Said Bouhadja a répondu, du tac au tac, à la demande d'Ahmed Ouyahia qui lui aréclamé samedi, de démissionner de son poste de président de l'APN, après avoirfait l'objet d'un retrait de confiance massifde la part des députés de la majorité. Said Bouhadja a répondu, du tac au tac, à la demande d'Ahmed Ouyahia qui lui aréclamé samedi, de démissionner de son poste de président de l'APN, après avoirfait l'objet d'un retrait de confiance massifde la part des députés de la majorité. "Le problème est entre moi et Ouyahia", at-il dit dans un entretien hier, pour unechaine de télévision privée, ajoutant que :"Je refuse d'entendre parler de démission,car elle n'a pas de sens".Et le président de l'APN, toujours enposte, de charger à nouveau Ouyahia, endisant que "La crise vient de l'extérieur, le problème est entre moi et Ouyahiaqui ainstruit ses députés".A propos des accusations contenues dansla motion de retrait de confiance, Bouhadjales rejette globalement et dans ledétail, enexpliquant qu'elles "ne sont pas fondées". Et de se défendre également, de chercher quelque protection de la présidence de laRépublique, assurant que "la Constitutionme protège suffisamment".En vieil apparatchik du parti qui connaitbien les pratiques du système, SaidBouhadja ajoute dans le même entretien : "Je suis un homme politique, je connaisbien ces problèmes".Mais, d'un autre côté,Said Bouhadja aconfirmé sa volonté de démissionner de laprésidence de l'APN. "Oui, j'ai l'intentionde quitter le Parlement. Cela n'est pas unproblème", a-t-il dit hier, dans une déclarationà TSA, sans donner plus de précisionssur les modalités de l'annonce de sadémission.Said Bouhadja reproche, à Ahmed Ouyahia et Djamel Ould Abbes, d'avoir utilisé la présidence de la République pourpousserleurs députés à se rebeller contre lui."Hier, ils ont dit que la présidence n'avaitrien à avoir dans cette affaire. Alors, pourquoiont-il dit à leurs députés, de signercontre moi en affirmant que l'ordre venaitde la Présidence ?", poursuit M. Bouhadja.Avant de conclure : "Ils se contredisent. Ilssont dans l'illégalité. Mais je ne compte,plus les suivre". "Le problème est entre moi et Ouyahia", at-il dit dans un entretien hier, pour unechaine de télévision privée, ajoutant que :"Je refuse d'entendre parler de démission,car elle n'a pas de sens".Et le président de l'APN, toujours enposte, de charger à nouveau Ouyahia, endisant que "La crise vient de l'extérieur, le problème est entre moi et Ouyahiaqui ainstruit ses députés".A propos des accusations contenues dansla motion de retrait de confiance, Bouhadjales rejette globalement et dans ledétail, enexpliquant qu'elles "ne sont pas fondées". Et de se défendre également, de chercher quelque protection de la présidence de laRépublique, assurant que "la Constitutionme protège suffisamment".En vieil apparatchik du parti qui connaitbien les pratiques du système, SaidBouhadja ajoute dans le même entretien : "Je suis un homme politique, je connaisbien ces problèmes".Mais, d'un autre côté,Said Bouhadja aconfirmé sa volonté de démissionner de laprésidence de l'APN. "Oui, j'ai l'intentionde quitter le Parlement. Cela n'est pas unproblème", a-t-il dit hier, dans une déclarationà TSA, sans donner plus de précisionssur les modalités de l'annonce de sadémission.Said Bouhadja reproche, à Ahmed Ouyahia et Djamel Ould Abbes, d'avoir utilisé la présidence de la République pourpousserleurs députés à se rebeller contre lui."Hier, ils ont dit que la présidence n'avaitrien à avoir dans cette affaire. Alors, pourquoiont-il dit à leurs députés, de signercontre moi en affirmant que l'ordre venaitde la Présidence ?", poursuit M. Bouhadja.Avant de conclure : "Ils se contredisent. Ilssont dans l'illégalité. Mais je ne compte,plus les suivre".