L'achat du mouton de l'Aid est déjà dans les têtes desalgériens qui posent lesinévitables questionsconcernant la disponibilité du produit et le prix. L'achat du mouton de l'Aid est déjà dans les têtes desalgériens qui posent lesinévitables questionsconcernant la disponibilité du produit et le prix. Le ministre de l'Agriculture, qui assistait lundi à l'AG de la chambrenationale d'agriculture, s'estmontré optimiste, assurant que le cheptel "sera disponible en quantité pour répondre à la demande des citoyens. Pas donc de nécessité d'importer", affirme le ministre qui précise que s'agissant des prix, "c'est la loi du marché qui va jouer", souhaitant aussi des prix "à la portée des citoyens". Pour ce qui est de l'organisation des marchés, le ministère a demandé aux walis d'affecter des marchés et des espaces au profit des vendeurs pour faciliter les opérations de contrôle, assurant que les services du ministère de l'Agriculture seront présents à travers la désignation de vétérinaires pour contrôler le bétail au niveau desmarchés. Abdelkader Bouazgui s'est exprimé aussi sur le retour de la fièvre aphteuse, dans certaines régions du pays, annonçant que des mesures préventivesstrictes ont été prises, suite à l'enregistrement d'une quarantaine de cas. Il a fait savoir, à ce propos, que "l'importationet la circulation de cet animalavaient été interdites, outre l'envo de médecins vétérinaires aux wilayas concernées pour s'enquérir et suivre la situation. "Nous nousemployons actuellement à contenir et traiter la situation en toute responsabilité",a ajouté le ministre. S'agissant des mesures préventivesprises pour éviter le phénomène de putréfaction de la viande, le ministre a affirmé que le secteur "ne saurait assurer l'éradication de ce phénomènemais prendra toutes les mesuresnécessaires pour éviter aux citoyensdes pertes durant cette fête religieuse".M. Bouazgui a relevé que son départementa "initié des campagnes desensibilisation à l'adresse des éleveurspour contrôler la qualité desaliments fournis au bétail, outre lamise de vétérinaires à la disposition des éleveurs et des vendeurs". L'agriculture représente 12 % du PNB Le "secteur agricole contribue à environ 12 % du produit national brut(PNB)", déclare, le ministre de l'Agriculture,du Développement rural et de la Pêche, AbdelkaderBouazgui. Ces chiffres, qui montrent la bonneforme du secteur agricole, ont été donnés, ce dimanche à Alger par le ministre de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazgui. C'était en marge des Assises de l'Agriculture dont les travaux ont débuté aujourd'hui aux palais des expositions . Citant d'autres résultats, le ministre a estimé la valeurde la production agricole à 3.060 milliards de dinars en 2017 contre 350 milliards en 2000, soit une augmentation à1.000 %. A ce propos, il a avancé que "le gouvernement a décidé de renforcerson soutien au secteur agricole",tout en applant "les chambres nationales et les opérateur agricoles à améliorer et renforcer les performancesagricoles pour assurer la sécurité alimentaire". 40 % "des adhérents aux chambres nationales sont des jeunes dont l'âge oscille entre 18 et 50 ans", a-t-il mentionné . Le ministre de l'Agriculture, qui assistait lundi à l'AG de la chambrenationale d'agriculture, s'estmontré optimiste, assurant que le cheptel "sera disponible en quantité pour répondre à la demande des citoyens. Pas donc de nécessité d'importer", affirme le ministre qui précise que s'agissant des prix, "c'est la loi du marché qui va jouer", souhaitant aussi des prix "à la portée des citoyens". Pour ce qui est de l'organisation des marchés, le ministère a demandé aux walis d'affecter des marchés et des espaces au profit des vendeurs pour faciliter les opérations de contrôle, assurant que les services du ministère de l'Agriculture seront présents à travers la désignation de vétérinaires pour contrôler le bétail au niveau desmarchés. Abdelkader Bouazgui s'est exprimé aussi sur le retour de la fièvre aphteuse, dans certaines régions du pays, annonçant que des mesures préventivesstrictes ont été prises, suite à l'enregistrement d'une quarantaine de cas. Il a fait savoir, à ce propos, que "l'importationet la circulation de cet animalavaient été interdites, outre l'envo de médecins vétérinaires aux wilayas concernées pour s'enquérir et suivre la situation. "Nous nousemployons actuellement à contenir et traiter la situation en toute responsabilité",a ajouté le ministre. S'agissant des mesures préventivesprises pour éviter le phénomène de putréfaction de la viande, le ministre a affirmé que le secteur "ne saurait assurer l'éradication de ce phénomènemais prendra toutes les mesuresnécessaires pour éviter aux citoyensdes pertes durant cette fête religieuse".M. Bouazgui a relevé que son départementa "initié des campagnes desensibilisation à l'adresse des éleveurspour contrôler la qualité desaliments fournis au bétail, outre lamise de vétérinaires à la disposition des éleveurs et des vendeurs". L'agriculture représente 12 % du PNB Le "secteur agricole contribue à environ 12 % du produit national brut(PNB)", déclare, le ministre de l'Agriculture,du Développement rural et de la Pêche, AbdelkaderBouazgui. Ces chiffres, qui montrent la bonneforme du secteur agricole, ont été donnés, ce dimanche à Alger par le ministre de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazgui. C'était en marge des Assises de l'Agriculture dont les travaux ont débuté aujourd'hui aux palais des expositions . Citant d'autres résultats, le ministre a estimé la valeurde la production agricole à 3.060 milliards de dinars en 2017 contre 350 milliards en 2000, soit une augmentation à1.000 %. A ce propos, il a avancé que "le gouvernement a décidé de renforcerson soutien au secteur agricole",tout en applant "les chambres nationales et les opérateur agricoles à améliorer et renforcer les performancesagricoles pour assurer la sécurité alimentaire". 40 % "des adhérents aux chambres nationales sont des jeunes dont l'âge oscille entre 18 et 50 ans", a-t-il mentionné .