Le FFS a célébré hier la "Journée" du militant, correspondant au 31ème anniversaire de l'assassinat d'Ali Mecili,compagnon d'armes de Hocine AitAhmed et cheville ouvrière dans le rapprochementde ce dernier avec AhmedBenbella, dans les années 80.Dans son intervention, le premier secrétairedu parti, Mohamed Hadj Djilani, parlant de l'agitation que connaît actuellement le front social en Algérie, aprôné la construction d'un consensusnational qui offre, selon lui "un cadreapproprié pour le traitement systématiquede la question sociale intimementliée à la politique et à l'économie" Le FFS a célébré hier la "Journée" du militant, correspondant au 31ème anniversaire de l'assassinat d'Ali Mecili,compagnon d'armes de Hocine AitAhmed et cheville ouvrière dans le rapprochementde ce dernier avec AhmedBenbella, dans les années 80.Dans son intervention, le premier secrétairedu parti, Mohamed Hadj Djilani, parlant de l'agitation que connaît actuellement le front social en Algérie, aprôné la construction d'un consensusnational qui offre, selon lui "un cadreapproprié pour le traitement systématiquede la question sociale intimementliée à la politique et à l'économie" Pour le premier responsable de ce parti, le dialogue social "à lui seul ne permet pas de normaliser la situation car lescauses de l'instabilité sont certes économiqueset sociales mais avant tout politiques".M. Hadj Djilani a observé que "la crise multidimensionnelle, politique, économique, sociale, culturelle et environnementale" nécessitait "une approche globale",jugeant que le projet de consensusnational offrait un "cadre approprié pourune approche systématique". plan économique, le responsable duFFS a estimé que le pays ne parvenaitpas encore à "amorcer un décollage, étanttiré vers le bas par sa dépendance auxhydrocarbures en baisse sur le plan desréserves et des prix", ajoutant qu'au plansocial, le pays ne dispose plus de "ressources suffisantes pour assurer unniveau de vie décent à une populationcroissante et une protection sociale desplus démunis". Mohamed Hadj Djilani a évoqué par ailleurs le congrés extraordinaire que le FFS s'apprête à tenir le 2 avril pour "compléter" la composante de l'Instance présidentielle du parti, suite au départ detrois de ses membres. C'est le blackouttotal s'agissant des candidats dont les dossiers sont à l'étude au niveau de lacommission du parti créée à cet effet. Pour rappel, la démission d'Ali Lakri, de l'instance présidentielle a rendu cettedernière "inopérationnelle", au regard des statuts du parti qui ont rendu nécessaire ce congrès extraordinaire. L'instance présidentielle (IP) était composée de Mohand Amokrane Chérifi, Aziz Baloul, Ali Laskri, Saida Ichamalen et Rachid Halet, les trois derniers étant démissionnaires. Par ailleurs, un hommage a été rendu à Ali Mecili, compagnon de feu HocineAït Ahmed, assassiné à Paris en 1987, qui symbolise pour le FFS "le combatpour les libertés et les droits humains afin que nul n'oublie son sacrifice pour une Algérie libre", a relevé M. HadjDjilani. Pour le premier responsable de ce parti, le dialogue social "à lui seul ne permet pas de normaliser la situation car lescauses de l'instabilité sont certes économiqueset sociales mais avant tout politiques".M. Hadj Djilani a observé que "la crise multidimensionnelle, politique, économique, sociale, culturelle et environnementale" nécessitait "une approche globale",jugeant que le projet de consensusnational offrait un "cadre approprié pourune approche systématique". plan économique, le responsable duFFS a estimé que le pays ne parvenaitpas encore à "amorcer un décollage, étanttiré vers le bas par sa dépendance auxhydrocarbures en baisse sur le plan desréserves et des prix", ajoutant qu'au plansocial, le pays ne dispose plus de "ressources suffisantes pour assurer unniveau de vie décent à une populationcroissante et une protection sociale desplus démunis". Mohamed Hadj Djilani a évoqué par ailleurs le congrés extraordinaire que le FFS s'apprête à tenir le 2 avril pour "compléter" la composante de l'Instance présidentielle du parti, suite au départ detrois de ses membres. C'est le blackouttotal s'agissant des candidats dont les dossiers sont à l'étude au niveau de lacommission du parti créée à cet effet. Pour rappel, la démission d'Ali Lakri, de l'instance présidentielle a rendu cettedernière "inopérationnelle", au regard des statuts du parti qui ont rendu nécessaire ce congrès extraordinaire. L'instance présidentielle (IP) était composée de Mohand Amokrane Chérifi, Aziz Baloul, Ali Laskri, Saida Ichamalen et Rachid Halet, les trois derniers étant démissionnaires. Par ailleurs, un hommage a été rendu à Ali Mecili, compagnon de feu HocineAït Ahmed, assassiné à Paris en 1987, qui symbolise pour le FFS "le combatpour les libertés et les droits humains afin que nul n'oublie son sacrifice pour une Algérie libre", a relevé M. HadjDjilani.