Pas moins de treize (13) syndicats indépendants se réuniront le 10 novembre prochain, pour "bousculer" le gouvernement,l'UGTA et le patronat. Pas moins de treize (13) syndicats indépendants se réuniront le 10 novembre prochain, pour "bousculer" le gouvernement,l'UGTA et le patronat. Regroupés au sein del'intersyndicale, ces syndicats projettent de se réunir le 10novembre prochain, afin de se constituer en confédérationde syndicats autonomes à laquelle avait appelé l'Intersyndicale, à la veille de la 20ème tripartite gouvernement-patronat-UGTA, tenue à Annaba le 6 mars dernier,et à laquelle les syndicats autonomes n'avaient pas étéconviés, faut-il le rappeler.Les syndicats, dits autonomes, ont dénoncé cette marginalisation,mais le ministre du Travail, de l'Emploi et dela Sécurité sociale avait justifié que la tripartite est principalementun rendez-vous économique, avec des partenairessociaux actifs en économie et que l'intersyndicaleest limitée dans ses domaines d'intervention, car composéedes corps enseignant, de santé et de la Fonctionpublique. De ce fait, le représentant de la nouvelle coalitionsyndicale, en l'occurrence M. Kouider Yahiaoui,secrétaire général du syndicat des travailleurs de l'Education a déclaré que laréunion du 10 novembre, au cours de laquelle treize syndicats indépendants seront représentés dans dessecteurs vitaux, tels que l'Education, la Santé et la Poste,sera le début officiel et effectif de laconfédération indépendante des syndicats. Donc, concrètement,le projet du statut decette entité syndicale est finalisé. Il sera présenté pouradoption, lors de l'AG constitutiveavant de le remettre auxautorités habilitées pour l'enregistrementetl'agrément, selon notre interlocuteur quiexplique que la création de la confédération indépendante des syndicats, en tantque force syndicale alternative, quicomprend plusieurs syndicats indépendants dans des secteurs importants, vise à s'unir en bloc, pour faire entendre a voix des travailleurs. Al'heure d'une mondialisation grandissante, il estindispensable d'exiger une meilleuregouvernance et une application universelle des normes internationales du travail,si l'on veut relever ledéfi qui consiste à assurer un travail décent à tous, debonnes conditions de travail, un salaire suffisant, une sécurité sociale minimale,l'égalité entre les sexes et unerépartition équitable des richesses. M. Kouider Yahiaoui a estimé dans ce sens que, la présenced'un représentant des syndicats indépendants, à la réunion du tripartite, est indispensable pour promouvoir la protection destravailleurs, à travers le dialogue social et l'édiction denormes. Et ce, en ouvrant tous les dossiers chauds, afindetrouver des solutions réalistes aux problèmesqui s'aggravent, de plus en plus et jour après jour et ce, tout en respectant les lois de la République et les traités internationauxratifiés par l'Algérie. Regroupés au sein del'intersyndicale, ces syndicats projettent de se réunir le 10novembre prochain, afin de se constituer en confédérationde syndicats autonomes à laquelle avait appelé l'Intersyndicale, à la veille de la 20ème tripartite gouvernement-patronat-UGTA, tenue à Annaba le 6 mars dernier,et à laquelle les syndicats autonomes n'avaient pas étéconviés, faut-il le rappeler.Les syndicats, dits autonomes, ont dénoncé cette marginalisation,mais le ministre du Travail, de l'Emploi et dela Sécurité sociale avait justifié que la tripartite est principalementun rendez-vous économique, avec des partenairessociaux actifs en économie et que l'intersyndicaleest limitée dans ses domaines d'intervention, car composéedes corps enseignant, de santé et de la Fonctionpublique. De ce fait, le représentant de la nouvelle coalitionsyndicale, en l'occurrence M. Kouider Yahiaoui,secrétaire général du syndicat des travailleurs de l'Education a déclaré que laréunion du 10 novembre, au cours de laquelle treize syndicats indépendants seront représentés dans dessecteurs vitaux, tels que l'Education, la Santé et la Poste,sera le début officiel et effectif de laconfédération indépendante des syndicats. Donc, concrètement,le projet du statut decette entité syndicale est finalisé. Il sera présenté pouradoption, lors de l'AG constitutiveavant de le remettre auxautorités habilitées pour l'enregistrementetl'agrément, selon notre interlocuteur quiexplique que la création de la confédération indépendante des syndicats, en tantque force syndicale alternative, quicomprend plusieurs syndicats indépendants dans des secteurs importants, vise à s'unir en bloc, pour faire entendre a voix des travailleurs. Al'heure d'une mondialisation grandissante, il estindispensable d'exiger une meilleuregouvernance et une application universelle des normes internationales du travail,si l'on veut relever ledéfi qui consiste à assurer un travail décent à tous, debonnes conditions de travail, un salaire suffisant, une sécurité sociale minimale,l'égalité entre les sexes et unerépartition équitable des richesses. M. Kouider Yahiaoui a estimé dans ce sens que, la présenced'un représentant des syndicats indépendants, à la réunion du tripartite, est indispensable pour promouvoir la protection destravailleurs, à travers le dialogue social et l'édiction denormes. Et ce, en ouvrant tous les dossiers chauds, afindetrouver des solutions réalistes aux problèmesqui s'aggravent, de plus en plus et jour après jour et ce, tout en respectant les lois de la République et les traités internationauxratifiés par l'Algérie.