vives de laNation, pour un règlement durable de la crise", affirme le comité central de Talaei ElHourriyet, qui a clôturé hierses travaux.Talaei El Hourriyet pose néanmoinsses préalables : "Le format,le calendrier, le choix desparticipants et la finalité de cedialogue seront définis par l voie consensuelle".Le parti dénonce parallèlementl'attitude du pouvoir qui "s'estenfermé, jusqu'à présent, dans une attitude autiste" face aux appels répétés de partis politiques de l'opposition et de personnalités politiques nationales, en vue de l'ouverture d'un dialogue "national salutaire" pour le pays. Dans un autre chapitre, Benflis pointe du doigt le gouvernement d'Ouyahia, notamment "l'improvisation, l'imprévoyance et la légèreté qui président à la prise de décision gouvernementale. L'absence de cohésion gouvernementale sur des dossiers importants, lesrevirements du gouvernement, les aveux d'impuissance des membres du gouvernement sont autant d'éléments significatifs de la déliquescence continue des institutions de l'Etat et du degré de mauvaise gouvernance", selon le parti.Une situation qui profite "aux extra constitutionnelles".L'approche de l'échéance de l'élection présidentielle et "le suspense entretenu autour d'un hypothétique 5e mandat" ont réveillé, poursuit- il, "les ambitions au sein du sérail où des cercles du pouvoir s'entre-déchirent pour se positionner afin de peser sur l'échiquier si la succession est ouverte". "Le format,le calendrier, le choix desparticipants et la finalité de cedialogue seront définis par l voie consensuelle".Le parti dénonce parallèlementl'attitude du pouvoir qui "s'estenfermé, jusqu'à présent, dans une attitude autiste" face aux appels répétés de partis politiques de l'opposition et de personnalités politiques nationales, en vue de l'ouverture d'un dialogue "national salutaire" pour le pays. Dans un autre chapitre, Benflis pointe du doigt le gouvernement d'Ouyahia, notamment "l'improvisation, l'imprévoyance et la légèreté qui président à la prise de décision gouvernementale. L'absence de cohésion gouvernementale sur des dossiers importants, lesrevirements du gouvernement, les aveux d'impuissance des membres du gouvernement sont autant d'éléments significatifs de la déliquescence continue des institutions de l'Etat et du degré de mauvaise gouvernance", selon le parti.Une situation qui profite "aux extra constitutionnelles".L'approche de l'échéance de l'élection présidentielle et "le suspense entretenu autour d'un hypothétique 5e mandat" ont réveillé, poursuit- il, "les ambitions au sein du sérail où des cercles du pouvoir s'entre-déchirent pour se positionner afin de peser sur l'échiquier si la succession est ouverte".