Abdelkader Bensalah, président du Conseil de laNation, a réitéré lundi sonappel au Président AbdelazizBouteflika à poursuivre samission à la tête de l'état, afin"de conforter les acquisréalisés tout au long des 20dernières années", lequalifiant par ailleursd'"homme qui a posé lesfondements d'un état moderne". Abdelkader Bensalah, président du Conseil de laNation, a réitéré lundi sonappel au Président AbdelazizBouteflika à poursuivre samission à la tête de l'état, afin"de conforter les acquisréalisés tout au long des 20dernières années", lequalifiant par ailleursd'"homme qui a posé lesfondements d'un état moderne". Dans son allocution, en ouverture de la session parlementaire 2018/2019,le numéro 2 dans l'ordre protocolaires'est également adressé à la classepolitique et notamment l'opposition, luidemandant, en l'occurrence de "procéderà une relecture de la situation politique dupays et revoir l'ordre de ses priorités enfonction des défis qui se posent àl'Algérie". Ces défis sont sécuritaires, économiques et sociaux, précisent encoreAbdelkaderBensalah pour qui "la stabilité et lasécurité du pays doivent être undénominateurcommun à toute la classe politique, qu'elle soit de la majorité ou de l'opposition".Parlant implicitement de l'Armée, le président du Conseil de la Nation a invité les partis politiques à"s'abstenir d'impliquer des institutionssensibles dela République dans le jeu politique".Les médias sont également interpellés parBensalah qui leur demande de "prendreconscience de leur responsabilité et de ladifficulté de la conjoncture actuelle quiexige selon lui une information objectivepour créer un climat favorable au déroulementde la prochaine élection présidentielle".De son côté, Saïd Bouhadja a misen relief dans son intervention, le rôle duPrésident Bouteflika, notamment "le retour de l'Algérie dans le concert desnations, en mettant fin à des années d'isolement".Bouhadja a également évoqué les réformespolitiques engagées par le PrésidentBouteflika "en vue de construire une démocratieparticipative et sociale en Algérie" etenfin de se faire l'écho de l'appel des 16partis réunis hier au siège du FLN pourconstruire "un front interne solide", enréponse à l'appel du Président Bouteflika,dans son message du 20 août, à l'occasiondu double anniversaire du Congrès de laSoummam et de la journée nationale duChahid. Le FFS boycotte la cérémonie d'ouverture Les députés et les sénateurs du Front des forces socialistes (FFS) ont boycotté la cérémonie officielle d'ouverture de la sessionparlementaire ordinaire pour l'exercice2018-2019. Dans une déclaration renduepublique par le groupe parlementair(sénateurs et députés), le FFS affirme avoir boudé cette cérémonie pour "dénoncer la main basse de l'exécutif sur le parlementqui est devenu comité de soutien auxpolitiques qui ont toutes échoué et hypothéqu l'avenir du pays ainsique touteperspective d'avenir qui permettra à l''Algérie de se hisser aux côtés des nationsdémocratiques et sociales". Dans son allocution, en ouverture de la session parlementaire 2018/2019,le numéro 2 dans l'ordre protocolaires'est également adressé à la classepolitique et notamment l'opposition, luidemandant, en l'occurrence de "procéderà une relecture de la situation politique dupays et revoir l'ordre de ses priorités enfonction des défis qui se posent àl'Algérie". Ces défis sont sécuritaires, économiques et sociaux, précisent encoreAbdelkaderBensalah pour qui "la stabilité et lasécurité du pays doivent être undénominateurcommun à toute la classe politique, qu'elle soit de la majorité ou de l'opposition".Parlant implicitement de l'Armée, le président du Conseil de la Nation a invité les partis politiques à"s'abstenir d'impliquer des institutionssensibles dela République dans le jeu politique".Les médias sont également interpellés parBensalah qui leur demande de "prendreconscience de leur responsabilité et de ladifficulté de la conjoncture actuelle quiexige selon lui une information objectivepour créer un climat favorable au déroulementde la prochaine élection présidentielle".De son côté, Saïd Bouhadja a misen relief dans son intervention, le rôle duPrésident Bouteflika, notamment "le retour de l'Algérie dans le concert desnations, en mettant fin à des années d'isolement".Bouhadja a également évoqué les réformespolitiques engagées par le PrésidentBouteflika "en vue de construire une démocratieparticipative et sociale en Algérie" etenfin de se faire l'écho de l'appel des 16partis réunis hier au siège du FLN pourconstruire "un front interne solide", enréponse à l'appel du Président Bouteflika,dans son message du 20 août, à l'occasiondu double anniversaire du Congrès de laSoummam et de la journée nationale duChahid. Le FFS boycotte la cérémonie d'ouverture Les députés et les sénateurs du Front des forces socialistes (FFS) ont boycotté la cérémonie officielle d'ouverture de la sessionparlementaire ordinaire pour l'exercice2018-2019. Dans une déclaration renduepublique par le groupe parlementair(sénateurs et députés), le FFS affirme avoir boudé cette cérémonie pour "dénoncer la main basse de l'exécutif sur le parlementqui est devenu comité de soutien auxpolitiques qui ont toutes échoué et hypothéqu l'avenir du pays ainsique touteperspective d'avenir qui permettra à l''Algérie de se hisser aux côtés des nationsdémocratiques et sociales".