Le nombre d'enfants mineurs détenus dans des établissements de rééducationen Algérie ne dépasse pas les 400, unchiffre qualifié de "minime" dimancheà Tipasa, par la déléguée nationale à laprotection de l'enfance, MeriemCherfi. Le nombre d'enfants mineurs détenus dans des établissements de rééducationen Algérie ne dépasse pas les 400, unchiffre qualifié de "minime" dimancheà Tipasa, par la déléguée nationale à laprotection de l'enfance, MeriemCherfi. "Le nombre de mineurs détenus ne dépassant pas les 400 à l'échelle nationale, est vraiment minime", a en effetindiqué Mme Cherifi dans une déclarationà l'APS en marge d'une visite aupavillon des mineurs de l'établissementde rééducation de Koléa, expliquantcette situation par les répercussionsjugées positives de la loi se rapportantà la protection de l'enfance, qui offre la latitude aux juges des mineurs d'accorder la priorité aux mesures deprotection et d'intégration. La responsable a, par la même, affirmé"l'efficience, l'intérêt, et la richesse" des programmes deréinsertion appliquéspour les mineurs durant leur peine, assurant que ces derniers sont soumis à des programmes de rééducation ayant "prouvé leur efficacité sur le terrain" après qu'ils aient purgé leurs peines. "Ne croyez pas que ces mineurs - représentant 2l'innocence - soient de dangereux criminels, il se trouve juste que chacun d'eux a une histoire ou vit des conditions sociales difficiles, l'ayantpoussé à commettre un délit", a ajouté l'ancienne juge de mineurs. Elle a souligné, en outre, les effortsconsentis par le ministère de la Justice,par le biais de la Direction générale del'administrationpénitentiaire, pour assurer tous les moyens matériels et humains nécessaires à la mise en oeuvre des programmes de reforme de la justice, informant notamment que lesmineurs sont internés dans des pavillons totalement séparés de ceuxdes adultes, tout en ayant le droit de pratiquer du sport et différentes activités culturelles, dont la lecture. Accompagnée de représentants d mouvement associatif et de la société civile, la déléguée nationale à la protection de l'enfance a effectué une visite au pavillon des mineurs. Sur place, elle a engagé des discussions avec des enfants détenus, les appelant à se corriger car, a-t-elle soutenu, il n'y a pas de honte à faire des erreurs, mais plutôt àles répéter. L'opportunité a donné lieu à l'organisation,par les détenus de l'établissement de rééducation de Koléa, d'une exposition englobant différents produits artisanaux (en cuir, broderie, dinanderie) réalisés par eux-mêmes. Les détenus ont également animé nombred'activités culturelles en présence des mineurs, qui ont été honorés par Mme Cherfi, à l'occasion de la Journée mondiale de l'enfance. "Le nombre de mineurs détenus ne dépassant pas les 400 à l'échelle nationale, est vraiment minime", a en effetindiqué Mme Cherifi dans une déclarationà l'APS en marge d'une visite aupavillon des mineurs de l'établissementde rééducation de Koléa, expliquantcette situation par les répercussionsjugées positives de la loi se rapportantà la protection de l'enfance, qui offre la latitude aux juges des mineurs d'accorder la priorité aux mesures deprotection et d'intégration. La responsable a, par la même, affirmé"l'efficience, l'intérêt, et la richesse" des programmes deréinsertion appliquéspour les mineurs durant leur peine, assurant que ces derniers sont soumis à des programmes de rééducation ayant "prouvé leur efficacité sur le terrain" après qu'ils aient purgé leurs peines. "Ne croyez pas que ces mineurs - représentant 2l'innocence - soient de dangereux criminels, il se trouve juste que chacun d'eux a une histoire ou vit des conditions sociales difficiles, l'ayantpoussé à commettre un délit", a ajouté l'ancienne juge de mineurs. Elle a souligné, en outre, les effortsconsentis par le ministère de la Justice,par le biais de la Direction générale del'administrationpénitentiaire, pour assurer tous les moyens matériels et humains nécessaires à la mise en oeuvre des programmes de reforme de la justice, informant notamment que lesmineurs sont internés dans des pavillons totalement séparés de ceuxdes adultes, tout en ayant le droit de pratiquer du sport et différentes activités culturelles, dont la lecture. Accompagnée de représentants d mouvement associatif et de la société civile, la déléguée nationale à la protection de l'enfance a effectué une visite au pavillon des mineurs. Sur place, elle a engagé des discussions avec des enfants détenus, les appelant à se corriger car, a-t-elle soutenu, il n'y a pas de honte à faire des erreurs, mais plutôt àles répéter. L'opportunité a donné lieu à l'organisation,par les détenus de l'établissement de rééducation de Koléa, d'une exposition englobant différents produits artisanaux (en cuir, broderie, dinanderie) réalisés par eux-mêmes. Les détenus ont également animé nombred'activités culturelles en présence des mineurs, qui ont été honorés par Mme Cherfi, à l'occasion de la Journée mondiale de l'enfance.