L'affaire de la saisie de 701kilos de cocaïne au port d'Oran, continue de fairecouler beaucoup d'encre. On assiste en effet, depuis larévélation de cettescandaleuse affaire et surtoutle profil des personnes quiseraient impliqués, à uneavalanche de réactions. L'affaire de la saisie de 701kilos de cocaïne au port d'Oran, continue de fairecouler beaucoup d'encre. On assiste en effet, depuis larévélation de cettescandaleuse affaire et surtoutle profil des personnes quiseraient impliqués, à uneavalanche de réactions. ContenuLa supposée implication d'une flopée de magistrats, dont quatre seraientdéjà mis en examen, a fait réagir lesyndicat national des magistrats(SNM).L'organisation syndicale, dirigée parDjamal Aidouni, est ainsi sortie de sonmutisme pour dénoncer ce qui lui sembleêtre une campagne contre les magistrats. Dans le communiqué rendu public leSNM considère que les informations colportéespar de nombreux médias sontcomplètement "infondées". Selon le syndicatles informations tendant à impliquerdes magistrats dans cette affairevisent surtout à "faire dévier l'enquêtedans une tentative orchestrée visant à attenter à la crédibilité de la justice et àses institutions conduites par des cadres intègres et compétents et qui ont su assumer, tout au long de leur carrière, leursresponsabilités dans l'application de laloi et veillé à la protection du citoyen et du pays". Le SNM reproche ainsi donc aux médias de n'avoir pas cherché à s'assurerde la véracité des informations et leur exactitude avant de publier les informations. Des informations qui seraient donc dénuées de tout fondement et de nature "diffamatoire". Mieux encore le syndicat n'estime qu'il soit surtout question, à travers la diffusion de ces informations, "de porter atteinte àl'image des magistrats et de ternir l'image du secteur de la justice en Algérie devant l'opinion publique nationale et internationale, mais demeurent toutefois des actes incriminés par la loi et le code pénal". Et de rappeler la mobilisationdes magistrats dans la lutte contre la corruption avant d'inviter les différents médias à "faire montre de professionnalisme, de responsabilité et derespect de l'image et de la crédibilité des institutions et des cadres de l'Etat algériennotamment le secteur de la justice en sa qualitéparticulière qu'est le respectdes procédures judiciaires à leur tête lesecret de l'enquête" et à "contribuer à moraliser et promouvoir le journalisme à travers les enquêtes, la vérification des informations à l'abri de toute diffamation ou injure contre les personnes". Se faisant plus menacant le SNM soulignequ'il se réserve le droit d'user "de tous les voies et moyens légaux contre ces agissements". Comprendre, il n'écarte pas la possibilité, à l'avenir, d'ester en justice tout média qui ferait des révélations sur cette affaire ; dont l'enquête est juste à ses débuts. Pour rappel dans le cadre de cette affaire instruite au niveau du tribunal de Sidi-Mhamed à Alger, des magistrats, dont deux procureurs de la République, deux procureurs adjoints et un président du tribunal administratif ont été suspendus de leurs fonctions surordre du garde des sceaux, Tayeb Louh tandis qu'un adjudant de la Gendarmerie nationale, un ex-maire de la commune deBen-Aknoun et le chauffeur au niveau de la DGSN ainsi que le fils de l'ex- Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, seraient impliqués. ContenuLa supposée implication d'une flopée de magistrats, dont quatre seraientdéjà mis en examen, a fait réagir lesyndicat national des magistrats(SNM).L'organisation syndicale, dirigée parDjamal Aidouni, est ainsi sortie de sonmutisme pour dénoncer ce qui lui sembleêtre une campagne contre les magistrats. Dans le communiqué rendu public leSNM considère que les informations colportéespar de nombreux médias sontcomplètement "infondées". Selon le syndicatles informations tendant à impliquerdes magistrats dans cette affairevisent surtout à "faire dévier l'enquêtedans une tentative orchestrée visant à attenter à la crédibilité de la justice et àses institutions conduites par des cadres intègres et compétents et qui ont su assumer, tout au long de leur carrière, leursresponsabilités dans l'application de laloi et veillé à la protection du citoyen et du pays". Le SNM reproche ainsi donc aux médias de n'avoir pas cherché à s'assurerde la véracité des informations et leur exactitude avant de publier les informations. Des informations qui seraient donc dénuées de tout fondement et de nature "diffamatoire". Mieux encore le syndicat n'estime qu'il soit surtout question, à travers la diffusion de ces informations, "de porter atteinte àl'image des magistrats et de ternir l'image du secteur de la justice en Algérie devant l'opinion publique nationale et internationale, mais demeurent toutefois des actes incriminés par la loi et le code pénal". Et de rappeler la mobilisationdes magistrats dans la lutte contre la corruption avant d'inviter les différents médias à "faire montre de professionnalisme, de responsabilité et derespect de l'image et de la crédibilité des institutions et des cadres de l'Etat algériennotamment le secteur de la justice en sa qualitéparticulière qu'est le respectdes procédures judiciaires à leur tête lesecret de l'enquête" et à "contribuer à moraliser et promouvoir le journalisme à travers les enquêtes, la vérification des informations à l'abri de toute diffamation ou injure contre les personnes". Se faisant plus menacant le SNM soulignequ'il se réserve le droit d'user "de tous les voies et moyens légaux contre ces agissements". Comprendre, il n'écarte pas la possibilité, à l'avenir, d'ester en justice tout média qui ferait des révélations sur cette affaire ; dont l'enquête est juste à ses débuts. Pour rappel dans le cadre de cette affaire instruite au niveau du tribunal de Sidi-Mhamed à Alger, des magistrats, dont deux procureurs de la République, deux procureurs adjoints et un président du tribunal administratif ont été suspendus de leurs fonctions surordre du garde des sceaux, Tayeb Louh tandis qu'un adjudant de la Gendarmerie nationale, un ex-maire de la commune deBen-Aknoun et le chauffeur au niveau de la DGSN ainsi que le fils de l'ex- Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, seraient impliqués.