Le Premier secrétaire national du FFS, Mohamed Hadj Djilani, a dénoncé ce samedi "l'entêtement du régime à ne paschanger sa politique en persistant dans sonillusion à évoluer dans les institutions enplace tout en ignorant l'existence de la crise". Le Premier secrétaire national du FFS, Mohamed Hadj Djilani, a dénoncé ce samedi "l'entêtement du régime à ne paschanger sa politique en persistant dans sonillusion à évoluer dans les institutions enplace tout en ignorant l'existence de la crise". "A chaque alignement des clans du pouvoiren vue d'une bataille interne au systèmeautoritaire et prédateur qui a mis le pays enfaillite au profit d'une oligarchie mafieuse,des propositions sont sorties artificiellementdu cadre global de la crise et présentéescomme la solution de l'heure" a analysé Mohamed Hadj Djilani au cours d'unmeeting populaire animé ce samedi 11 août à Draâ El-Mizan, dans la wilaya de Tizi- Ouzou, dans lecadre de la célébration du 62eanniversaire du congrès de la Soummam. Pour lePremier secrétaire duFFS, c'est dans cettelogique que s'inscritce que le pouvoir présente comme unelutte contre la corruption. "Sous prétextede la lutte contre lacorruption, les tenants du pouvoir ouvrent la voie à une alternance clanique",a-t-il affirmé, ajoutant dans ce sens qu'au FFS "nous savonsdepuis longtemps que la corruption dans notre pays a toujours évolué avec l'évolutiondu système politique et socio-économique antidémocratique depuis l'indépendance".Selon Mohamed Hadj Djilani, "le régime s'entête à ne pas changer sa politique enpersistant dans son illusion à évoluer dans les institutions en place tout en ignorant de la crise". Cependant, forceest de constater selon lui qu'"il y a unconsensus au sommet pour le statut quo, mais aussi un consensus en bas pour lechangement". "Aujourd'hui, le défi pourles Algériennes etAlgériens est la construction d'un Etat de droit, et des institutionsdémocratiques au service descitoyens, par la défense des droit de l'Homme, des droits politiques, des droits socio-économiques, des droits culturels,les droits à la manifestation, à la marche pacifique, à la création d'association et aurespect des libertés individuelles et collectives",a-til plaidé, précisant dans ce cadre que le FFS a déjà choisi son camp dans la société aux côtésdela population.Réitérant son appel à la construction d'un consensus national, Hadj Djilani a réaffirmé que "le FFS est convaincu qu'aucunconsensus national ne peut aboutir sans un consensus populaire qui ne sera possible que quand le peuple algérien entier sera appelé à exercer sa souveraineté et dire où il voitl'intérêt général, devant un régime qui a la mainmise sur les institutions et qui les gèrepar la violence, où il y a prééminencede l'exécutif sur tous les autrespouvoirs", a estimé le Premier secrétaire du FF "A chaque alignement des clans du pouvoiren vue d'une bataille interne au systèmeautoritaire et prédateur qui a mis le pays enfaillite au profit d'une oligarchie mafieuse,des propositions sont sorties artificiellementdu cadre global de la crise et présentéescomme la solution de l'heure" a analysé Mohamed Hadj Djilani au cours d'unmeeting populaire animé ce samedi 11 août à Draâ El-Mizan, dans la wilaya de Tizi- Ouzou, dans lecadre de la célébration du 62eanniversaire du congrès de la Soummam. Pour lePremier secrétaire duFFS, c'est dans cettelogique que s'inscritce que le pouvoir présente comme unelutte contre la corruption. "Sous prétextede la lutte contre lacorruption, les tenants du pouvoir ouvrent la voie à une alternance clanique",a-t-il affirmé, ajoutant dans ce sens qu'au FFS "nous savonsdepuis longtemps que la corruption dans notre pays a toujours évolué avec l'évolutiondu système politique et socio-économique antidémocratique depuis l'indépendance".Selon Mohamed Hadj Djilani, "le régime s'entête à ne pas changer sa politique enpersistant dans son illusion à évoluer dans les institutions en place tout en ignorant de la crise". Cependant, forceest de constater selon lui qu'"il y a unconsensus au sommet pour le statut quo, mais aussi un consensus en bas pour lechangement". "Aujourd'hui, le défi pourles Algériennes etAlgériens est la construction d'un Etat de droit, et des institutionsdémocratiques au service descitoyens, par la défense des droit de l'Homme, des droits politiques, des droits socio-économiques, des droits culturels,les droits à la manifestation, à la marche pacifique, à la création d'association et aurespect des libertés individuelles et collectives",a-til plaidé, précisant dans ce cadre que le FFS a déjà choisi son camp dans la société aux côtésdela population.Réitérant son appel à la construction d'un consensus national, Hadj Djilani a réaffirmé que "le FFS est convaincu qu'aucunconsensus national ne peut aboutir sans un consensus populaire qui ne sera possible que quand le peuple algérien entier sera appelé à exercer sa souveraineté et dire où il voitl'intérêt général, devant un régime qui a la mainmise sur les institutions et qui les gèrepar la violence, où il y a prééminencede l'exécutif sur tous les autrespouvoirs", a estimé le Premier secrétaire du FF