Le cercle de ceux qui appellent le président de la République, AbdelazizBouteflika, à briguer un 5emandatva s'élargissant ; le RND vient de joindre sa voix aux partisans de cette option Le cercle de ceux qui appellent le président de la République, AbdelazizBouteflika, à briguer un 5emandatva s'élargissant ; le RND vient de joindre sa voix aux partisans de cette option En effet, jusque-là discret sur cette question, le secrétaire général de cette formation politique, Ahmed Ouyahia, a été on ne peut plus clair quant à la nécessité, pour l'actuel locataire du palais d'ElMouradia, de poursuivre sa mission à la tête de l'Etat. "Je suis heureuxde constater que notre Conseil nationalentend appeler le moudjahid AbdelazizBouteflika à poursuivre sa mission et son sacrifice au service de l'Algérie et que leRassemblement national démocratiquel'assure de son soutien pour l'accomplissement d'un nouveau mandat à la présidencede la République", a ainsi martelé avant-hier le chef de file du RND à l'ouverture des travaux d'une session de sonconseil national. "Ce sera là un engagement digne du Rassemblement national démocratique, pour la continuité et la stabilité et pour l'Algérie", a-t-il ajouté. L'applaudimètre a lors atteint son paroxysme et la salle a manifesté satotale adhésion à cette proposition. C'est la première fois qu'Ahmed Ouyahia se prononce clairement sur cette question car jusque-là, et à chaque fois qu'il était interpellé, il se faisait évasif se contentant juste de dire que son parti a toujours soutenu le chef de l'Etat et qu'il continuera à le faire. Il a notamment, et àplusieurs reprises, adressé des piques auFLN, dont le secrétaire général, Djamal Ould Abbès, n'a eu de cesse d'appeler, depuis des mois maintenant, le président Bouteflika à briguer un 5e mandat. Apparemment, et à moins d'une année de l'élection présidentielle de 2019, la décantation en faveur d'un 5e mandat est en train de s'opérer au sein du pouvoir. En tout cas Ouyahia vinet d'emboîter le pas à Ould Abbès qui, lui, milité déjà depuis des mois en faveur de cette option. "On demande à Bouteflika de briguer un cinquième nmandat" a notamment indiqué le chef de file du FLN au tout début du mois d'avril. Un appel solennel qui ne souffre d'aucune équivoque quant à la volonté du vieux parti sur cette question, ce d'autant qu'Ould Abbès a précisé que "ce sont lescadres du FLN qui le demandent". Ould Abbès, pour rappel, mène une véritable campagne pour que le président Bouteflika poursuive sa mission. D'ailleurs les cadres du FLN, notamment les louhafadhs, ne cessent, à chaque réunion convoqué par Ould Abbès, de rendre publiques des motions de soutien au 5e mandat. Au sein du vieux parti cette ensible question a provoqué, pour rappel, moult remous comme l'atteste l'épisode du député Baha-Edine Tliba car Ould Abbèsveut avoir la haute main sur ce dossier. En plus de ces deux partis politiques on note aussi l'adhésion de l'UGTA à cette perspective. Son secretaaire général,Abdelmadjid Sidi Said, s'est déjà positionné en faveur d'un 5e mandat. C'est dire que les fervents partisans de Bouteflika sont en train de passer à l'offensive et il est évident que d'autres partis politiques, et des organisations de la société civile vont joindre leurs voix au FLN, au RND et à l'UGTA. En effet, jusque-là discret sur cette question, le secrétaire général de cette formation politique, Ahmed Ouyahia, a été on ne peut plus clair quant à la nécessité, pour l'actuel locataire du palais d'ElMouradia, de poursuivre sa mission à la tête de l'Etat. "Je suis heureuxde constater que notre Conseil nationalentend appeler le moudjahid AbdelazizBouteflika à poursuivre sa mission et son sacrifice au service de l'Algérie et que leRassemblement national démocratiquel'assure de son soutien pour l'accomplissement d'un nouveau mandat à la présidencede la République", a ainsi martelé avant-hier le chef de file du RND à l'ouverture des travaux d'une session de sonconseil national. "Ce sera là un engagement digne du Rassemblement national démocratique, pour la continuité et la stabilité et pour l'Algérie", a-t-il ajouté. L'applaudimètre a lors atteint son paroxysme et la salle a manifesté satotale adhésion à cette proposition. C'est la première fois qu'Ahmed Ouyahia se prononce clairement sur cette question car jusque-là, et à chaque fois qu'il était interpellé, il se faisait évasif se contentant juste de dire que son parti a toujours soutenu le chef de l'Etat et qu'il continuera à le faire. Il a notamment, et àplusieurs reprises, adressé des piques auFLN, dont le secrétaire général, Djamal Ould Abbès, n'a eu de cesse d'appeler, depuis des mois maintenant, le président Bouteflika à briguer un 5e mandat. Apparemment, et à moins d'une année de l'élection présidentielle de 2019, la décantation en faveur d'un 5e mandat est en train de s'opérer au sein du pouvoir. En tout cas Ouyahia vinet d'emboîter le pas à Ould Abbès qui, lui, milité déjà depuis des mois en faveur de cette option. "On demande à Bouteflika de briguer un cinquième nmandat" a notamment indiqué le chef de file du FLN au tout début du mois d'avril. Un appel solennel qui ne souffre d'aucune équivoque quant à la volonté du vieux parti sur cette question, ce d'autant qu'Ould Abbès a précisé que "ce sont lescadres du FLN qui le demandent". Ould Abbès, pour rappel, mène une véritable campagne pour que le président Bouteflika poursuive sa mission. D'ailleurs les cadres du FLN, notamment les louhafadhs, ne cessent, à chaque réunion convoqué par Ould Abbès, de rendre publiques des motions de soutien au 5e mandat. Au sein du vieux parti cette ensible question a provoqué, pour rappel, moult remous comme l'atteste l'épisode du député Baha-Edine Tliba car Ould Abbèsveut avoir la haute main sur ce dossier. En plus de ces deux partis politiques on note aussi l'adhésion de l'UGTA à cette perspective. Son secretaaire général,Abdelmadjid Sidi Said, s'est déjà positionné en faveur d'un 5e mandat. C'est dire que les fervents partisans de Bouteflika sont en train de passer à l'offensive et il est évident que d'autres partis politiques, et des organisations de la société civile vont joindre leurs voix au FLN, au RND et à l'UGTA.